Le site photo de Jean-Jacques MILAN

 

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (1793)

 

Article 19  -  Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de reprendre sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

 

Article 35  -  Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

 

Je ne suis pas toujours entièrement d'accord avec le contenu des documents mentionnés dans ce blog,

notamment dans les Annales, 

mais je vous les signale car ils posent de vrais problèmes et peuvent vous faire réfléchir, réagir, ou

vous amener à voter autrement la prochaine fois !

Prostate

13/02/2020

NOTE PRÉLIMINAIRE

 

Avant de passer à la lettre de Florent Cavaler, quelques mots sur mon expérience personnelle.

 

Il y a 5 ans, après l'essai d'une énième statine, gros problèmes de prostate. Ayant déjà subi pendant presque un an les effets secondaires de ces produits, je les ai depuis totalement abandonnés. Presque du jour au lendemain, il fallait que je me lève 4 ou 5 fois par nuit pour aller uriner, avec pas mal de difficulté. Je ne confonds évidemment pas simultanéité et corrélation mais la présomption de causalité est forte !

 

Si j'avais écouté le corps médical je me serais gavé de médicaments ou j'aurais déjà été opéré. Heureusement, tout s'est arrangé grâce à la consommation quotidienne de 15 à 20 g de graines de courges. Au bout de plusieurs semaines de ce traitement

mon "régime de croisière" est désormais d'un seul réveil vers 6-7 h du matin, voire pas de réveil du tout.

 

Les effets des graines de courges sont bien connus en Allemagne et en Autriche, notamment, et c'est d'ailleurs de ce dernier pays que proviennent pour l'essentiel celles que l'on trouve facilement en France (il en vient aussi de Chine, elles sont plus petites). Peut-être ne pourront-elles pas résoudre votre problème de prostate, si vous en avez un, mais un essai un peu prolongé ne vous coûtera pas grand chose et de toute manière vous n'aurez aucun effet secondaire à redouter, sauf éventuellement une improbable allergie.

 

J'ai laissé en place la partie "publicitaire" de la lettre. Toutefois, je ne vois guère d'intérêt à absorber de l'"extrait de graines de courges", plutôt que de croquer les graines elles-mêmes, qui sont d'ailleurs communément offertes à l'apéritif comme "amuse-gueule".

 

Jean-Jacques MILAN

 

 

 

 

 

Dans cette lettre, vous découvrirez :

  • Comment pourrait évoluer votre prostate si vous ne vous en occupez pas

  • Quelle taille peut atteindre votre prostate à 40, 60, 80 ans ?

  • Pourquoi il faut relativiser sur le cancer de la prostate

  • Ce que vous font les médicaments contre l’hypertrophie de la prostate (et ça ne va pas vous plaire…)

  • Pourquoi la chirurgie de la prostate ne devrait être utilisée qu’en dernier recours

  • … et peut-être une façon naturelle de soulager les troubles liés à la prostate, grâce à 6 ingrédients hors-norme identifiés par les chercheurs comme l’alternative n°1 pour tous les hommes de plus de 45 ans !


 

 

 

 

 

Chère lectrice, cher lecteur,

 

Ici Florent Cavaler.

 

La plupart des hommes n’osent pas en parler. Ils savent que cela risque de leur arriver, mais ils préfèrent ne pas y penser. Pourtant, 2 hommes sur 3 seront concernés, à partir de 50 ans[1]

Les pathologies de la prostate marquent une frontière entre l’homme mûr, en pleine possession de ses moyens… et le petit vieux qui multiplie les aller-retours aux toilettes.

 

Voilà pourquoi la plupart des hommes n’en parlent pas : ils craignent de passer « de l’autre côté » de la barrière.

 

Chaque année, des centaines de milliers d’hommes souffrent d’inconfort urinaire, jusqu’à en perdre le sommeil. Leur libido s’effondre en même temps, leur vie intime disparaît.

 

Chaque année, on opère toujours plus d’hommes pour leur retirer la prostate (6 000 opérations en 1998, 27 000 en 2007, rien qu’en France[2]).

Chaque année, on leur prescrit toujours plus de médicaments, avec pour beaucoup des effets secondaires désastreux…

 

Mais tous ces hommes continuent de se laisser faire, et avancent vers l’abattoir comme un troupeau de moutons… pourquoi ?

 

Tout simplement parce qu’ils n’y connaissent rien. Ils ne savent pas comment changer la donne, reprendre le contrôle de leur prostate… et de leur destin.

 

C’est pour cette raison que j’ai décidé d’intervenir.

 

On vous a raconté n’importe quoi sur votre prostate – bienvenue au cours de rattrapage. Prenez le temps de lire ces quelques informations, elles pourraient bien vous sauver la vie.

 

 

Bienvenue à « l’opération de sauvetage » de votre appareil génito-urinaire

 

Je sais que vous avez dû entendre beaucoup de choses au sujet de votre prostate. On vous parle de prostate grosse comme un melon, de sonde dans l’urètre et de mutilations chirurgicales… de seins qui poussent, d’incontinence, d’urine toxique



Mais la vérité, c’est que toutes ces informations vous sont livrées pêle-mêle pour vous faire peur. Je vous donne un exemple : parmi toutes ces images atroces que je viens de citer, savez-vous lesquelles sont la conséquence d’une prise de médicaments ? D’une chirurgie ? Ou est-ce ce qui arrivera si vous ne faites rien ?

 

Bien sûr, personne ne vous en parle. C’est parce que les informations ne sont pas claires que j’ai voulu apporter ma pierre à l’édifice.

 

Dans cette lettre, vous allez apprendre tout ce que vous devez savoir pour reprendre le contrôle de votre prostate – et plus largement, de votre appareil génito-urinaire.

 

 

3 scénarios pour votre prostate

 

La vérité est la suivante : il existe 3 scénarios pour votre prostate :

 

  1. Vous ne faites rien

  2. Vous prenez des médicaments

  3. Vous faites une chirurgie

Dans ce rapport spécial, nous allons explorer chacun de ces trois scénarios pour comprendre quels sont les choix que vous devez faire en fonction de votre situation. Je vous parlerai aussi d’un quatrième scénario qui pourrait changer la donne – mais vous le découvrirez bien assez vite.

 

Avant d’aller plus loin, j’aimerais reprendre la base avec vous.

 

 

Qu’est-ce qu’une prostate, et à quoi sert-elle ?

 

La prostate est un organe situé dans votre bas-ventre, juste en-dessous de la vessie. Il s’agit d’une glande, qui entoure le confluent des voies urinaires et spermatiques.

 

Elle sécrète le liquide prostatique, qui fait partie du liquide séminal, un des composants du sperme. Le liquide prostatique sert à fluidifier le sperme et à neutraliser l’acidité vaginale[3].



 

 

Chez un jeune homme de 20 ans, la prostate fait la taille d’une noix ou d’une châtaigne, pour un poids d’environ 20 grammes[4].

 

C’est là que se trouve tout le problème avec la prostate : à 20 ans, tout va bien… mais ensuite, les choses déraillent pour l’écrasante majorité des hommes.

 

Les changements hormonaux affectent la prostate en premier lieu – c’est l’organe de la virilité par excellence. Or, à partir de 20 ans, un compte à rebours s’enclenche ; votre prostate grossit sous l’effet de la DHT (ou dihydrotestostérone), une hormone dérivée de la testostérone.

 

Votre taux de DHT augmente avec l’âge, tandis que votre taux de testostérone diminue. Ce « transfert » est dû à une enzyme dont je vous parlerai plus loin : la 5-alpha-réductase.

Le gonflement de la prostate est tout sauf anodin – voici ce qui pourrait se passer si vous ne faites rien.


Votre prostate finira-t-elle par faire la taille d’un melon ?

 



Ce graphique montre ce qui pourrait arriver à votre prostate – notamment si vous ne faites rien. À partir de 45 ans, on vous proposera peut-être des médicaments, voire de la chirurgie, pour enrayer le grossissement de votre prostate – j’aborderai ces scénarios dans les lignes qui suivent.

 

Vous voyez que d’une noix à 20 ans, votre prostate pourrait faire la taille d’un pamplemousse à 80 ans… Voire avant, selon votre production de DHT[5].

 

On parle d’hypertrophie bénigne de la prostate[6] – ou d’adénome de la prostate. Cette pathologie touche plus de la moitié des hommes à partir de 50 ans, plus des deux tiers à 60 ans… et 9 hommes sur 10 à partir de 80 ans.

 

Lorsqu’elle n’est pas contrôlée, cette hypertrophie peut engendrer de sérieux désagréments.

 

 

La mort du désir à 40 ans ? Ne vous laissez pas prendre au piège !

 

Quand votre prostate gonfle, elle compresse vos conduits spermatiques ainsi que votre urètre. Il devient plus difficile de maintenir une érection au-delà de quelques minutes… et le besoin permanent d’uriner n’arrange rien.

 

Petit à petit, la « panne » occasionnelle devient la norme. Vous ne pouvez plus satisfaire votre partenaire à cause d’un souci mécanique : l’érection ne vient plus, ou ne dure pas.

Dans ces conditions, on aurait tendance à ne plus se sentir homme… mais je vais vous dire la vérité : ce n’est pas une fatalité, et si vous souffrez de problèmes d’érection, vous pouvez espérer retrouver une bonne fonction érectile sans céder aux petites pilules bleues.

 

Être homme, c’est aussi aller au-devant des difficultés et agir en conséquence. Ce n’est pas « bander comme à 20 ans » indéfiniment… En fait, cela n’a rien à voir avec la virilité. Être un homme, c’est accepter le changement mais trouver des solutions – je vous en parlerai bientôt, car ces solutions sont nombreuses et naturelles !

 

Il est important de pas renoncer à votre vie intime, car à 40 ans, la femme est au sommet de son pic hormonal. Elle sait ce qu’elle aime et connait son corps. La ménopause approche, des années difficiles en perspective, alors il faut en profiter maintenant. Malheureusement, cela coïncide souvent avec les premiers problèmes d’érection chez l’homme.

Je ne suis pas sexologue, mais je pense que vous comprendrez qu’une vie sexuelle épanouie avant la ménopause permet au couple d’affronter cette épreuve sereinement… et de retrouver une intimité complice dès que la ménopause s’achève.

 

Si le désir est mort avant, il sera bien plus compliqué de raviver la flamme… en particulier si vous ne faites rien, et que votre prostate continue de gonfler exagérément.

 

Bien sûr, les problèmes érectiles sont en grande partie la conséquence des problèmes urinaires, un des symptômes les plus flagrants d’un problème de prostate.

 

 

Un bouillon qui macère dans votre bas-ventre

 

À mesure que votre prostate gonfle, elle écrase petit à petit tous les organes qui l’entourent… à commencer par votre vessie, qui prend une forme inadaptée à l’évacuation de l’urine. En même temps, celle-ci est en train de se ramollir et de se distendre avec l’âge.

 

En effet, ses parois se relâchent. Elles étaient jadis tendues, capables de se contracter pour faire jaillir l’urine. Mais vous ne pouvez plus la contracter comme à 20 ans… Ses parois devenues molles empêchent l’urine de sortir, surtout que votre prostate gonflée déforme la vessie un peu plus chaque jour. Vous êtes en train de vieillir.

 

Vous devenez incapable de vider complètement votre vessie[7]. Vous ne pouvez plus faire de longues balades tranquillement… Toutes les heures, vous devez vous arrêter pour uriner. Les longs trajets deviennent un supplice.

 

Vous êtes obligé de vous relever quatre, cinq fois par nuit, voire plus, pour aller aux toilettes… Dès que vous commencez à vous endormir, il faut y retourner – c’est pire que d’avoir un nouveau-né qui ne fait pas ses nuits. Vous êtes épuisé, mais vous ne pouvez pas faire autrement. Vous êtes devenu l’esclave de votre prostate.

 

Le problème, c’est qu’à chaque fois, vous n’arrivez pas à vous « vider » complètement : vous n’éliminez que le trop plein – ce qui peut avoir des conséquences dramatiques.

 

Petit à petit, l’urine qui stagne au fond de votre vessie devient un bouillon. Ce bouillon macère, tourne, comme du lait qu’on oublie trop longtemps.



 

Les bactéries se développent et se multiplient. Vous êtes en train de vous faire ronger par une soupe toxique… Quand vous parvenez à uriner, c’est un liquide brûlant qui passe dans votre urètre.

Vous souffrez atrocement, et vous comprenez l’expression « pisser des lames de rasoir »… comme si on déchiquetait votre urètre de l’intérieur. Mais ce n’est pas tout. Le bouillon est peut-être empoisonné ; vous risquez de développer infection sur infection, avec à chaque fois un risque élevé de complications.

 

 

4 gestes simples pour éviter les « accidents du quotidien »

 

Avant d’aborder d’autres scénarios, je voudrais déjà vous donner une liste de gestes et d’habitudes qui peuvent changer radicalement votre quotidien, et vous permettre d’éviter les « accidents » dus à la prostate… sans avaler quoi que ce soit, et sans aucun effet secondaire : 

 

La double miction : quand vous allez uriner, prenez le temps de vider votre vessie au maximum, asseyez-vous une minute, détendez-vous… et essayez d’uriner à nouveau

 

La technique « anti-gouttes » : il arrive, à cause d’une prostate qui écrase l’urètre, que quelques gouttes retardataires coulent après que vous êtes sorti des toilettes. Pour éviter ce désagrément, massez l’urètre depuis la base du pénis vers le gland en fin de miction, puis secouez doucement le pénis pour vider le canal de l’urètre. Vous pouvez aussi tousser pour évacuer le maximum d’urine. 

 

L’entraînement du périnée : pour limiter les fuites urinaires, il existe un entraînement qui renforcera votre périnée et vous permettra d’éviter l’incontinence ponctuelle. Posez l’extrémité de l’index et du majeur sur le périnée et imaginez que vous tentez de retenir une envie d’aller à la selle, ne bloquez pas votre respiration. Si vous sentez un frémissement sous la peau, ce sont bien les muscles du périnée que vous sollicitez. Contractez le périnée sur l’inspiration, relâchez sur l’expiration. Répétez 3 à 5 fois de suite, et faites-le si possible plusieurs fois par jour.

 

Ayez une vie sexuelle : Une étude américaine publiée dans le journal European Urology a démontré qu’éjaculer entre 13 et 21 fois par mois contribuerait à réduire le nombre de cellules vieillissantes dans la prostate susceptibles d’évoluer en cancer.

Malgré ces gestes « de premier secours », l’hypertrophie va peu à peu vous gâcher la vie. Très vite, les petites habitudes ne suffiront plus. Vous comprenez donc l’intérêt d’agir par d’autres moyens quand votre prostate commence à grossir :

 

  • Vous pourriez maintenir une vie intime satisfaisante avec des érections longues et fermes.

  • Vous pourriez uriner comme à 20 ans, en une seule fois avec un jet puissant, sans urine stagnante ni 36 aller-retours aux toilettes

Bien sûr, vous devez vous demander COMMENT vous pouvez agir pour reprendre le contrôle de votre prostate, et plus largement de votre appareil génito-urinaire. Ne vous inquiétez pas : c’est bien pour cela que j’ai écrit ce document.

D’abord, voyons la probabilité qui s’offre à vous : les médicaments.  

 

 

Scénario n°2 : un bras de fer avec vos hormones

 

Pour comprendre le rôle des médicaments, je vais vous expliquer pourquoi votre prostate grossit tout au long de votre vie.  

C’est assez mécanique : avec les années, une partie de plus en plus importante de votre testostérone va être transformée en dihydrotestostérone (DHT) sous l’effet d’une enzyme, la 5-alpha-réductase.

Seulement, la DHT fait grossir la prostate… jusqu’à 5 fois plus vite que la testostérone.

 

 

 

 

Ainsi, plus vous avez de DHT, plus votre prostate grossit rapidement. C’est simple, mécanique… et « aussi normal que d’avoir des cheveux blancs » selon de nombreux médecins.

 

Cette hypertrophie bénigne de la prostate concerne plus de deux tiers des hommes à partir de 60 ans, et 90% d’entre eux à 80 ans.

 

C’est un marché énorme pour les médicaments dont je vais vous parler. À l’heure actuelle, il existe deux familles de traitements :

 

  • Les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase

  • Les alpha-bloquants

 

Inhibiteurs de la 5-alpha-réductase :

pour vous sauver, ils veulent vous grimer… en femme !

 

Les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase sont parmi les médicaments les plus prescrits contre l’hypertrophie bénigne de la prostate.

Leur rôle est d’inhiber l’action de l’enzyme 5-alpha-réductase (vous l’avez deviné…) pour empêcher la transformation de la testostérone en DHT… et donc, garder votre taux de DHT le plus bas possible.

 

La promesse ? Que votre prostate commence à rétrécir… dans 6 mois. Et bien sûr, il n’y a aucune garantie.

 

Les effets secondaires, eux, ne se font pas attendre. Le principal problème de ces médicaments est qu’ils bloquent la production de DHT dans tout votre organisme – pas seulement dans la prostate.

 

Or, c’est dans la prostate qu’elle pose problème, tandis qu’elle est indispensable à l’échelle de votre corps. Sa fonction est de développer et de maintenir les caractères masculins chez les humains. Comme c’est un dérivé de la testostérone, on peut dire qu’elle contribue à faire de vous un homme.

 

Aussi, l’effondrement de votre taux de DHT a une conséquence violente : vous risquez de ressembler de plus en plus… à une femme[8].

Vous pensez peut-être que j’exagère, mais c’est la vérité. Puisque vos hormones ne sont plus celles d’un homme sous l’effet des médicaments, votre corps commence à changer. Rapidement, vous constaterez des effets secondaires tels que :

 

  • Chute drastique de la libido

  • Troubles de l’érection et dysfonction érectile

  • Gynécomastie (des seins commencent à vous pousser)

  • Féminisation du corps

  • Chute des cheveux

  • Fatigue nerveuse et physique



Monsieur, êtes-vous prêt pour votre ménopause ?

 

Par ailleurs, les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase, puisqu’ils vous rapprochent d’une femme, peuvent déclencher une « ménopause » chez l’homme : bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, épuisement et problèmes de libido… Tous les symptômes classiques de la ménopause vous frappent de plein fouet.

 

En somme, ces médicaments vous transforment en femme pour sauver votre prostate…

 

…mais pour cela, vous accepter le risque de sacrifier votre vie intime ET votre masculinité.

 

Vous risquez de perdre votre libido, de ne plus avoir d’érections… et chemin faisant, de vous arrondir, de perdre vos poils, d’avoir des seins qui poussent… pour finir dans cet entre-deux, ni homme ni femme, où vous ne savez plus qui vous êtes.

 

C’est pourquoi je vous pose la question : êtes-vous prêt à devenir une femme pour échapper à l’hypertrophie de la prostate ? Ou préférez-vous chercher une autre façon de contrôler votre prostate ?

 

Ce n’est pas tout. L’autre famille de médicaments contre l’hypertrophie bénigne de la prostate offre son lot de complications elle aussi… Et vous devez être mis au courant.

 

 

Alpha-bloquants : vous pourriez éjaculer dans votre vessie

 

Les alpha-bloquants sont eux aussi censés combattre l’hypertrophie bénigne de la prostate, mais ils ne s’attaquent pas au même problème que les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase[9].

Leur rôle est de combattre la prolifération cellulaire dans votre prostate.

 

C’est-à-dire que votre taux de DHT fait gonfler la prostate… mais cela dépend aussi de la sensibilité des récepteurs de votre prostate. Parfois, ce n’est pas un taux excessif de DHT qui cause le problème, c’est que les récepteurs de votre prostate sont trop sensibles à la DHT, même en quantités modérées. C’est pour cela qu’on vous prescrit des alpha-bloquants.

 

Leur fonction première est de « faire dégonfler » la prostate pour réduire la pression exercée sur l’urètre… et donc vous permettre d’uriner mieux

 

Mais comme pour les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase, je dois vous avertir : il y a des effets secondaires.

 

L’un des plus fréquents est l’éjaculation rétrograde. Le nom vous dit quelque chose ?

 

Pour faire simple, au moment d’éjaculer, le sperme ne sort pas par l’extrémité de la verge à travers l’urètre… Mais prend le mauvais canal et jaillit à l’intérieur de votre vessie. Plus tard, il sera évacué dans votre urine[10].

 

Bien sûr, puisque le sperme reste à l’intérieur, vous êtes infertile. Mais la plupart du temps, vous n’arrivez même pas à maintenir une bonne érection, comme pour les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase… et ce n’est pas fini.

 

 

Vertiges, somnolence, hypotension…

Les alpha-bloquants, une drogue dure en accès libre

 

Les alpha-bloquants sont connus pour provoquer de la somnolence et des vertiges… ce qui, à terme, peut rendre difficile le simple fait de conduire une voiture. Toute activité physique devient pénible, et vous n’arrivez pas à vous concentrer[11].

 

Aussi, pour sauver votre prostate, vous devrez renoncer aux activités courantes, vous affaler dans votre canapé et regarder le temps qui passe… une des meilleures façons de vieillir prématurément.

Un autre effet inquiétant des alpha-bloquants est l’hypotension. C’est pourquoi ils doivent être prescrits avec précaution aux patients âgés et/ou coronariens – et plus largement, à toute personne fragile du cœur. Soyez particulièrement prudent si vous prenez des médicaments contre l’hypertension… l’effet « cocktail » avec le rôle hypotenseur des alpha-bloquants pourrait être très dangereux.

 

Je crois qu’à présent, vous comprenez pourquoi les traitements classiques pour la prostate sont aussi controversés… et les effets secondaires possibles sont si violents que même les organismes comme l’Association Française d’Urologie, bien tenus par les discours officiels, vous supplient de faire attention.

 

Maintenant, je voudrais vous rassurer : il existe une solution naturelle surpuissante, qui vous permettrait de reprendre un contrôle total sur votre prostate.

 

Cette solution est un espoir pour tous les hommes d’âge mûr, l’espoir de bien vieillir, avec une prostate de taille normale, et des fonctions urinaires et érectiles en bon état.

 

Seulement, cela implique de sortir des sentiers battus… mais je vous en reparlerai très bientôt

 

Avant cela, il nous reste à voir le scénario n°3 : la chirurgie. En effet, avec plus de 20 000 opérations par an, le « curetage » ou l’ablation de la prostate est une pratique courante, très courante si vous avez plus de 65 ans.

 

En effet, dans ma dernière lettre, j’insistais sur l’absence de garantie de ces médicaments : beaucoup d’entre eux ne suffisent pas à ralentir l’hypertrophie de votre prostate, et ne vous rendent ni confort urinaire ni capacité érectile.

 

C’est pourquoi entre 20 000 et 25 000 hommes subissent une opération de la prostate chaque année en France. Pour beaucoup, il s’agit d’une ablation totale de la prostate (on parle de prostatectomie radicale) suite au dépistage d’un cancer… et pour d’autres, d’un curetage de la prostate.

 

Quelles sont ces opérations ? Comment s’y prennent les chirurgiens pour atteindre votre prostate ? Quels sont les résultats espérés, et les effets secondaires de telles interventions ? Dans les lignes qui suivent, je vais répondre à toutes les questions que vous vous posez sur la chirurgie de la prostate.

 

 

La résection endoscopique, une machine infernale à travers votre urètre

 

La résection endoscopique est une opération pénible et risquée qui vous sera prescrite après l’échec des médicaments.

 

Si votre traitement ne permet pas de réduire assez la taille de votre prostate, ni de vous permettre d’uriner correctement, votre médecin vous orientera vers cette opération.

Il s’agit d’élargir l’urètre au niveau du passage de la prostate (car l’urètre est branché sur la vessie et passe par la prostate afin d’atteindre votre verge). Pour élargir le canal, le chirurgien va introduire un résectoscope dans votre verge, et l’enfoncer dans l’urètre jusqu’à la prostate.



Pour ceux qui l’ignorent, voici ce qu’est un résectoscope…

Ensuite, il va découper des petits copeaux de prostate pour donner de la place à l’urètre. Les petits copeaux seront analysés pour détecter certaines complications (présence de tissus cancéreux, par exemple).

Résection endoscopique

Après l’opération, les médecins installent une « sonde vésicale » dans votre urètre. Il s’agit d’un petit tuyau qui va jusqu’à la vessie pour évacuer l’urine. Cette sonde sera maintenue quelques jours pour laver la vessie en continu et éviter la formation de caillots.

 

Vous resterez à l’hôpital environ une semaine, gavé d’antidouleurs, jusqu’à ce que vous arrêtiez d’uriner du sang – il faut compter deux à trois mois pour une cicatrisation complète.

 

Pendant un mois, tout effort est à proscrire, rapports sexuels inclus… et pour la suite, les choses ne sont pas réjouissantes : vous souffrirez d’éjaculation rétrograde dans 90% des cas[12] (au lieu d’être propulsé à l’extérieur au moment de l’orgasme, votre sperme est envoyé dans votre vessie), et vous pouvez être sujet à des infections urinaires.

Bien sûr, il y a un risque non nul d’incontinence urinaire… Mais cette opération reste la version « bénigne » de la chirurgie prostatique.

 

 

Prostatectomie radicale : votre urologue va vouloir tout couper !

 

L’opération la plus courante (et la plus lourde) en cas d’hypertrophie bénigne ou de cancer de la prostate est l’ablation totale de votre prostate, ou « prostatectomie radicale ». Elle est pratiquée massivement depuis une vingtaine d’années[13]… à cause d’une peur panique du cancer de la prostate.

Le principe est simple : il s’agit d’enlever toute votre prostate, avec les vésicules séminales et les ganglions reliés – c’est tout l’appareil prostatique qu’on vous retire. L’opération peut durer jusqu’à 4 heures, selon la méthode utilisée[14] :

 

  • Voie rétropubienne (incision pratiquée sous l’abdomen)

  • Voie périnéale (incision pratiquée entre le scrotum et l’anus)

  • Voie coelioscopique (incisions multiples dans l’abdomen)

 

 

Peu importe ce qui vous sera prescrit : l’ablation de la prostate est une opération lourde avec de nombreux effets secondaires, qui peut parfois même être réalisée… sans motif valable.

 

 

Biopsie de la prostate :

le thermomètre qui donne la fièvre ! (ou comment traiter un cancer imaginaire)

 

La prostatectomie radicale survient quand votre hypertrophie bénigne de la prostate échappe à tout contrôle (et qu’une résection endoscopique ne suffit pas), mais surtout en cas de dépistage positif au cancer de la prostate.

 

Mais la méthode de dépistage, justement, pose parfois problème. Le toucher rectal, tout d’abord, est là pour détecter une anomalie – il n’indique rien de définitif.

 

Si anomalie il y a, l’étape suivante, décisive, est l’analyse sanguine pour mesurer le PSA (antigène spécifique de la prostate). Or, un niveau élevé de PSA n’est pas synonyme de cancer[15] : une inflammation de la prostate, ou une hypertrophie, suffisent à faire monter le taux de PSA.

 

À cause d’erreurs d’interprétation, de nombreux patients subissent des traitements lourds et violents : radiothérapie ou chimiothérapie… et parfois même chirurgie !

 

Avant de comprendre que le cancer n’existe pas.

 

Ce n’est pas tout : si votre taux de PSA est inquiétant et que votre médecin veut être sûr avant d’entamer tout traitement (ce qui est sage), il vous fera faire une biopsie de la prostate. Il s’agit de prélever de petits morceaux de prostate à l’aide d’une longue aiguille introduite dans le rectum.

 

Cette technique intrusive va créer une inflammation… et donc faire monter artificiellement votre taux de PSA : c’est le thermomètre qui donne la fièvre !![16]

 

D’autant que l’examen est souvent imprécis : de nombreuses biopsies sont effectuées en dehors de la zone tumorale. Il peut donc y avoir de faux négatifs si le prélèvement tape « à côté », comme des faux positifs si l’on se concentre trop sur le taux de PSA.

 

 

Rendez-vous au rayon « couches pour adultes » de votre supermarché

 

Vous comprenez qu’avec toutes ces erreurs, toutes ces approximations… De nombreuses prostatectomies (ablation de la prostate) pourraient être évitées. C’est d’autant plus important que cette opération peut entraîner une cascade d’effets secondaires particulièrement violents :

 

Incontinence urinaire voire fécale : vous ne contrôlez plus votre vessie et vous vous « faites » dessus fréquemment[17]… dans certains cas, vous pouvez également perdre le contrôle de votre rectum, et vous vous déféquez dessus. Vous comprenez pourquoi les grandes surfaces sont de plus en plus nombreuses à vendre des couches pour adultes.

 

Diminution de la taille du pénis[18] : la zone uro-génitale est complètement désorganisée suite à l’ablation de votre prostate. Votre pénis « s’enfonce » à l’intérieur, et perd en moyenne 1,3 cm (la taille d’une phalange) pendant un an – si vous avez de la chance.

 

Impuissance et dysfonction érectile : comme la plupart des solutions à l’hypertrophie bénigne de la prostate, l’ablation de la prostate vous rend impuissant pendant de longs mois[19]… et même au-delà, seuls 10% des hommes opérés retrouvent une fonction érectile satisfaisante.

 

Et tout ça pour quoi ? Parce qu’on a peur du cancer de la prostate. Mais connaissez-vous vraiment cette maladie ? Bien sûr, c’est le plus fréquent chez l’homme : (26% de l’ensemble des cancers masculins) avec environ 60 000 nouveaux cas et 8 000 décès par an en France[20].

 

Pourtant, le cancer de la prostate est loin d’être le pire… En fait, on le surnomme même la « tortue » des cancers car il met beaucoup de temps à devenir dangereux. De nombreux hommes meurent d’« autre chose », alors même qu’ils ont développé un cancer de la prostate… sans même le savoir !

 

C’est dû à la fois à la lenteur à laquelle il se développe, mais aussi à l’âge moyen tardif auquel il apparaît.

 

Il doit être pris au sérieux… mais avec une hygiène de vie adaptée et des dépistages fréquents, il est de ces maladies qu’on peut prendre à temps, et sur lesquels ils est possible d’avoir un contrôle sans céder à la panique. Voilà un conseil important pour vous : RÉFLÉCHISSEZ avant de vous faire retirer la prostate.

D’autant que si vous êtes vraiment affecté par les soucis liés à une prostate hypertrophiée, il existe une alternative à ces 3 scénarios ; une alternative que peu connaissent, que la médecine classique ignore, mais qui pourrait bel et bien vous éviter toutes ces complications et ces effets secondaires… je vous en parle dans quelques lignes.

 

 

Aucun de ces 3 scénarios ne vous fait envie… mais il existe une quatrième voie

 


Ces complications ne sont pas systématiques, mais fréquentes

Je sais que pour certains, ces informations sont éprouvantes à lire… et dans chaque scénario, on constate qu’il faudrait sacrifier tout un pan de sa vie pour espérer rester en bonne santé, ou retrouver un peu de confort au quotidien…

 

  • L’absence de traitement mène souvent aux problèmes urinaires, d’érection, voire au cancer de la prostate…

  • Les médicaments peuvent enterrer votre vie sexuelle et provoquer l’éjaculation rétrograde… sans oublier qu’ils vous font ressembler à une femme

  • La chirurgie peut engendrer saignements, impuissance, éjaculations rétrogrades voire une incontinence totale…

Mais vous me connaissez. Je ne suis pas du genre à baisser les bras. Après des semaines de recherches où j’ai épluché toutes les solutions naturelles pour votre prostate… J’ai trouvé quelque chose d’extraordinaire.

 

Ce n’est pas une « petite avancée ». C’est une révolution qui concerne tous les hommes de plus de 50 ans (et celles qui les aiment).

C’est pourquoi je voudrais vous parler du quatrième scénario pour votre prostate – et plus largement, pour toutes vos fonctions génito-urinaires.

 

Ce scénario n’est pas connu du grand public. Vous n’en entendrez pas parler à la télé, dans les journaux ou sur l'internet.

Pourtant, il permettrait à de nombreux hommes de retrouver un confort urinaire et une vie sexuelle épanouie.

Vous pourriez agir efficacement contre cet inconfort permanent :

 

  • Plus besoin de vous relever trois, quatre fois par nuit pour aller uriner

  • Plus cette impression de « ne pas avoir fini » en sortant des toilettes

  • Moins d’inconfort, de gênes, d’accidents

  • Moins de problèmes d’érection, ni de craintes de faire l’amour parce que vous ne savez pas si « vous allez pouvoir »

Imaginez-vous libéré de ce poids : c’est toute la vieillesse que vous repoussez. Vous pouvez continuer votre vie comme avant, sans craindre de devenir un vieillard incontinent, obligé de porter des couches.

 

Vous retrouvez sérénité, confiance en vous et joie de vivre… Vous pouvez faire du sport, voyager, jouer avec vos petits-enfants, faire la fête… Parce que vous n’êtes plus l’esclave de votre prostate, et vous sentez que rien ne peut vous arriver.

 

Mais je ne vous fais patienter plus longtemps : je vais vous la donner, cette alternative.

 

Dans les lignes qui suivent, vous allez découvrir comment la recherche a mis au point un ARSENAL 100% naturel composé d’actifs prévus pour reprendre le contrôle de ces troubles liés à la prostate.

 

 

3 trésors de la nature pour prendre soin de votre appareil génito-urinaire

 


Ce petit arbuste est un palmier nain, aussi appelé Sabal… sans doute l’actif naturel le plus puissant qui existe dans la nature pour soulager les troubles liés prostate.

Les substances qu’ils contient permettent de soutenir votre flux urinaire pour réussir à « tout sortir d’un coup ».  

 

Une étude, datant de 2004 et menée sur environ 4 000 personnes, a donné des résultats sensationnels : en 6 mois, les participants ont vu leur flux urinaire augmenter de 70% - ce qui veut dire qu’ils avaient beaucoup moins besoin d’aller aux toilettes. Le palmier nain vous permet donc de contrôler la taille de votre prostate ET de retrouver un flux urinaire correct en même temps.



Reconnaissez-vous ces pépins ? Ils pourraient vous garantir des nuits sans interruption…

Avec le palmier nain, l’extrait de graine de courge est un autre trésor de la nature pour votre prostate.

Son rôle est complémentaire avec celui du palmier nain :

 

  • Avec le palmier nain, vous maintenez un bon débit urinaire…

  • … et avec le pépin de courge, vous y retournez moins souvent – vos envies sont espacées et vous permettent de dormir correctement.

Une étude sur 60 hommes atteints d’hypertrophie bénigne de la prostate a montré que 90% d’entre eux ont noté une très bonne amélioration de leur confort urinaire après moins d’un an de supplémentation en pépins de courge[21]. La plupart d’entre eux ont souligné qu’ils se levaient beaucoup moins souvent la nuit et qu’il leur était moins pénible d’uriner.

 

L’épice la plus précieuse du monde, pour une vie intime heureuse et épanouie

Le troisième actif naturel dont je vais vous parler aujourd’hui est le safran, l’épice la plus précieuse au monde. Elle n’a pas de lien avec la fonction urinaire, mais sert à soutenir votre fonction sexuelle – or, la prostate est par définition un organe sexuel.

 

Différentes études ont conclu que le safran était un très bon stimulant pour la libido masculine, et permettait le maintien de la fonction érectile[22].

 

Or, souvenez-vous des gestes santé dont je vous ai parlé… Le journal européen d’urologie préconise entre 13 et 21 éjaculations par mois pour contribuer à réduire le risque de cellules qui dégénèrent en cancer de la prostate chez l’Homme. Or, l’hypertrophie bénigne de la prostate multiplie par deux le risque de problèmes d’érection – voilà une solution naturelle pour que vous puissiez maintenir une vie intime satisfaisante.

 

 

3 actifs naturels au renfort de votre prostate

 

Maintenant que je vous ai présenté ces trois plantes, vous devez vous demander…

 

« Ok, c’est bien gentil… mais qu’est-ce que je vais faire de ça ? Est-ce suffisant pour que ma prostate ne dégénère pas ? »

 

Je vais vous répondre honnêtement : c’est presque suffisant. C’est déjà beaucoup, et cela vous permettrait de soulager une bonne partie de vos soucis urinaires.

Mais il y a mieux. Et surtout, je ne voulais pas proposer une solution au rabais. 

Après des années de recherche, des équipes de recherche du monde entier ont identifié 3 autres ingrédients qui peuvent avoir une action positive sur les troubles liés à la prostate : 

 

  • Le lycopène (un caroténoïde, qu’on retrouve notamment dans la tomate)

  • Le zinc (un oligo-élément présent dans les huîtres, le germe de blé, les crevettes et le bœuf)

  • Le sélénium (un oligo-élément indispensable à l’Homme, qu’on retrouve sous forme de traces dans le crabe, le thon et certaines noix)

Vous devez vous demander ce que ces actifs viennent faire ici… la réponse est simple :

 

À propos du lycopène, certaines études semblent dessiner un lien entre sa consommation et le ralentissement de l’HBP[23]… même si l’on manque encore de recul sur ces études, certaines traditions anciennes semblent confirmer l’utilisation de lycopène chez les hommes vieillissants pour maintenir la santé de leur prostate.

 

À propos du zinc, l’EFSA confirme qu’il contribue au maintien d’un taux de testostérone normal dans le sang. On sait que la concentration en zinc dans la prostate est très élevée dans la prostate par rapport aux autres organes… et que chez les patients atteints d’hypertrophie bénigne de la prostate ou de cancer de la prostate, cette concentration en zinc diminue[24]. Ces études indiquent que le zinc joue un rôle important dans le fonctionnement de la prostate.

 

À propos du sélénium, on sait qu’il protège les cellules contre le stress oxydatif, qu’il contribue au fonctionnement normal du système immunitaire, et qu’il participe à une spermatogenèse (production de spermatozoïdes) saine et normale.

Mais ce n’est pas tout.

 

 

Profitez de l’effet synergie pour reprendre le contrôle de votre prostate

 

De puissantes synergies ont été constatées entre ces 6 ingrédients pour améliorer le fonctionnement de votre prostate.

 

Par exemple, en combinant Palmier nain et Extrait de graine de Courge, le nombre de réveils nocturnes pour aller urine

r baisse de près de 40%[25] chez des patients atteints d’HBP !!

 

 

Les exemples sont nombreux, mais sachez que je n’ai pas « le droit » de vous en parler : l’Union Européenne ne m’y autorise pas. Pour chaque ingrédient, il existe une liste « d’allégations » autorisées, et la plupart des ingrédients naturels, qui ne sont pas soutenus par des lobbys, en sont dépourvus…

 

 

6 trésors de la nature réunis dans une formule de choc

 

  • Palmier Nain

  • Extrait de pépin de courge

  • Safran

  • Lycopène

  • Sélénium

  • Zinc

Ces 6 actifs sont ce qui se fait de mieux pour maintenir la santé de votre prostate. Ils vous permettent de :

 

  • Maintenir votre confort urinaire (vous permet de vous « vider » correctement, de réduire le nombre d’aller-retours aux toilettes, de passer des nuits paisibles) – grâce au palmier nain notamment, et aux pépins de courge

  • Maintenir ou retrouver une vie sexuelle heureuse (conserver une bonne libido et une fonction érectile stable) – le safran et le zinc jouent ce rôle à merveille

Chacun d’entre eux a un rôle différent pour votre prostate, votre libido ou votre confort urinaire. Mais comme vous l’avez vu, il existe aussi de puissantes synergies entre les différents ingrédients que je viens de vous citer.

Jusqu’à maintenant, il n’était pas possible de trouver cette formulation dans le commerce… mais après le succès du premier complément alimentaire de PureSanté, j’ai décidé de me lancer à nouveau dans l’aventure !

 

Je connais bien les conséquences d’une hypertrophie de la prostate – les hommes de ma famille ont connu ça. Je sais que c’est un sujet de santé qui concerne plus de 8 hommes sur 10, et qui pourtant reste tabou. Et je sais que cette combinaison d’ingrédients est la plus puissante que je connaisse.

 

 

C’est pourquoi j’ai décidé de créer la Formule Prostate de PureSanté.

 

 

Une boîte comme celle-ci contient 120 gélules, soit un mois de supplémentation. À raison de quatre gélules par jour, vous pouvez espérer des résultats au bout de quelques semaines… et un confort retrouvé au bout de quelques mois.

 

 

Que pouvez-vous attendre de la Formule Prostate ?

 

Concrètement, cette formule a été pensée comme une façon pour tous les hommes de plus de 45 ans de garder ou reprendre le contrôle sur leurs fonctions urinaires ou sexuelles.

 

Voici ce que vous pouvez attendre des ingrédients – toutes ces allégations ont été validées par l’EFSA, l’autorité européenne de la sécurité des aliments :

 

  • Maintenir une fonction prostatique normale

  • Maintenir une fonction urinaire normale

  • Conserver un débit urinaire normal

  • Conserver un taux de testostérone normal

  • Soutenir votre système immunitaire et lutter contre le stress oxydatif

  • Soutenir votre spermatogenèse (production de spermatozoïdes)

  • Stimuler votre libido

  • Maintenir de bonnes érections

Maintenant, vous devez vous demander combien coûte ce produit qui pourrait vous permettre de récupérer une prostate en bon état ?

 

 

Comment obtenir votre Formule Prostate au meilleur prix ?

 

Je ne vais pas vous mentir : une formule qui contient autant d’ingrédients aussi coûteux est très difficile à produire.

 

Quand on est une petite structure, comme PureSanté, cela demande de prendre un risque : pour l’heure, 4 000 boîtes sont déjà prêtes à partir, stockées dans nos entrepôts, et cela nous a coûté plusieurs centaines de milliers d’euros d’investissements.

 

Voilà pourquoi une boîte de Formule Prostate (120 gélules, soit un mois de supplémentation) coûte 44,90€ (hors frais de port).

 

 

Mais vous pouvez faire des économies !

 

Il existe par ailleurs un moyen de faire baisser les prix (et de me simplifier la vie) : c’est de me dire, dès maintenant, combien vous en voulez

Vous pourrez faire jusqu’à 120€ d’économies par an. Votre Formule Prostate vous coûterait à peine plus d’1€ par jour - soit 39,90€ par mois.  (frais de ports offerts)

 

Voilà pourquoi je vous propose un abonnement. Grâce à cet abonnement, non seulement vous faites des économies supplémentaires… Mais surtout, vous n’avez pas besoin de repasser commande dès que votre boîte de Formule Prostate est finie ! 

 

C’est un service premium que j’ai baptisé la formule Harmonie

De votre côté, vous avez de nombreux avantages : 

 

  • Vous payez moins cher qu’en achetant « boîte par boîte » 

  • Votre prix est garanti à vie (même en cas d’EXPLOSION du cours du safran, du palmier nain, ou de n’importe quel ingrédient)

  • Vous économisez sur les frais de livraison (je vous les offre)

  • Vous êtes prioritaire sur les envois

  • Vous n’êtes jamais à court de Formule Prostate, et pouvez constater sans interruption ses effets de long terme

Quant à moi, j’ai une meilleure visibilité sur mes stocks… ce qui me permet de garantir les prix les plus attractifs possibles. 

 

La formule Harmonie est complètement flexible. Vous pouvez modifier quand vous voulez la fréquence et le volume d’envoi, sans frais, en contactant notre service client (ils sont très sympathiques, et très qualifiés). 

 

Et évidemment, c’est un abonnement sans engagement : vous êtes libre d’arrêter quand vous voulez. Il n’y a pas de coûts cachés. 

 

Pour commander Formule Prostate, vous n’avez qu’à cliquer sur le lien ci-dessous, et choisir la formule qui vous convient le mieux.

Cliquez ici pour choisir votre formule Prostate
BONUS de dernière minute : 3 cadeaux gratuits pour vous !

 

Vous savez que mon cœur de métier, c’est l’information. Je suis avant tout journaliste santé, éditeur, rédacteur en chef… et c’est récemment que je me suis lancé dans l’aventure des compléments alimentaires, en engageant des scientifiques qui partagent les mêmes valeurs que moi.

Voilà pourquoi en plus de votre Formule Prostate, je vous offre 3 e-books.

 

Ces documents arriveront dans votre boîte e-mail dès que vous aurez passé votre commande. En attendant l’arrivée de votre Formule Prostate, ils vous permettre de prendre dès maintenant votre santé en main.

Cadeau 1 – Tout comprendre à la prostate

 

 

Cet e-book regroupe tout ce que vous devez savoir sur la prostate, son fonctionnement, ses pathologies, et comment en prendre soin. Il complète à merveille le complément alimentaire Formule Prostate, et vous aide à éloigner autant que possible les complications autour de la prostate.

Vous saurez tout sur l’hypertrophie bénigne et le cancer de la prostate, l’hygiène de vie la plus adaptée pour maintenir une prostate en pleine forme, les gestes santé qui peuvent faire la différence…

 

Cadeau 2 – Vitamines et minéraux : ce qu’il faut savoir pour se supplémenter sans s’intoxiquer

 

 

Ce document sera votre machette dans la jungle des compléments alimentaires : quoi prendre ? Où suis-je carencé ? Quelle posologie respecter ? Toutes les réponses à vos questions sur la nutrition se trouvent dans ce rapport.

 

Cadeau 3 – Libido : le guide des solutions naturelles

 

 

Ce guide synthétique regroupe tout ce que vous devez savoir pour optimiser vos libido, affronter les éventuelles « pannes » et retrouver une vie intime épanouie et satisfaisante… parce qu’il n’y a pas d’âge pour s’aimer, et que rien n’est jamais définitif.

Si vous voulez pimenter votre vie de couple, retrouver vigueur et passion, ou simplement en apprendre davantage sur la libido masculine, ce guide va vous passionner.

Ces 3 cadeaux vous seront envoyés GRATUITEMENT dès que vous aurez passé commande - peu importe la formule que vous choisissez. Votre Formule Prostate arrivera dans les jours suivants par la Poste, mais vous aurez déjà tout ce qu’il faut pour l’utiliser au mieux selon vos besoins. 

Alors, si vous voulez tester la Formule Prostate de PureSanté sans risques et recevoir vos 3 cadeaux, cliquez ici. Vous serez invité à choisir votre formule, et c’est parti !

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Efficacité GARANTIE ou REMBOURSÉE

 

Je vous disais que vous pouvez tester GRATUITEMENT la Formule Prostate… 

 

Je m’explique. 

 

Je suis tellement certain de la qualité révolutionnaire de mon produit que j’ai décidé d’appliquer la garantie Satisfait ou Remboursé de PureSanté sur la Formule Prostate.

 

C’est simple : pendant 15 jours, vous êtes Satisfait ou Remboursé intégralement, et sans conditions. Il vous suffit de nous renvoyer vos boîtes fermées. Nous prenons même en charge les frais de réexpédition

Au-delà de 15 jours, vous êtes remboursé au prorata du nombre de boîtes fermées.

 

Cela signifie que si vous nous renvoyez 6 boîtes, dont 5 non utilisées, nous vous remboursons les 5, même si cela fait plus de 15 jours que vous avez reçu votre commande.

 

Vous ne prenez donc pas de risques, et vous avez tout le temps d’observer les effets de Formule Prostate

 

Alors, si vous souhaitez tester la Formule Prostate en avant-première… c’est le moment !

Je commande ma formule Prostate
Merci de m’avoir lu jusqu’ici. 


Amicalement,

Florent Cavaler

 

 
 

[1] http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/prostate/11851-prostate-symptomes-diagnostic.htm

[2] https://www.lejdd.fr/Societe/Sciences/Le-business-de-la-prostate-827716

[3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Prostate

[4] https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/adenome-prostate/definition-adenome-prostate

[5] https://www.hifu-prostate.fr/la-prostate/

[6] https://www.urofrance.org/congres-et-formations/formation-initiale/referentiel-du-college/hypertrophie-benigne-de-la-prostate.html

[7] https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-r%C3%A9naux-et-des-voies-urinaires/obstruction-des-voies-urinaires/obstruction-des-voies-urinaires

[8] https://pharmacomedicale.org/medicaments/par-specialites/item/medicaments-de-l-hypertrophie-benigne-de-la-prostate

[9] https://pharmacomedicale.org/medicaments/par-specialites/item/alpha-bloquants

[10] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89jaculation_r%C3%A9trograde

[11] https://www.urofrance.org/congres-et-formations/formation-initiale/referentiel-du-college/hypertrophie-benigne-de-la-prostate.html

[12] https://ramsaygds.fr/vous-etes-patient-en-savoir-plus-sur-ma-pathologie/operation-dun-adenome-de-la-prostate-par-les-voies-naturelles

[13] https://fr.wikipedia.org/wiki/Prostatectomie

[14] https://www.revmed.ch/RMS/2003/RMS-2461/23451

[15] https://www.revmed.ch/RMS/2014/RMS-N-425/Cancer-de-la-prostate-les-chiffres-francais-de-l-exces-de-depistage-et-de-ses-complications

[16] https://www.liberation.fr/societe/2012/04/04/prostate-la-fausse-piste-du-test_808091

[17] https://www.techniciendesante.fr/prostatectomie-effets-secondaires-incontinence/

[18] https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/cancerologie/la-taille-du-penis-victime-de-traitements-du-cancer-prostatique

[19] https://www.revmed.ch/RMS/2009/RMS-228/Fonction-sexuelle-apres-prostatectomie-radicale-revue-et-prise-en-charge-en-2009

[20] https://www.urofrance.org/congres-et-formations/formation-initiale/referentiel-du-college/tumeurs-de-la-prostate.html

[21] A. Hamvas and others, ‘Experience with the Peponen Capsule in the Management of Benign Prostatic Hyperplasia’, International Urology and Nephrology, 23.1 (1991), 51–55.

[22] Amirhossein Modabbernia and others, ‘Effect of Saffron on Fluoxetine-Induced Sexual Impairment in Men: Randomized Double-Blind Placebo-Controlled Trial’, Psychopharmacology, 223.4 (2012), 381–88 

[23] https://www.lanutrition.fr/les-news/le-lycopene-empeche-la-prostate-de-grossir

[24] Costello LC et al., The metabolism of prostate malignancy: insights into the pathogenesis of prostate cancer and new approaches for its diagnosis and treatment. Oncol Spectr. 2001 ; 2: 452–457.

[25] Samantha Coulson and others, ‘A Phase II Randomised Double-Blind Placebo-Controlled Clinical Trial Investigating the Efficacy and Safety of ProstateEZE Max: A Herbal Medicine Preparation for the Management of Symptoms of Benign Prostatic Hypertrophy’, Complementary Therapies in Medicine, 21.3 (2013), 172–79