Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (1793)
Article 19 - Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de reprendre sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
Article 35 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. |
Je ne suis pas toujours entièrement d'accord avec le contenu des documents mentionnés dans ce blog,
notamment dans les Annales,
mais je vous les signale car ils posent de vrais problèmes et peuvent vous faire réfléchir, réagir, ou
vous amener à voter autrement la prochaine fois !
VOTRE ATTENTION SVP !!!!!
Les années s'accumulent et depuis plusieurs mois j'ai de sérieux problèmes de santé
qui me font perdre beaucoup de temps...
Cependant le blog continue, dans toute la mesure du possible,
mais avec de regrettables "trous".
Désolé !
10/09/2021
1 - 11 septembre 1973 au Chili :
Le 11 septembre, c'est d'abord le triste anniversaire de la mort du Président chilien Salvador ALLENDE.
Voici le dernier discours qu'il prononça à la radio nationale, le 11 septembre 1973 :
"Je paierai de ma vie la défense des principes qui sont chers à cette patrie. La honte tombera sur ceux qui ont trahi leurs convictions, manqué à leur propre parole et se sont tournés vers la doctrine des forces armées.
Le Peuple doit être vigilant, il ne doit pas se laisser provoquer, ni massacrer, mais il doit défendre ses acquis. Il doit défendre le droit de construire avec son propre travail une vie digne et meilleure. À propos de ceux qui ont soi-disant « autoproclamé » la démocratie, ils ont incité la révolte, et ont d'une façon insensée et douteuse mené le Chili dans le gouffre. Dans l'intérêt suprême du Peuple, au nom de la patrie, je vous exhorte à garder l'espoir. L'Histoire ne s'arrête pas, ni avec la répression, ni avec le crime. C'est une étape à franchir, un moment difficile. Il est possible qu'ils nous écrasent, mais l'avenir appartiendra au Peuple, aux travailleurs. L'humanité avance vers la conquête d'une vie meilleure.
Compatriotes, il est possible de faire taire les radios, et je prendrai congés de vous. En ce moment des avions sont en train de passer, ils pourraient nous bombarder. Mais sachez que nous sommes là pour montrer que dans ce pays, il y a des hommes qui remplissent leurs fonctions jusqu'au bout. Moi, je le ferai, mandaté par le Peuple et en tant que président conscient de la dignité de ce dont je suis chargé.
C'est certainement la dernière occasion que j'ai de vous parler. Les forces armées aériennes ont bombardé les antennes de radio. Mes paroles ne sont pas amères mais déçues. Elles sont la punition morale pour ceux qui ont trahi le serment qu'ils ont prêté. Soldat du Chili, Commandant en chef, associé de l'Amiral Merino, et du général Mendosa, qui hier avait manifesté sa solidarité et sa loyauté au gouvernement, et aujourd'hui s'est nommé Commandant Général des armées.
Face à ces évènements, je peux dire aux travailleurs que je ne renoncerai pas. Dans cette étape historique, je paierai par ma vie ma loyauté au Peuple. Je vous dis que j'ai la certitude que la graine que l'on a confiée au Peuple chilien ne pourra pas être détruite définitivement. Ils ont la force, ils pourront nous asservir, ils mais n'éviteront pas les procès sociaux, ni avec le crime, ni avec la force.
L'Histoire est à nous, c'est le Peuple qui la fait.
Travailleurs de ma patrie, je veux vous remercier pour la loyauté dont vous avez toujours fait preuve, de la confiance que vous avez accordé à un homme qui fut le seul interprète du grand désir de justice, qui jure avoir respecté la constitution et la loi. En ce moment crucial, la dernière chose que je voudrais vous dire, c'est que la leçon sera retenue.
Le capital étranger, l'impérialisme, ont créé le climat qui a cassé les traditions : celles que montrent Scheider et qu'aurait réaffirmé le commandant Araya. C'est de chez lui, avec l'aide étrangère, que celui-ci espérera reconquérir le pouvoir afin de continuer à défendre ses propriétés et ses privilèges.
Je voudrais m'adresser à la femme simple de notre terre, à la paysanne qui a cru en nous, à l'ouvrière qui a travaillé dur et à la mère qui a toujours bien soigné ses enfants. Je m'adresse aux fonctionnaires, à ceux qui depuis des jours travaillent contre le coup d'État, contre ceux qui ne défendent que les avantages d'une société capitaliste. Je m'adresse à la jeunesse, à ceux qui ont chanté et ont transmis leur gaieté et leur esprit de lutte. Je m'adresse aux Chiliens, ouvriers, paysans, intellectuels, à tous ceux qui seront persécutés parce que dans notre pays le fascisme est présent déjà depuis un moment. Les attentats terroristes faisant sauter des ponts, coupant les voies ferrées, détruisant les oléoducs et gazoducs, face au silence de ceux qui avaient l'obligation d'intervenir. L'Histoire les jugera.
Ils vont sûrement faire taire radio Magallanes et vous ne pourrez plus entendre le son métallique de ma voix tranquille. Peu importe, vous continuerez à m'écouter, je serai toujours près de vous, vous aurez au moins le souvenir d'un homme digne qui fut loyal avec la patrie. Le Peuple doit se défendre et non pas se sacrifier, il ne doit pas se laisser exterminer et se laisser humilier. Travailleurs : j'ai confiance dans le Chili et dans son destin. D'autres hommes espèrent plutôt le moment gris et amer où la trahison s'imposerait. Allez de l'avant sachant que bientôt s'ouvriront de grandes avenues où passera l'homme libre pour construire une société meilleure.
Vive le Chili, vive le Peuple, vive les travailleurs ! Ce sont mes dernières paroles, j'ai la certitude que le sacrifice ne sera pas vain et qu'au moins surviendra une punition morale pour la lâcheté et la trahison."
2 - 11 septembre 2001 aux États-Unis :
Le 11 septembre, c'est aussi l'anniversaire de la démolition non pas de deux, mais de TROIS bâtiments du World Trade Center de New-York. Les tours 1 et 2, bien sûr, mais aussi le bâtiment 7, 186 m de hauteur tout de même, situé un peu à l'écart et qui n'a pas été touché par les avions. Ce bâtiment contenait entre autres toutes les archives de l'affaire Enron, un des plus énormes scandales politico-financiers de tous les temps... Est-ce pour cela que les journalistes-perroquets n'en parlent jamais ?
Les membres de la Commission d'enquête chargée de faire toute la lumière sur les événements ont fourni une interprétation tirée par les cheveux et à vrai dire hautement invraisemblable de l'effondrement des tours 1 et 2 mais à l'impossible nul n'est tenu : ils se sont refusés à avancer quelque explication que ce soit pour le bâtiment 7.
Renseignez-vous, faites l'effort de lire le rapport officiel !
Rapport final de la commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis
En ma qualité d'ingénieur, je ne crois pas une seule seconde que ces trois bâtiments aient pu s'effondrer comme ils l'on fait, en restant bien dans leur axe vertical, sous l'effet du seul impact des avions pour les deux premiers et de quelques feux de bureaux minimes pour le troisième. Mécaniquement parlant, c'est tout simplement impossible.
En effet, un bâtiment touché par un incendie, un tremblement de terre, un attentat ou tout autre endommagement involontaire ne s'effondre jamais à la verticale : il faudrait pour cela une symétrie parfaite à la fois des structures et des dommages, ce qui n'est jamais le cas dans la pratique. Toute dissymétrie, même minime, fait que les bâtiments endommagés commencent toujours par pencher d'un côté avant de se renverser au sol. De ce fait, la chute verticale des trois bâtiments ne peut s'expliquer que par un acte de démolition, un acte préparé par conséquent bien avant les « attentats » qui faisaient manifestement partie du scénario, selon des modalités dont je ne peux rien dire car je ne les connais pas. Mon analyse reste donc strictement limitée aux aspects techniques des trois effondrements.
Pour détruire un immeuble de grande hauteur (IGH), il n'existe guère d'autre solution que d'utiliser des explosifs. On affaiblit d'abord les structures porteuses à la base du bâtiment. On dispose ensuite, à des endroits soigneusement choisis, des charges explosives que l'on déclenche de façon simultanée ou selon une séquence précise, de façon à provoquer l'effondrement du bâtiment tout en préservant son environnement.
Il faut de plus faire en sorte que les matériaux utilisés pour la construction soient aussi fragmentés que possible pour faciliter leur évacuation. C'est essentiellement l'énergie potentielle libérée lors de l'effondrement du bâtiment qui réalise cette fragmentation, c'est pourquoi on cherche toujours à provoquer la chute libre des structures, tout « freinage » représentant une perte d'énergie préjudiciable à la démolition.
Les immeubles de grande hauteur comportent généralement un « noyau » central extrêmement résistant et protégé contre les incendies. Cette structure est conçue aussi étroite que possible pour réserver un maximum de place aux bureaux, aux appartements, etc. Elle contient les ascenseurs et les escaliers de secours, ainsi que les gaines techniques dans lesquelles passent les câbles électriques, les tuyaux d'eau, de ventilation, de chauffage, etc. Les murs extérieurs sont également des structures porteuses. Le noyau de chacune des tours jumelles comportait un faisceau de 47 piliers principaux en acier supportant 60 % du poids de l'édifice, les 40 % restants étant supportés par les quatre parois extérieures comportant chacune 59 piliers plus petits, soit 236 en tout, également en acier.
Pour démolir un tel immeuble, on commence par « foudroyer » le noyau central à l'aide d'explosifs qui brisent le béton ou de cordons de thermite qui permettent, par fusion, de couper en biseau les poteaux en acier ; une fraction de seconde plus tard, on provoque la chute des structures périphériques. Ce léger décalage provoque un effondrement de l'immeuble vers l'intérieur.
Le bâtiment 7 a très vraisemblablement été démoli de cette façon. Il n'a pas été touché par les avions, les quelques petits incendies de bureaux survenus çà et là, causés ou non par des projections de matériaux provenant des tours jumelles, ne peuvent en aucun cas expliquer son effondrement d'un bloc et en chute libre. Il en va de même pour la tour n° 2 : les vidéos de sont là pour en témoigner, la chute à la verticale de l'antenne qui surmontait le noyau central a précédé de quelques instants l'effondrement des structures extérieures. Il semble en outre qu'une série d'explosions successives, à différents niveaux, a été déclenchée pour accompagner la chute libre des deux tours 1 et 2, qui se sont effondrées de la même façon.
Tout ceci est expliqué très clairement sur le site de l'association Reopen 911 qui se bat pour qu'enfin le dossier soit rouvert et que les véritables responsables soient identifiés et condamnés :
http://www.reopen911.info/videos.html
Voyez la vidéo 8 (20 minutes) qui fait une synthèse peu détaillée, mais dense, la 9 et la 11 (1 h 30 en tout) qui entrent davantage dans le détail. Il n'est pas interdit de regarder également les autres et de faire connaître ce site !
Ema Krusi et Sylvain Laforest ont commémoré le vingtième anniversaire des démolitions dans cette vidéo :
https://emakrusi.com/video/gem-ch10-le-11-septembre-remake2021/
Bref, il n'est pas nécessaire d'avoir fait 50 ans d'études de haut niveau pour comprendre que les explications officielles données par la Commission d'enquête sont totalement bidonnées.
Je croirai à la « démocratie » états-unienne le jour où un président états-unien aura le courage de rouvrir le dossier...
... mais ce n'est sans doute pas demain la veille !
En 2020, beaucoup de ceux qui ont respiré les poussières produites par les démolitions sont déjà morts ou victimes de diverses maladies graves. Les tours contenaient notamment d'énormes quantités d'amiante...
Non seulement leurs propriétaires n'ont pas eu à payer les frais du désamiantage, mais ils ont été indemnisés, grassement et même doublement, puisqu'il y a eu DEUX attentats...
02/08/2021
Le goût de la vérité n'empêche pas la prise de parti. (Albert Camus)
Le sujet de la vaccination est particulièrement sensible ces temps-ci.
Entre le dogmatisme aveugle des pro-vaccins et le fanatisme souvent sectaire de certains anti-vaccins,
sans oublier le degré de corruption élevé qui règne dans le domaine de la santé
il est toujours difficile de faire la part des choses.
Les uns et les autres se fondent sur des convictions, non sur des faits.
Attention aux dogmes et aux idées préconçues concernant les vaccins !
Alors je cherche, je lis, j'étudie (Bac + 60 cette année), je recoupe...
et j'essaie de vous faire profiter de mes réflexions.
Ceci posé, je ne suis pas votre directeur de conscience,
je ne vous donnerai bien évidemment aucun conseil d'ordre médical,
je vous invite simplement
à vous REN-SEI-GNER,
à (re)prendre votre santé en main
et à vous forger votre propre opinion !!!!!!!
Ce que l'on sait du Covid-19 et de la façon de le combattre
est à la fois très parcellaire, souvent douteux, et extrêmement évolutif.
Ce qui est tenu pour vrai aujourd'hui peut très bien se révéler faux demain.
Tous les documents qui ont servi de base à ce texte sont mentionnés dans les annales.
N'hésitez pas à vous y reporter et à faire vos propres recherches
pour compléter votre information.
Plan de l'article :
Pour annoncer la couleur !
Fais-toi vacciner, tu seras tranquille !
me disait récemment un ami.
En doutez-vous ? Je ne suis bien sûr ni malade, ni testé, ni « vacciné ».
Je fais ce qu'il faut pour prévenir une éventuelle infection,
et je sais quels traitements appliquer en cas de besoin.
Je prends en toute conscience un risque modéré et je suis parfaitement serein.
En revanche, beaucoup de mes connaissances « vacciné(e)s »,
d'abord heureuses d'avoir pu bénéficier des piqûres tant désirées,
se posent aujourd'hui quantités de questions existentielles.
Surtout deux d'entre elles, hospitalisées dans un état sérieux
peu après avoir reçu leurs doses de mixture infernale.
Bref, si j'étais vacciné, je serais vraiment inquiet.
Tant que j'y suis : tout document dont on envisage de se servir doit être regardé avec un œil critique. On trouve en effet beaucoup de sottises lorsque l'on fouille un peu partout, notamment dans les tréfonds de l'internet, mais il faut se méfier encore plus de la désinformation pratiquée par des personnes malintentionnées.
Par exemple, on a pu lire ici ou là, arguments pseudo-scientifiques à l'appui, que les ondes émises par les antennes 5G pouvaient provoquer une infection par le Covid-19. C'est évidemment absurde et les "décodeurs" de service ne manqueront pas une telle occasion de dénoncer et de discréditer les "complotistes". Pendant ce temps, on ne parlera ni de la 5G comme l'outil indispensable pour mettre en place le flicage généralisé des populations, ni des effets potentiellement délétères des ondes électromagnétiques sur la santé des êtres vivants. Une façon comme une autre de faire d'une pierre deux coups...
Rions un peu : il paraît que si votre chat est mouillé, il ne faut pas le faire sécher au four à microondes,
et sachez par ailleurs que l'on trouve de fortes concentrations d'oxyde d'hydrogène dans la totalité des bouteilles d'eau minérale ;-))
Qu'on se le dise !
Données historiques :
Tout est parti d'un redoutable fléau : la variole, ou « petite vérole ». Cette maladie virale très contagieuse se manifestait par différents symptômes, dont le principal était une éruption de pustules caractéristiques. Elle tuait de 20 à 30 % des malades et les survivants étaient marqués à vie par les cicatrices. Parmi mes pires souvenirs d'enfance, je revois des personnes amputées au sortir des deux guerres mondiales et d'autres au visage « grêlé », parfois effrayant.
Dès l'Antiquité on savait d'une part que lorsque l'on avait guéri de la variole, on ne la contractait jamais une seconde fois, et d'autre part que cette maladie tuait beaucoup plus les adultes que les enfants. En Chine, en Inde, en Égypte, à Rome, on a pratiqué à différentes époques des techniques dites de variolisation qui consistaient à contaminer volontairement les personnes à protéger, notamment les enfants, avec des matériaux varioleux (habits portés par des malades, résidus vieillis de pustules, pus provenant de personnes faiblement atteintes, etc.). On espérait que la maladie provoquée serait alors peu virulente mais cette méthode assez risquée provoquait une mortalité non négligeable. Il fallait bien sûr isoler les personnes traitées par variolisation pour éviter le départ de nouveaux foyers épidémiques.
Le savant et philosophe andalou Averroès (1126 - 1198 ) a évoqué ces méthodes d'immunisation dans ses écrits.
La pratique de la variolisation est attestée en Chine en 1695.
La technique d'inoculation, importée de Chine via la route de la soie et inaugurée à Constantinople en 1701, fut importée en occident par Lady Mary Wortley Montagu, épouse de l'ambassadeur de Grande-Bretagne en Turquie. Elle a raconté dans ses Lettres turques comment les mères variolisaient leurs enfants dès leur plus jeune âge ; Lady Montagu fut considérée par certains comme une criminelle et par d'autres, comme une visionnaire.
À l'époque on ne disait pas encore complotiste.
Par la suite, les choses ont évolué assez lentement, car la variolisation ne concernait pas le peuple mais uniquement les membres de l'aristocratie et les grands de ce monde. En juin 1774, le jeune roi Louis XVI s'est fait inoculer la variole.
Le premier vaccin :
Il existe différentes sortes de varioles capables d'infecter les humains, ainsi que des maladies voisines touchant les animaux. Parmi ces dernières, une maladie des vaches, la vaccine, se transmet facilement aux humains, chez qui elle ne provoque qu'une infection peu grave. On savait depuis longtemps que les personnes chargées de traire les vaches contractaient facilement cette maladie et qu'elles étaient protégées par la suite contre la variole elle-même. Dans le dernier quart du 18e siècle, en Angleterre, plusieurs chercheurs avaient expérimenté avec succès la contamination par la vaccine plutôt que par la variole elle-même.
Wikipédia cite les noms de Sevel, Jensen, Jesty (1774), Rendall, Plett (1791).
Cette immunisation fut ensuite théorisée par le médecin anglais Edward Jenner. Le 14 mai 1796, celui-ci inocula à un jeune garçon de 8 ans le pus provenant des mains d'une trayeuse infectée par la vaccine. L'enfant eut de la fièvre mais pas de maladie grave. Par la suite, il fut soumis à deux reprises à la variolisation sans présenter le moindre signe d'infection.
Jenner en déduisit que l'enfant était immunisé, grâce à une méthode bien moins dangereuse que la variolisation.
Cela se passait presque un siècle avant les travaux de Louis Pasteur...
Jenner poursuivit ses travaux, qui furent communiqués à la Royal Society et acceptés après des années de méfiance et d'hésitation par la communauté médicale anglaise. En 1840, le gouvernement britannique interdit la variolisation et promut la vaccination gratuite.
En fait on ne parlait pas encore de vaccination, puisque le terme ne fut inventé que bien plus tard.
L'immunisation par la vaccine se répandit ensuite dans toute l'Europe. Napoléon 1er fit traiter son fils, le Roi de Rome.
Jenner, poursuivant ses recherches, reçut deux bourses de 10 000 et 20 000 £ pour compenser la perte de ses revenus de médecin.
La Jennerian Institution fondée en 1803 devint en 1808 le National Vaccine Establishment.
En 1811, un nombre significatif de Londoniens vaccinés contracta la variole mais sous une forme très atténuée.
[màj 1er août 2021] - Louis Pasteur (1822 - 1895) :
En France, Louis Pasteur reste dans l'imaginaire collectif comme le père de la vaccination, ce qui est faux, comme on vient de le voir. Il est en revanche beaucoup moins connu à l'étranger, où sa réputation n'est pas toujours très flatteuse.
Pasteur, physicien et chimiste de formation, était un scientifique brillant et un travailleur acharné qui possédait, entre autres qualités, celle de savoir détecter les « bons coups » et de s'approprier sans vergogne les découvertes des autres, après les avoir vivement critiquées. On sait par de nombreuses sources fiables qu'il n'hésitait pas à maquiller les résultats des expériences qui n'allaient pas dans le sens de ses théories.
C'est Antoine Béchamp (1816 - 1908), l'un des plus grands savants du 19e siècle, aujourd'hui très injustement oublié, qui a fait la plupart des découvertes attribuées à Pasteur. Il fut le premier à comprendre le rôle des « microbes » dans les maladies infectieuses. C'est lui qui découvrit l'origine parasitaire de la pébrine, une maladie des vers à soie, mais c'est Pasteur qui, après avoir discrédité le travail de Béchamp, fut chargé en 1865 par le gouvernement d'étudier cette infection. Pasteur connaissait tous les rouages de la communication et des relations publiques ; il savait notamment s'attirer les bonnes grâces des hommes politiques. Plus tard, il n'hésita pas à déclarer devant l'Académie des sciences que l'origine de la pébrine avait été entièrement « ignorée avant mes recherches ».
Il faudrait réhabiliter Béchamp, dont l’œuvre considérable a été très injustement glissée sous le tapis.
Ce n'est pas Pasteur, mais le vétérinaire Pierre Victor Galtier, qui créa le premier vaccin antirabique. Pasteur n'eut de cesse de dénigrer les travaux de Galtier avant de se les approprier. Cependant, le vaccin de Pasteur, qui utilisait de la moelle desséchée, fut vite abandonné car il était beaucoup trop dangereux. Émile Roux, collaborateur de Pasteur, avait d'ailleurs refusé de participer aux premiers essais de « traitement intensif », c'est-à-dire des injections multiples pendant 12 jours. En 1886, pas moins de 74 morts furent décomptés suite à cette expérimentation hasardeuse, en France et à l'étranger. Cette affaire et quelques autres furent étouffées grâce aux relations de Pasteur, notamment parce que la République avait besoin de redorer son blason en mettant en valeur quelques « héros de la nation ».
Le 8 octobre 1886, le jeune Édouard Rouyer fut mordu par un chien errant dont l'état ne fut jamais connu ou dévoilé. Enragé ou non, on ne sait pas. Pasteur lui inocula son vaccin-tueur, celui qui fut tant décrié par Roux, puis le soumit à son traitement intensif. Il mourut le 28 octobre suivant. Le père d’Édouard porta plainte contre Pasteur, dont les exactions étaient alors largement connue dans le corps médical. Les tribunaux firent appel au « sage parmi les sages », le Pr. Paul Brouardel. Celui-ci prit contact avec Émile Roux et demanda son aide. Pour connaître la vérité, ils inoculèrent une partie du bulbe cervical de l'enfant à des lapins, qui moururent de la rage quelques jours plus tard. Le doute n'était plus permis mais Brouardel, qui s'était consacré pendant de nombreuses années à démasquer et éliminer les charlatans, dut avec l'accord de Roux déposer un faux témoignage devant la justice pour dissimuler la vérité, préservant ainsi les intérêts financiers et politiques liés à la vaccination. Pasteur, ainsi sauvé du déshonneur, affirma que l'enfant était mort d'une crise d'urémie.
En mars 1886, Pasteur déclara au Dr Navarre : Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode ; je ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences !
La pratique du mensonge et de la falsification, désormais institutionnelle de la part de nombreux « scientifiques » au prestige usurpé, n'est pas nouvelle !
Le Professeur Michel Peter (1824 - 1893), de l'Académie des sciences, déclara devant ses pairs : La rage chez l’homme est une maladie rare, très rare ; j’en ai vu deux cas, en trente-cinq ans de pratique hospitalière et civile et tous mes collègues des hôpitaux, de la ville, comme de la campagne, comptent par unités et non par dizaines (encore moins par centaines), les cas de rage humaine qu’ils ont observés. Pour amplifier les bienfaits de sa méthode et en masquer les insuccès, M. Pasteur a intérêt à faire croire plus forte la mortalité annuelle par la rage en France.
Faire peur, déjà !
Mais Peter ne s'est pas arrêté là. Il a accusé Pasteur d'avoir provoqué des cas de rage paralytique et même convulsive, au lieu de l'avoir fait disparaître complètement. La méthode de M. Pasteur n’est pas moins jugée au point de vue de l’analyse des cas de mort, l’analyse clinique démontrant qu’un certain nombre de ces cas mortels sont dus aux inoculations pastoriennes, ce qui explique l’augmentation de la mortalité par la rage chez l’homme. Et il conclut : Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne !
L'affaire des moutons de Pouilly-le-Fort vaut son pesant de verre pilé, et qu'on la raconte.
Henri Toussaint avait découvert la nature de la maladie du charbon, ou anthrax, qui s'attaquait au bétail. Il avait aussi trouvé comment atténuer la virulence de la bactérie resonsable Bacillus anthracis avec du bichromate de potassium, et comment formuler un vaccin. Vaccin dont Pasteur prétendit qu'il était dangereux, lui-même ayant tenté d'affaiblir la bactérie par l'oxygène de l'air. Le 28 août 1881, 25 moutons pris sur un lot de 50 furent vaccinés non pas avec le vaccin de Pasteur mais avec celui de Toussaint. Quinze jours plus tard, on inocula aux 50 moutons la bactérie du charbon et comme par hasard, les 25 vaccinés survécurent. Pasteur sortit glorifié de cette lamentable tromperie, un exemple parmi beaucoup d'autres.
Trois postulats fondamentaux, énoncés par Pasteur vers 1870, sont toujours pris pour paroles d'évangile par les partisans de la vaccination et on les trouve encore dans la plupart des argumentaires :
Tout n'est évidemment pas négatif dans les travaux de Pasteur, loin de là, et on ne peut pas lui en vouloir de s'être trompé sur ces trois points ; en revanche on peut reprocher aux « vaccinalistes », qui se réclament encore de ces postulats, de feindre d'ignorer les travaux qui les contredisent formellement.
Pasteur a tout noté de ses travaux dans une centaine de carnets de laboratoire qui, selon sa propre volonté, ont été interdits à la consultation publique pendant près d'un siècle. Les étudiants et les chercheurs n'ont pu ouvrir ces archives que dans les années 1970 à la Bibliothèque nationale de France, et les surprises n'ont pas manqué...
Et que peut-on dire qui vaille, à propos du jeune Joseph Meister ? Sans aucun doute... qu'il a eu beaucoup de chance !
Les curieux (vous devez en être si vous lisez ces lignes !) trouveront bien d'autres informations sur ce sujet, pour peu qu'ils fassent quelques recherches. Je vous recommande notamment cet article d’Éric Gebus :
L'auteur conclut ainsi :
À la lumière de ces informations, on peut encore considérer Pasteur comme un génie mais dont les compétences tiennent plus de la rhétorique et des relations publiques que des sciences dures...
et ceux-ci :
https://histoiresdefrance.wordpress.com/2015/05/18/pasteur-un-imposteur/
https://avicennesy.wordpress.com/les-grandes-arnaques/pasteur-sauveur-ou-imposteur/
https://www.wakeupinfo.fr/2017/09/le-mythe-pasteur-un-siecle-de.html
L'article publié dans la Wikipédia française, certes moins tranchant, est également très riche.
Pour terminer ce paragraphe : Pasteur, avec Roux et Brouardel devenus ses complices, mais aussi avec des industriels avides de profits faciles grâce aux vaccins, furent impliqués dans toute une série d'affaires maffieuses avec leurs lots de chantages, pots de vin, menaces, tentatives d'assassinat, interventions de faux avocats, manipulations, etc.
Toute ressemblance entre le panier de crabes de l'époque et les actuelles branches pourries de la médecine, dignes héritières de la corruption pastorienne, ne saurait être, bien évidemment, qu'une longue série de coïncidences...
Les mensonges d’État, notamment, ne sont pas choses nouvelles !
Pasteur, un génie, un sale type, ou les deux à la fois... ? DO-CU-MEN-TEZ vous !
[màj en travaux] Big Pharma ou Bad Pharma ?
Aux États-Unis, les dirigeants d’entreprise qui commettent des actes criminels soient rarement poursuivis et les amendes sont considérées en pratique comme des « coûts commerciaux » qui n'empêchent pas les actionnaires de recevoir de juteux dividendes.
Johnson & Johnson :
Société condamnée, avec 3 autres plus petites, à payer 26 000 000 000 $ de dommages et intérêts pour leur rôle dans le scandale des antidouleurs opioïdes aux États-Unis. La CDC a estimé que ces drogues très addictives avaient fait au moins 500 000 morts entre 1999 et 2019.
La même société a vendu pendant des années de la poudre pour bébés et d'autres cosmétiques contenant de l'amiante. Elle envisage de créer une autre société fabriquant ces produits avec l'intention de la déclarer un peu plus tard en faillite pour éviter de payer des dommages et intérêts.
Moderna :
Société créée en 2010. Avant son autorisation d'utilisation d'urgence de son vaccin, Moderna n'a jamais pu commercialiser le moindre médicament, elle n'a donc jamais eu de problèmes judiciaires avec ses productions. Accumulant les pertes dès son origine, elle a néanmoins subsisté grâce à des subventions publiques massives du gouvernement états-unien et du Pentagone. La société est très secrète et ne publie pas dans les revues, en revanche elle dépose de nombreux brevets.
Moderna est engagée dans divers conflits d'intérêts qui mettent en jeu l'administration Trump, puis celle de Biden, ses responsables ont participé à des jeux de chaises musicales avec des transfuges d'autres laboratoires tels que le britannique GSK et Eli Lilly. Ses relations avec le NIAID et le Dr. Anthony Fauci ne sont pas claires.
En 2016, Moderna a obtenu 20 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates pour le développement de vaccins utilisant l'ARNm. Le 23 janvier 2020, Moderna a annoncé qu'elle avait reçu un financement du CEPI, un fonds pour les vaccins créé par la Fondation Bill et Melinda Gates et le WEF de Davos, entre autres pour développer un vaccin à ARNm contre le coronavirus.
Chers clients plus ou moins forcés de Moderna, je pense que vous ressentirez un immense plaisir en apprenant que la dite société planque les bénéfices de ses « vaccins » dans les pires paradis fiscaux... cherchez un peu (OXFAM, SOMO, etc.) !
Pfizer :
Un des plus importants fabricants de vaccins au monde, dont le casier judiciaire est très chargé en matière de fraudes, corruptions, falsification, dommages avérés.
Le détail de ses études sur les vaccins Covid n'a toujours pas été publié.
En 2009, Pfizer a dû payer la plus grosse amende jamais versée par une firme pharmaceutique pour publicité mensongère et versement de pots-de-vin à propos de ses médicaments Bextra et Celebrex. La société a plaidé coupable d'avoir commercialisé 4 médicaments, dont le Bextra, avec l'intention de frauder ou d'induire en erreur. Son médicament Zantac contre les brûlures d'estomac est contaminé par un produit cancérigène.
Pfizer a illégalement versé des pots-de-vin à des médecins pour l’utilisation « non indiquée sur l’étiquette » de plusieurs de ses médicaments, ce qui a entraîné des blessures ou la mort de patients. Parmi ceux-ci figuraient le Bextra (valdécoxib) ; le Geodon (ziprasidone HCl), un antipsychotique atypique ; le Zyvox (linézolide), un antibiotique ; le Lyrica (prégabaline), un médicament contre les crises d’épilepsie ; son célèbre Viagra (sildénafil), un médicament contre les troubles de l’érection ; et le Lipitor (atorvastatine), un médicament contre le cholestérol.
Il faut ajouter à la liste les médicaments douteux vendus par les filiales de Pfizer, comme le Neurotin.
En 2020, alors que son vaccin contre le Covid était en cours de développement, Pfizer a payé 13 150 000 dollars en lobbying auprès du Congrès et de fonctionnaires à Washington, entre autres. Il faut également noter que la Fondation Bill et Melinda Gates détient des parts à la fois de Pfizer et de leur partenaire dans le principal vaccin à ARNm, l’allemand BioNTech.
C'est à ces sociétés-là que les vaccinés ont fait confiance. Je ne leur en accorde personnellement aucune !
firmes diverses :
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immunité
[màj 4 août 2021] Essais cliniques, efficacité relative et efficacité absolue d'un vaccin
Nous entrons dans le dur, je vais m'efforcer d'être à la fois simple et rigoureux dans mes démonstrations !
Pour évaluer l'efficacité d'une action (une vaccination, un traitement, ou d'ailleurs n'importe quoi d'autre), il faut rechercher en quoi les personnes qui ont subi cette action sont devenues différentes des autres.
Prenons le cas d'un vaccin. On va d'abord définir deux groupes de personnes composés de la façon la plus similaire possible : même répartition des âges, mêmes pourcentage d'hommes et de femmes, même proportion d'obèses, etc. L'un de ces groupes recevra le vaccin, l'autre un placebo. Pour que personne ne soit influencé par des considérations psychologiques ou autres, ni les personnes qui administrent le produit, ni celles qui le reçoivent, ne savent s'il s'agit du vaccin ou du placebo. Bien entendu, il faut que les responsables de l'étude, idéalement conduite en double aveugle, sachent qui a reçu quoi. Chez les amateurs de franglais, dont je ne suis pas, on parle d'étude randomisée, c'est-à-dire aléatoire, soumise aux lois du hasard.
On peut de la même façon tester deux médicaments différents pour voir si l'un est meilleur que l'autre. Cependant, en présence d'une maladie grave dont on sait qu'elle expédiera ad patres la plupart de ses victimes, il devient criminel de tester en double aveugle et contre placebo un traitement potentiellement efficace : la guérison n'est certes pas assurée pour les malades mais on prive volontairement d'une chance de s'en sortir tous les membres du groupe placebo. Je répète : c'est criminel !
Au démarrage de l'essai, on va soigneusement vérifier que tous les participants à l'essai sont en bonne santé avant de leur administrer, autant que possible le même jour, à qui un vaccin, à qui un placebo.
Ces personnes vont ensuite reprendre le cours normal de leur existence. Certaines rencontreront l'agent infectieux contre lequel le vaccin a été élaboré, avec ou sans conséquences pour leur santé, d'autres n'auront pas l'occasion d'être contaminées.
Les nombres de personnes déclarées malades et/ou décédées augmenteront plus ou moins rapidement au fil des jours ; le suivi des deux groupes doit être poursuivi pendant un temps suffisant pour que ces nombres deviennent significatifs.
Il faut parfois arrêter un essai dont on sait qu'il ne sera pas concluant, par exemple si la cause de l'infection disparaît spontanément. Les dépenses engagées l'ont alors été pour rien, ou presque.
On espère évidemment que les données seront comptabilisées avec un maximum de perspicacité, de rigueur et d'honnêteté. En effet, s'il est difficile de contester la réalité d'un décès, encore faut-il s'assurer que ce triste événement a bien un rapport avec l'étude en cours. On exclura bien entendu des statistiques les personnes mortes à la suite d'un accident, d'un crime, d'une autre maladie, etc.
Pour les malades c'est nettement plus compliqué : entre les personnes qui pètent la forme, qui n'ont strictement aucun symptôme et celles qui souffrent incontestablement de l'infection étudiée, tous les stades intermédiaires sont possibles. Il se peut même que la maladie ne se manifeste pas de la même manière pour les membres du groupe placébo que pour les vaccinés...
La limite à partir de laquelle on compte quelqu'un dans la catégorie des malades est toujours extrêmement difficile à définir, tant les réactions et les comportement individuels peuvent être diversifiés, voire inattendus.
Prenons un exemple « à caractère scolaire » en utilisant, pour la clarté de l'exposé, des nombres simples mais néanmoins réalistes.
Considérons deux groupes de 10 000 personnes chacun, l'un ayant reçu le vaccin à tester, l'autre un placebo.
Quelques mois après l'administration des produits, on fait les comptes en supposant évidemment que tout s'est passé pour le mieux du double point de vue de l'éthique et de la déontologie !
Prenons comme base de calcul les données brutes suivantes :
Dans cet exemple, les effectifs des malades semblent montrer une forte tendance en faveur du vaccin mais c'est l'inverse pour les personnes décédées dont le nombre (heureusement) très faible est très insuffisant pour servir de base à des statistiques fiables.
Évidemment un tel résultat poserait un problème d'ordre politique pour n'importe quel gouvernement honnête. Que faire si la maladie se révèle bénigne pour la quasi totalité des malades, vaccinés ou non, et mortelle dans un tout petit nombre de cas ? En prolongeant l'étude, on obtiendrait des résultats plus robustes mais quand le temps presse, peut-on se permettre d'attendre six mois de plus... ?
Le Professeur Didier Raoult a définitivement raison quand il conseille avec insistance de toujours revenir aux données brutes.
Je me propose maintenant de vous montrer que la façon d'interpréter les données et la forme sous laquelle on présente les résultats peuvent être extrêmement tendancieuses.
Première tentation, fautive : dire qu'à effectif égal, on a trouvé cinq fois plus de malades déclarés dans le groupe placebo que dans le groupe des vaccinés, et donc que tout est réglé. Trop facile !
Pourquoi ?
Si l'étude reposait sur deux groupes de seulement 250 personnes, on pourrait dire : y'a pas photo ! Au pif, sans vaccin, la maladie paraitrait très fréquente (200 malades sur 250), sans doute très contagieuse, mais relativement peu grave (2 décès sur 250). Par ailleurs, il semblerait que le vaccin soit d'assez bonne qualité. Nous aurions là, en fait, une évidence, l'étude ne faisant qu'enfoncer des portes déjà ouvertes. Pour autant, cela n'empêcherait nullement de rechercher un autre vaccin meilleur encore, ainsi que des traitements efficaces et des méthodes de prévention. Une question tout de même : si la mortalité est légèrement supérieure dans le groupe des vaccinés, est-ce dû au hasard ou à un effet indésirable du vaccin ? Impossible de répondre au seul vu des chiffres !
En revanche, si la maladie est peu fréquente, le groupe placébo et celui des vaccinés doivent être beaucoup plus importants, 10 000 personnes, voire 100 000 ou plus, pour que l'on puisse disposer d'une base statistique raisonnable. Hélas, plus les effectifs des groupes augmentent, plus il devient difficile et coûteux de vérifier que l'étude n'est pas biaisée. Dans notre exemple, il faudrait tester 20 000 personnes pour détecter celles qui ont déjà contracté la maladie et sont donc plus ou moins immunisées. Si on ne le fait pas, il en résultera un biais, l'efficacité du vaccin sera surévaluée et la dangerosité de la maladie, sous-évaluée. Les traitements contre l'asthme, le cholestérol ou n'importe quoi d'autre, peuvent-ils favoriser ou contrecarrer l'action du vaccin et donc altérer les résultats, notamment dans le groupe des vaccinés ? Pour en avoir le cœur net, il faudrait faire d'autres études en double aveugle pour évaluer les effets de toute une ribambelle de produits sur l'efficacité du vaccin, et ces études révèleraient probablement d'autres problèmes inattendus.
C'est sans fin ! En fait, si les nombres de malades et surtout de morts sont très faibles par rapport à l'effectif des groupes, il devient vite impossible de détecter tous les biais possibles et donc de prouver quoi que ce soit de façon fiable.
Ce qui donne raison au Professeur Raoult, quand il affirme sans détours que si l'on doit recourir à un essai clinique en double aveugle pour démontrer un effet, c'est généralement que cet effet n'existe pas... sinon, on l'aurait déjà constaté !
Y a quéqu'chos' qui cloch' là-d'dans
J'y retourne immédiat'ment
(Boris Vian, La java des bombes atomiques)
Allons donc plus loin. Rappel des données brutes :
Appelons Mv la proportion de malades vaccinés (ici 0,004) et Mp la proportion de malades du groupe placebo (ici 0,02).
Deux formules sont utilisées actuellement pour évaluer l'efficacité d'un vaccin par rapport à la maladie :
L'efficacité relative Er = 1 - Mv/Mp soit dans notre exemple : Er = 1 - 0,004/0,02 = 0,8 ou 80 %
L'efficacité absolue Ea = Mp - Mv soit dans notre exemple : Ea = 0,02 - 0,004 = 0,016 ou 1,6 %
Voyons ça de plus près.
Efficacité relative :
Elle varie en principe entre 0 et 1, nullité et perfection, mais... ça peut parfois se discuter.
La formule choisie respecte une certaine logique :
Si Mv ET Mp sont nuls (ou en pratique très petits), le résultat est indéterminé (division 0/0), toute conclusion est impossible.
Si Mv est nul ou très petit ET Mp suffisamment grand, alors la formule renvoie une valeur égale à 1 (100 %) ou très proche.
Le score parfait serait obtenu pour Mv = 0 (aucun vacciné n'a été malade) et Mp = 1 (tout le groupe placebo a contracté la maladie).
Si Mv ET Mp sont égaux à 1, tout le monde a été malade, les vaccinés comme les autres, l'efficacité relative est nulle.
Idem si Mv ET Mp sont égaux (ou très voisins) puisque le vaccin n'a eu aucun effet significatif sur la survenue de la maladie.
Si comme dans notre exemple, les deux valeurs Mv ET Mp sont significatives, avec Mv inférieur à Mp, alors le calcul a un sens.
Les résultats sont logiques et cohérents mais la formule est arbitraire et on aurait pu en choisir une autre, en utilisant par exemple non plus le rapport Mv/Mp mais son carré... On arriverait ainsi, avec nos données, à une efficacité de 96 % au lieu de 80 %.
Euh... l'entourloupe ne commencerait-elle pas à devenir un peu trop voyante ?
L'entourloupe ? Quelle entourloupe ? Élémentaire, mon cher Watson : le mode de calcul de l'efficacité relative escamote purement et simplement l'élément de référence essentiel, à savoir l'effectif des groupes !
En fait, l'efficacité relative n'a aucun intérêt pratique pour les populations mais elle est très flatteuse pour le fabricant du vaccin !
Efficacité absolue :
Il s'agit ici d'évaluer l'influence éventuelle du vaccin sur la probabilité de tomber malade.
Rappel : la probabilité d'un événement varie de 0 (il n'a aucune chance de se produire) à 1 (il surviendra certainement).
Reprenons les calculs sous une autre forme, toujours avec les mêmes données :
Version optimiste : les chances de rester en bonne santé pendant la durée de l'essai sont de 99,6 % pour les personnes vaccinées et de 98 % pour les autres...
Ces valeurs beaucoup plus raisonnables nous invitent à nous poser une question essentielle que je vous laisse deviner !
Remarques :
On pourrait faire les mêmes calculs sur les décès si les effectifs étaient suffisants, ce qui n'est pas le cas pour notre exemple.
Bref, il ne faut jamais oublier que pour les hommes politiques, les statistiques sont l'art de mentir avec précision, ce que font quotidiennement et de façon éhontée le gouvernement français et d'autres un peu partout dans le monde, alignant moult mensonges que reprennent en chœur les médias dominants plus enclins aux courbettes qu'à la recherche de la vérité et à la dénonciation des coups fourrés. Il suffit pour s'en convaincre de constater les discordances parfois abyssales entre les chiffres annoncés urbi et orbi par les plus hauts responsables et ceux que l'on trouve dans les bases de données officielles.
Une dernière pour la route :
Winston Churchill disait ne pas croire aux statistiques, à l'exception de celles qu'il avait truandées lui-même.
Bref, revenons sur terre : cela vaut-il le coup de dépenser un pognon de dingue et de faire prendre des risques inconsidérés à toute une population en lui imposant l'injection de produits top secret dont (presque) personne ne connaît vraiment les effets, sachant que la maladie contre laquelle nous sommes en guerre est bénigne dans l'écrasante majorité des cas... et que par dessus le marché on sait la prévenir et la soigner !
Maintenant... c'est vous qui voyez !
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Les virus en général :
Ce sont des « objets » plus ou moins infectieux, très difficiles à définir, en général extrêmement petits, dont on discute encore pour savoir s'ils appartiennent ou non au monde vivant. Contrairement aux organismes vivants « habituels », les virus ont besoin pour se dupliquer de « parasiter » des animaux, des plantes, des champignons, des bactéries ou même d'autres virus en s'introduisant dans leurs cellules.
De ce fait, l'existence d'un virus comporte deux phases :
À quelques exceptions près, les virus ne sont pas visibles à l'aide d'un microscope optique.
Vers le milieu du 19e siècle, on utilisait des filtres en céramique pour retenir les bactéries présentes dans les fluides biologiques mais on s'est aperçu que le liquide passant au travers pouvait malgré tout présenter un caractère pathogène. En étudiant vers 1890 la sève filtrée de plantes malades de la mosaïque du tabac, le botaniste russe Dimitri Ivanovski émit l'hypothèse qu'elle pouvait infecter des plantes saines à cause de la présence d'une toxine ou d'une bactérie extrêmement petite.
En 1898, le chimiste hollandais Martinus Willem Bijerinck réfuta ces deux hypothèses et attribua les infections par la sève filtrée à la présence d'un « germe vivant soluble ». On parla peu après de « virus filtrants ». Le premier virus pathogène identifié chez l'animal fut celui de la fièvre aphteuse et chez l'homme, celui de la fièvre jaune, vers 1900.
Les virus sont très nombreux, très diversifiés, et sujets à de nombreuses mutations ou variations. Parmi les quelques 5 000 potentiellement présents dans le corps humain, 130 seulement sont franchement pathogènes, dont ceux de la variole et de la rage, ou encore celui de la poliomyélite dont on sait grâce aux hiéroglyphes qu'il sévissait déjà dans l’Égypte antique...
Le virome est l'ensemble des virus présents dans le corps de chaque être humain. On estime que ceux-ci sont environ 100 fois plus nombreux que nos propres cellules.
Les virions sont les duplicata de virus émis par les cellules infectées.
Les coronavirus :
Le nom des « coronavirus » ou « virus à couronne » est dû au fait que les virions, "vus" au microscope électronique, présentent des protubérances marquées rappelant l'aspect des jets de matière constituant une couronne solaire. Leur enveloppe comporte des "pointes" ou spicules formées par des protéines caractéristiques.
Virions du Sars-Cov vus au microscope électronique - Wikipédia
Les innombrables « vues d'artistes » publiées depuis l'apparition du Covid-19 montrent des objets sphériques ou plus ou moins patatoïdaux dont les multiples excroissances sont décorées à leur extrémité par des représentations de la fameuse protéine de pointes, encore appelée protéine spike ou protéine S.
Une interprétation très personnelle
par l'excellente Chantal Montellier
On connaît au moins 5 000 coronavirus différents mais il est raisonnable de penser qu'il en existe beaucoup plus. Beaucoup sont inféodés à une espèce animale particulière et, sauf mutation ou manipulation génétique volontaire en laboratoire, ne se transmettent pas aux autres. Certains animaux comme les oiseaux et les chauves-souris constituent des « réservoirs » naturels assurant leur conservation et leur dissémination. Ainsi, on a pu répertorier environ 500 coronavirus chez les chauves souris.
Si l'on s'amusait à tester tous les humains en bonne santé, on s'apercevrait qu'eux aussi sont porteurs de dizaines, voire de centaines de coronavirus différents qui non seulement n'ont aucun effet pathogène mais peuvent au contraire se révéler indispensables à une vie normale.
L'origine du Sars-Cov2 :
Il reste bien des points à éclaircir à propos du virus qui, puissamment aidé par des dirigeants incompétents et/ou criminels, conchie une grande partie du monde depuis près de deux ans...
Son origine d'abord : virus naturel ou virus bricolé en laboratoire ? Le Prix Nobel Luc Montagnier et bien d'autres ont affirmé qu'il s'agit sans aucun doute d'un virus fabriqué ! Les études génétiques montrent en effet des choses assez bizarres, et une étude approfondie des brevets déposés à partir de 2003 et relatifs à la manipulation des virus est en cours.
Le Sars-Cov2 semble parti de Chine mais des études rétrospectives montrent qu'il pourrait s'être manifesté plusieurs semaines auparavant en d'autres lieux du monde, notamment en Europe. Bien avant la date "officielle" du départ de l'épidémie, plusieurs malades avaient en effet été soignés avec succès pour des pneumopathies atypiques en utilisant des traitements classiques à base d'antibiotiques d'usage courant.
Le virus s'est-il enfui du laboratoire P4 de Wuhan, comme on dit, des cons avaient ouvert la porte ? Possible ! Le cas s'est déjà produit : aux États-Unis, voici quelques années, la Chambre des représentants a lancé une investigation afin de savoir si la maladie de Lyme ne serait pas née d'une expérience ratée pour créer une arme bactériologique... on aurait bien voulu connaître la réponse !
Ceci dit, d'autres hypothèses sont possibles. Les autorités de santé états-uniennes, notamment le Pr. Anthony Fauci, ont travaillé avec le laboratoire P4 après en avoir évincé les Français. Partenariat, ou sous-traitance ? Là encore l'omerta est la règle. S'il est reconnu coupable de ce dont on l'accuse, notamment d'actes nuisibles au peuple états-unien, Fauci risque la peine de mort. Mais les choses sont probablement plus compliquées qu'une simple fuite. Supposons que vous vouliez nuire à un pays en contaminant ses habitants, répandriez-vous le virus mortel de préférence au fin fond d'une réserve naturelle plutôt qu'au voisinage d'un labo P4 ?
Bref, comme certains ont pu l'écrire, cette affaire opaque à souhait sent très fort le pangolin ;-))
Toujours est-il que la « première vague », en réalité une première épidémie, a pris de court une bonne partie des pays du monde.
Il est cependant très vite apparu que le virus était peu dangereux par lui-même, les hospitalisations et les décès étant le plus souvent attribués à des complications pulmonaires. Longtemps, on a donc cru qu'il s'agissait d'une affection respiratoire souvent accompagnée de la formation de caillots sanguins dans les veines ou les artères, c'est-à-dire d'une thrombose. En fait c'est plutôt l'inverse !
« Vaccins », Sars-Cov2, protéine S et endothélium :
On ne sait toujours pas comment il conviendrait de dénommer les 4 mixtures infernales d'AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna et Pfizer/BioNTech, dont la composition exacte relève du « secret des affaires ».
Peu importe, en fait ! Mauvaise pioche ou bien joué, voyez plutôt et choisissez votre camp !
Il a fallu pas mal de temps pour comprendre les véritables causes des effets les plus graves, souvent mortels, du Covid-19.
Les 4 « vaccins » actuels (juillet 2021) ont tous pour résultat de faire produire par notre propre organisme la protéine S, « signe de reconnaissance » du Sars-Cov2. Léger détail, on sait maintenant que cette protéine n'est pas la solution, mais bel et bien le problème.
En effet, la protéine S n'est autre que la toxine du virus !
Qu'elle soit d'origine « naturelle » ou d'origine vaccinale, la protéine S s'attaque à l'endothélium, un tissu formé de cellules plates qui constitue le revêtement interne du cœur et des vaisseaux sanguins et lymphatiques. Ce revêtement est formé d'une seule couche de cellules endothéliales qui « canalisent » le sang et la lymphe à travers l'ensemble des organes des animaux, homme compris bien évidemment.
L’endothélium représente environ 1 % du poids du corps [humain] et sa surface totale atteint environ 5 000 m2 pour un adulte.
Un demi-hectare, excusez du peu !
L'endothélium sain fonctionne selon deux processus plus ou moins contradictoires. D'une part, il permet les échanges entre le contenu des fluides organiques mobiles, le sang et la lymphe, et les organes « immobiles » tels que les muscles, le cœur, les poumons, le cerveau... qui occupent une place définie dans notre organisme. D'autre part, il doit avoir un effet répulsif sur le sang et la lymphe qui ne doivent pas pouvoir s'y attacher, sous peine d'apparition de caillots sanguins ou d'accumulations localisées de résidus cellulaires plus ou moins solides et susceptibles de freiner ou de bloquer les flux liquides.
L'essentiel de la surface de l'endothélium ne correspond pas aux gros vaisseaux tels que les artères aorte, carotides, fémorales ou autres, les veines porte, caves, saphènes, pulmonaires, antébrachiales, etc. mais aux minuscules vaisseaux capillaires dans lesquels se produisent les innombrables échanges de substances nécessaires à la vie. Le diamètre des capillaires est de l'ordre de 10 micro-mètres (µm), soit 0,01 mm et on comprend dès lors facilement que les globules rouges, dont le diamètre moyen est d'environ 7 µm, ne peuvent y circuler autrement qu'en file indienne.
En altérant les cellules endothéliales et notamment leur comportement vis-à-vis des fluides qu'elles canalisent, la protéine S provoque un ralentissement ou un arrêt de la circulation sanguine ou lymphatique dans les capillaires. Ce mécanisme a été très bien décrit par le médecin Charles Hoffe, dans de courtes vidéos remarquables par leur clarté et par leur précision. Pas toujours faciles à trouver, la censure veille, allez savoir pourquoi !
On peut faire une analogie entre l'endothélium et le revêtement anti-adhésif de certaines poêles ou marmites couramment utilisées de nos jours en cuisine. Sur ces revêtements, les aliments que l'on fait cuire glissent sans « attacher ». L'huile ne s'y étale pas comme elle le ferait sur du métal ou du verre, elle s'y rassemble en gouttelettes qui ne mouillent pas les surfaces. Malheureusement, les revêtements anti-adhésifs finissent par se dégrader au fil du temps, de sorte que les aliments vont attacher sur des arrachements, des rayures, etc. De même, le sang glisse normalement sur l'endothélium sain mais certains de ses composants peuvent s'accrocher aux zones qui ont subi des lésions, provoquant des amas de matières diverses qui bouchent les vaisseaux et provoquent des accidents cardiaques (infarctus), cérébraux (AVC ischémiques), ou autres.
La substance responsable des désagréments de cette nature causés par le Sars-Cov2 « naturel » et/ou par les 4 « vaccins » est désormais parfaitement identifiée : c'est la protéine S !
Les plaquettes sanguines ont pour fonction de détecter les défaillances de l'endothélium et de « boucher les trous » qui pourraient apparaître dans les vaisseaux sanguins. En l'occurrence, en réponse à un endommagement local ou généralisé de l'endothélium, elles provoquent les micro-thromboses caractéristiques des atteintes du Sars-Cov2 et/ou d'un certain nombre d'effets secondaires de la vaccination. Ce sont de minuscules caillots sanguins qui bloquent la circulation dans les capillaires. Ainsi, des organes tels que le cerveau ou les poumons ne sont plus alimentés correctement en oxygène et ne peuvent plus assurer leur fonctionnement normal, ni même leur régénération lorsque celle-ci est possible.
Les capillaires pulmonaires étant bloqués, on ne peut plus respirer. Les capillaires du cerveau étant bloqués, la pensée et le fonctionnement normal des sens sont altérés. Cela explique non seulement les passages en réanimation suite à un « traitement » au paracétamol, mais aussi les problèmes cardiaques des jeunes vaccinés ainsi que les essoufflements ou les céphalées consécutifs à l'injection d'une des 4 mixtures évoquées ci-dessus.
Sans oublier bien sûr, très probablement, les pertes du goût et de l'odorat et autres manifestations du « Covid long ».
En cette période de Jeux olympiques, il serait intéressant d'étudier la relation entre certaines récentes « contre-performances » sportives, individuelles et/ou collectives, et certains forfaits de personnalités connues, les unes souhaitant échapper aux injections miraculeuses et les autres éviter la honte d'éliminations prématurées pour cause d'effets secondaires des vaccins... Demandez par exemple à notre sprinter national, Christophe Lemaitre, ce qu'il en pense !
Le plus grave est peut-être que certains des effets de la protéine S sur l'endothélium du cœur, du cerveau, des poumons... sont irréversibles car la régénération des cellules endommagées est quasi impossible dans le cas de ces trois organes essentiels. De plus, il en résulte que chaque dose supplémentaire de « vaccin » provoque de nouveaux dégâts qui se cumulent avec ceux qui ont été causés par les précédentes.
Avis aux amateurs et notamment à tous ceux qui subissent des problèmes cardiaques et/ou de circulation sanguine !
Les D-dimères :
Les « grosses » thromboses et autres problèmes de santé très graves tels que les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux de type ischémique, les embolies pulmonaires, ont des effets évidents et rapides ; les méthodes modernes d'investigation permettent de déceler et de localiser les caillots et autres agrégats qui en sont responsables. Rien de tel avec les micro-thromboses, qui sont actuellement indétectables de cette façon.
Il est totalement illusoire de penser que la dose de potion magique injectée dans les muscles de l'épaule va gentiment rester en place pendant toute la durée de fabrication de la protéine S par le corps. Au contraire, l'injection provoque la dissémination de cette toxine dans l'ensemble des organes et donc la formation un peu partout de « mini-thromboses » généralement trop discrètes pour que les intéressés en ressentent immédiatement et notablement les effets.
Chez les jeunes vaccinés, notamment, on a répertorié de nombreux cas de myocardites nécessitant des traitements parfois lourds. Les atteintes cardiaques plus légères passent inaperçues mais on peut néanmoins les détecter indirectement.
La formation d'un caillot sanguin et sa résorption sont des processus complexes qui mettent jeu diverses substances, dont la fibrine, une protéine filamenteuse qui participe à l'arrêt des hémorragies et à la cicatrisation des plaies. La résorption d'un caillot s'accompagne de la dégradation de la fibrine, ce qui donne naissance à de nouvelles substances appelées D-dimères, lesquelles sont détectables par une analyse sanguine.
La présence de D-dimères dans le sang indique que des caillots ont été formés puis détruits quelque temps auparavant. Elle ne témoigne ni des caillots anciens, ni de ceux qui ne sont pas encore résorbés. Un faible taux de D-dimères dans le sang indique que tout va bien... ce qui est a priori le cas pour toutes les personnes en bonne santé. En revanche si le taux est élevé et surtout s'il le reste, il faut y regarder de plus près. Des études récentes et concordantes montrent que plus de 60 % des patients récemment inoculés présentent un taux de D-dimères anormalement élevé et donc, des altérations potentiellement irréversibles de leur endothélium pouvant augmenter, à terme, leur risque de subir un infarctus, un AVC ischémique on une embolie pulmonaire...
On limiterait sans doute les dégâts provoqués par les potions magiques en faisant suivre l'inoculation d'un traitement par des produits anticoagulants ou antiagrégants, mais ce n'est manifestement pas la préoccupation première des autorités de santé actuelles, tant en France que dans d'autres pays.
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[màj 1er août 2021] Covid-19, vaccins, médicaments, « vaccins » :
Des vaccins dignes de ce nom, ça existe ! Même si la vaccination n'a jamais permis de résoudre tous les problèmes de santé de l'univers et des environs, certains vaccins, pas tous, ont tout de même contribué à la régression de plusieurs maladies, au même titre que certains médicaments.
Un vaccin et un médicament, ça n'est pas la même chose.
Il n'existe évidemment aucun vaccin ou médicament idéal, mais seulement des produits dont l'efficacité est plus ou moins bonne et les effets secondaires et indésirables plus ou moins marqués.
Tous les effets secondaires ne sont pas forcément indésirables, c'est ainsi que dans un EHPAD dont les résidents, traités à l'Ivermectine contre la gale, ont de ce fait été préservés du Covid-19... un bel exemple de sérendipité !
On arrive donc à la nécessité d'évaluer au cas par cas, comme le fait la médecine holistique, et non statistiquement à l'aide d'algorithmes, comme le voudraient les obsédés de l'intelligence artificielle, à la fois les bénéfices et les risques inhérents à l'administration d'un vaccin ou d'un médicament.
Il existe une autre différence fondamentale entre les vaccins et les médicaments.
Rappelons tout d'abord que le taux de létalité, qu'il ne faut pas confondre avec le taux de mortalité, correspond au nombre de malades décédés par rapport au nombre total de malades. En pourcentage, il peut donc varier théoriquement de 0 % pour une maladie qui ne tue personne à 100 % pour une autre qui fait le grand ménage. La rage, la peste, les infections par les virus Ebola et Marburg, ont des taux de létalité très forts, largement au-delà de 50 %, tandis que le taux de létalité dû au Covid-19, du moins sous ses formes actuelles (août 2021), reste selon tous les auteurs inférieur à 1 %.
Les quatre potions magiques autorisées en France et vendues comme « vaccins » par AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna et Pfizer pour lutter contre le Covid-19 ne sont ni des vaccins, ni des médicaments. En fait, on ne sait même pas comment les appeler. Ce ne serait pas grave si ces mixtures étaient efficaces mais il ne faut pas chercher bien loin pour constater le contraire. Du moins, pour ce qui concerne la santé publique, car du point de vue des dividendes versés aux actionnaires des firmes pharmaceutiques, leur efficacité est largement prouvée ! Ça ne vous rappelle rien ?
Remplacez juste grippe aviaire par Covid-19...
[màj 1er août 2021] Au 31 Juillet 2021, quel bilan provisoire peut-on tirer ?
D'une part, la « vaccination » n'empêche nullement de contracter l'une ou l'autre des formes de Covid
et d'autre part les « vaccinés », qui restent contagieux, peuvent contaminer les bien portants.
C'est Monsieur Olivier Véran lui-même qui l'a dit, et pour une fois nous pouvons lui faire confiance.
Le « Monsieur Santé » états-unien, le Pr. Anthony Fauci, le confirme publiquement,
mieux, il recommande même aux personnes vaccinées de porter le masque en intérieur !
Selon le Ministre israélien de la santé, l'efficacité du vaccin Pfizer n'est que de 39 %, loin des 95 % annoncés.
Cerise sur le gâteau, les « vaccins » ne protègent pas contre les formes graves et il semble même que ce soit le contraire !
Et bien entendu cela ne préjuge en rien des probables conséquences à long terme.
Les Français qui veulent se rendre en Angleterre doivent subir une quarantaine, même s'ils sont vaccinés.
Le territoire israélien est actuellement fermé aux touristes vaccinés.
Les complotistes vous avaient pourtant prévenus...
Bref, si on comprend bien, il faudrait désormais vacciner les non-vaccinés pour protéger les vaccinés. Vous suivez ?
Pourquoi cette coronafolie ? Parce que l'on a interdit aux médecins de prescrire des traitements efficaces et peu onéreux,
deux qualités qui nuisent gravement à la prospérité des actionnaires de l'industrie pharmaceutique.
Mais il faut certainement regarder plus loin...
[màj 1er août 2021] Société, manipulations, rancune, jalousie, santé physique et mentale des populations :
La racaille macroniste a tout fait depuis quatre ans pour morceler la société française et ainsi, mieux asseoir son pouvoir sans partage.
La fracture volontairement exacerbée entre ceux qui sont « vaccinés » et ceux qui ne le sont pas en est le parfait exemple.
Beaucoup d'« ânes » et de « moutons », malgré les avertissements des « complotistes », poussés au cul par la peur ou attirés par la promesse illusoire d'une liberté retrouvée, se sont fait injecter une ou deux doses de potion magique, notamment après les rodomontades présidentielles du 12 juillet dernier.
Quelques uns (combien ?) sont morts depuis, pour les autres on verra, rien n'est plus difficile à prédire que l'avenir !
Cependant, contrairement à tout ce que l'on raconte, les ânes sont des animaux fort intelligents que l'on peut berner une fois mais pas deux. Parmi les moutons, certains ont compris qu'il fallait virer du blanc au noir suite à une illumination soudaine ou plus probablement à des effets indésirables plus ou moins graves pour eux-mêmes ou pour leur entourage.
De plus en plus nombreux sont ceux qui ont aujourd'hui l'impression de s'être fait avoir dans les grandes largeurs, à la fois pour leur santé et leur liberté, et qui feraient tout, si cela était possible, pour qu'on les « dévaccine ».
Contrairement aux apparences, la dictature techno-sanitaire exercée par la racaille macroniste est une des pires que l'on puisse imaginer.
Dans une dictature « normale », on musèle, on emprisonne, on assassine, éventuellement en masses, ce qui oblige au moins les bourreaux à agir contre des êtres humains. Et les résistants savent contre qui ils doivent se battre.
Rien de tel en Macronie. Bienvenue dans le monde du mensonge, de l’hypocrisie, des coups tordus, du mépris...
Vous avez beau parler, crier, écrire, demander, râler, suggérer, pétitionner, manifester, insulter, supplier, que sais-je, le pouvoir ne vous l'interdit pas, il vous fait juste comprendre, chaque jour un peu plus, qu'il s'en moque présidentiellement.
Autrement dit, faites tout ce que vous voudrez si ça vous amuse, ça n'a aucune importance, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre, puisque vous n'êtes RIEN. ABSOLUMENT RIEN. NADA. ZÉRO.
Et comme derrière les marionnettes vicieuses qui organisent le désordre et saignent les services publics aux quatre veines, il y a les fonds de pension et les « gestionnaires d'actifs » généralement états-uniens, mais aussi les disciples d'Edward Bernays et autres spécialistes de l'ingénierie sociale, plus personne ne sait qui est l'ennemi contre lequel il conviendrait de se battre, ni a fortiori où il se trouve .
Tout au plus, si d'aventure vous êtes un peu plus nombreux que prévu à descendre dans la rue, les marionnettes vous enverront-elles leurs black blocks ou le pire de leur police pour pourrir vos manifestations pacifiques, tout au plus vous arroseront-elles à coups de lances à eau, ou vous feront-elles goûter aux fragrances subtiles des grenades lacrymogènes, achetées ces temps derniers en quantités industrielles et en catimini avec l'argent de vos impôts, ce qui, avouez-le, était beaucoup plus important et urgent que le renforcement des services publics de santé.
Donc, on vous a probablement plus ou moins « violé(e) » pour vous injecter vos doses et maintenant, vous vous demandez bien pourquoi vous avez accepté ça, après avoir obéi pour tout le reste, muselières, confinements et autres, vu que non seulement vous n'êtes pas protégé(e) mais qu'en plus vous risquez toujours de contaminer les autres. Vous avez cru aux boniments, ignoré les mises en garde, peut-être pissé dans votre froc en écoutant les croque-morts officiels, vous avez pris de gros risques pour le présent et l'avenir, tout ça pour quoi ? Auriez-vous perdu la raison, ou sentez-vous que vous êtes en train de la perdre ? Bienvenue au vaste club des désorientés !
Évidemment, si tel est votre cas, le simple fait qu'il existe encore des « non-vaccinés » vous rappelle à chaque instant que vous avez fait une erreur, une grosse erreur, et que ces gens-là, ces infâmes salauds, eux, ne l'ont pas faite.
Évidemment, si tout le monde était « vacciné », vieux, jeunes, enfants et fœtus compris, votre erreur n'en serait plus une et votre amour-propre serait sauf ! Vous savez donc maintenant contre qui retourner votre honte, votre frustration, votre rancune et votre jalousie. Vous sentez monter en vous tous ces sentiments mêlés, à chaque fois que vous croisez un de ces affreux complotistes, ils vont me le payer, je vais les dénoncer au plus vite pour que les autorités viennent les piquer de force... Vive l'obligation vaccinale, vive le pass sanitaire, que leur vie soit pourrie, qu'ils crèvent et que le diable les emporte !
Euh... on est bien en France ?
Oui, c'est marqué LIBERTÉ , ÉGALITÉ, FRATERNITÉ...
Vous y croyez vraiment ?
La liberté, c'est pourtant simple :
Pour ce qui est de l'égalité et de la fraternité,
c'est vous qui voyez !
« »
Un texte de Francis Gosset
Depuis quelques semaines circule cette image avec ce commentaire totalement idiot mettant en parallèle le vaccin contre la rage et les vaccins contre le Covid. Il faut singulièrement manquer de culture scientifique et historique pour reprendre à son compte cette ineptie, ou bien être tellement flippé que la seule réassurance possible consiste à suivre comme un mouton les directives des autorités sans se poser aucune question (parce que les questions c’est mauvais pour le système immunitaire peut-être). Pourtant cette comparaison avec la vaccination du petit Joseph Meister est totalement idiote dans le contexte Covid !!!
D’abord les circonstances :
Pour Joseph Meister l’alternative était entre le vaccin et la mort (voire les deux si le vaccin s’était révélé non efficace). Et d’ailleurs dans ce cas précis le vaccin n’était pas utilisé pour PROTÉGER un SUJET SAIN (ce qui est pourtant le principe de la vaccination inventée par l’anglais Jenner à la fin du siècle précédent avec la VACCINE contre la variole - un fléau bien plus terrible et fréquent que la rage - dont le nom vaccine vient de vache en latin car le vaccin était élaboré à partir de pus de pis de vache infectée) ) mais comme une CURE sur un SUJET MALADE promis à une MORT IMMINENTE.
Et avec un minimum de culture historique on pourrait rappeler que plusieurs médecins collaborateurs de Louis Pasteur s’opposaient à cette inoculation justement parce qu’ils jugeaient qu’ils n’avaient PAS ASSEZ DE RECUL.
Louis Pasteur n’étant pas médecin il n’avait pas le droit de procéder à l’injection et finalement c’est le docteur Grancher, pédiatre à l’hôpital Necker, qui a pris la responsabilité de procéder à l’injection.
Et pour tordre le cou aux opinions simplistes, rappelons que quelques semaines avant qu’on lui amène le petit Joseph Meister, Louis Pasteur lui-même était farouchement opposé au passage à l’expérimentation sur l’homme et qu’il avait déclaré dans un colloque que :
« l'expérimentation, permise sur les animaux, est criminelle quand il s'agit de l'homme ».
Ce n’est QUE parce que Joseph Meister était CONDAMNÉ à une mort horrible que Pasteur s’est décidé.
Sans ce cas de force majeure il n’aurait certainement pas testé aussi vite son vaccin.
ET POUR FINIR Pasteur à vacciné un MALADE INFECTÉ AVÉRÉ et n’a absolument pas proposé de vacciner tous les français à cette occasion.
Ensuite la science :
Le principe de la vaccination inventée par Jenner (contre la variole) puis étendu par Pasteur (à la rage) est, pour faire simple, d’inoculer à un sujet sain un agent pathogène "affaibli ou amoindri” (on parle par exemple de "virus désactivé") qui va faire réagir le système immunitaire pour développer des anticorps pour lutter contre l’agent pathogène le jour où il se présentera.
Dans ce cas on provoque une réponse immunitaire contre un ensemble de caractéristiques du virus complet et pas seulement une partie du virus comme une protéine sélectionnée en amont. Du coup la protection est peut-être modérée mais elle est assez "large" et continue d’opérer même si le virus mute (en général la mutation porte sur une ou deux caractéristiques du virus mais le système immunitaire réagit toujours aux autres caractéristiques du virus).
Les "vaccins” contre le Covid qu’on nous propose en ce moment ne sont pas conçus comme des vaccins. Ils ne sont pas élaborés à partir de virus "désactivés". Ils sont conçus pour faire réagir le système immunitaire à certaines protéines ciblées du virus (en l’occurrence les protéines qui permettent au virus de s’accrocher aux cellules saines qui sont les "spikes" du virus).
Et de fait si le virus mute en modifiant ses protéines d’accrochage, le système immunitaire ne sera pas préparé au variant-mutant. C’est donc une protection très étroite et ciblée. Efficace sur le virus de départ mais éventuellement dangereusement inefficace à terme sur des variants.
Appeler ce principe un "vaccin" c’est du pipeau de laboratoire. Appelez le "médicament de protection" ou comme vous voulez mais ce n’est pas un vaccin.
De la même façon, sur le plan conceptuel, les "vaccins" à ARN messager ne sont pas des vaccins et il est totalement ridicule d’évoquer les vaccins obligatoires existants pour leur donner du crédit. Les vaccins obligatoires qui existent jusqu’à maintenant sont tous issus du principe original de la vaccination par agent pathogène désactivé. Et ils ont été testés très longuement avant d’être utilisés pour protéger des sujets sains.
Enfin les "vaccins" à ARN messager n’ont pas été testés sur l’homme avant d’être subitement utilisés à grande échelle sur des millions de sujets. Et d’ailleurs les protocoles de tests prévus initialement doivent durer jusqu’en 2022 ou 2023 selon les vaccins.
Comme ces tests de phase 3 ne sont pas terminés les labos n’endosseront aucune responsabilité sur des effets secondaires et rejetteront la responsabilité sur les gouvernements. Mais les gouvernements ont donné des autorisations de mise sur le marché provisoires et s’abriteront derrière le fait que la vaccination est un ACTE VOLONTAIRE DU SUJET VACCINÉ qui en endosse donc la responsabilité. C’est pour cela que les gouvernements ne rendront pas cette vaccination obligatoire. Ils se contenteront de pourrir suffisamment la vie des non vaccinés pour que les statistiques soit proches de celles d’une vaccination obligatoire mais sans la responsabilité qui irait avec une obligation vaccinale réelle.
CQFD
Tôt ou tard les nouvelles techniques de protection contre des maladies ou des pandémies comme le principe de protection par ARN messager seront matures et efficaces... ET SANS DANGER (ou avec des niveaux de dangerosité connus et maîtrisés). On connaitra les contre-indications, les risques d'allergie, les sujets susceptibles de développer des effets indésirables graves, etc. Mais ce n'est pas encore le cas aujourd'hui.
Il est tout de même effrayant de constater que le principe des tests à grande échelle et sur la durée, qui est un des principes fondamentaux de la médecine, a volé en éclat à l'occasion de cette pandémie. S'il s'était agi d'une pandémie fulgurante et terriblement mortelle comme la peste, Ebola ou la grippe espagnole on aurait pu se dire que la fin justifie les moyens. Mais là avec ce coronavirus ce n'est pas le cas. En réalité c'est une incroyable prise de contrôle des politiques sanitaires par les laboratoires pharmaceutiques qui ont vu là une merveilleuse opportunité de traiter à grande échelle, sans tests de phase 3 préalable, sans prendre aucune responsabilité, des nouvelles techniques de protection, aux frais des patients, avec la bénédiction "généreuse" des autorités sanitaires et avec le secours de coercitions gouvernementales comme ce "pass sanitaire" totalement inédit dans l'histoire de la médecine et sans fondement scientifique.
Alors qui sont les CRÉTINS de notre époque ?
Nota : des vaccins classiques, à partir de virus "désactivé" , sont en cours de développement contre le Coronavirus, dont un vaccin français développé par un labo à Nantes, mais ces vaccins doivent encore passer avec succès les tests de phase 3 et ne seront pas disponibles avant plusieurs mois.
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Décision du Conseil d’État : les Français vaccinés interdits de se déplacer car possiblement porteurs
André Bercoff reçoit Me Clarisse Sand, avocat au barreau de Paris, spécialiste des libertés publiques et Vincent Pavan, Mathématicien et maître de conférence à Aix Marseille.
12 questions importantes :
● Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter le masque ? Gouvernement : NON
● Si je me fais vacciner, les restaurants, bars, écoles, clubs de fitness, salons de coiffure, etc. rouvriront-ils et les gens pourront-ils reprendre le travail normalement ? Gouvernement : NON
● Si je me fais vacciner, serai-je résistant au Covid ? Gouvernement : Peut-être. Nous ne savons pas exactement.
● Si je me fais vacciner, au moins je ne serai pas contagieux pour les autres, n'est-ce pas ? Gouvernement : NON. le vaccin n’arrête pas la transmission.
● Si je me fais vacciner, combien de temps le vaccin durera-t-il ? Gouvernement : Personne ne le sait. Tous les "vaccins" Covid sont encore au stade expérimental.
● Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ? Gouvernement : NON
● Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous embrasser à nouveau ? Gouvernement: NON
● Alors, quel est l'avantage de se faire vacciner ? Gouvernement : en espérant que le virus ne vous tuera pas.
● Êtes-vous sûr que le vaccin ne provoquera pas de complications ou la mort ? Gouvernement : NON
● Si statistiquement le virus ne me tue pas (taux de survie de 99,7%), pourquoi devrais-je me faire vacciner ? Gouvernement: pour protéger les autres.
● Donc, si je me fais vacciner, je peux protéger 100% des personnes avec lesquelles je suis en contact ? Gouvernement : NON
● Les fabricants de vaccins n'ont-ils aucune responsabilité concernant ce médicament expérimental ? Gouvernement : AUCUNE
vidéo 17 min 07 : https://www.youtube.com/watch?v=_q2qqw_ScPk
Il reste tout de même beaucoup de questions en suspens, dont chacun aimerait bien connaître les réponses :
Entre 1900 et 1950, dans les pays "riches", des maladies infectieuses contre lesquelles on ne vaccinait pas encore ont connu un recul spectaculaire, voire une quasi disparition.
Quelle part peut-on attribuer aux vaccins dans la poursuite de cette amélioration ?
Autrement dit, les vaccins ont-ils "volé au secours de la victoire" ?
En vaccinant une classe d'âge contre une maladie bénigne,
rend-on cette maladie plus grave pour les générations suivantes ?
Certaines vaccinations sont-elles corrélées avec l'apparition ou le développement de maladies
ou d'autres problèmes de santé (autisme, allergies, affections respiratoires...) non considérés comme effets indésirables ?
La vaccination profite-t-elle avant tout aux populations ou aux actionnaires des firmes pharmaceutiques ?
Pourquoi ces firmes sont-elles exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes sanitaires liés à leurs productions ?
Pourquoi tant d'argent public pour les fabricants de vaccins, et rien pour l'hôpital et les traitements ?
Peut-on encore faire confiance à un gouvernement qui n'a fait que mentir depuis 3 ans sur tous les sujets ?
Qui veut tout ignorer de la prévention et des traitements pourtant efficaces contre le Covid
et qui devra un jour ou l'autre rendre des comptes au peuple français ?
etc., etc., etc.
24/07/2021
24/07/2021
La population est désormais scindée en 2 groupes.
Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu'il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes.
Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits.
On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.
Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l'influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées
Ces personnes ont également intégré qu'une vaccination n'exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.
Ces 2 groupes sont désormais séparés par une ligne qu'il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre.
Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste.
Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits.
Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n'est donc plus temps de publier des résultats d'études prouvant l'efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionne
Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité - opportunité ? - désormais envisageable.
Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés.
Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l'obéissance à la règle.
Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n'est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d'élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences.
Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins. Nos gouvernants et nos parlementaires,
Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestre
La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants,
Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l'intérêt commun supérieur.
« Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible
Le cap est franchi.
Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n'a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées
Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu'un gouvernement démocratiqueme
Aujourd'hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.
Demain, n'importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes.
Et si les tests actuels sont encore utilisés -contre toute logique-, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle.
Signe supplémentaire
Toute science a vraiment déserté nos sociétés.
Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles. Les conséquences humaines sont terribles.
Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d'assurer leur salut.
Ce qui fait l'humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé.
Le tissu social s'est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel.
Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires
La dictature est en marche.
Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n'en est que le prétexte, le catalyseur. Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donne du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d'instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels.
Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau."
Dr Frédéric Badel, médecin-psychi
21/07/2021
Monsieur Macron, toute mon enfance j'ai entendu parler de la dictature nazie ou stalinienne... Mon frère - que vous avez reçu dans vos salons élyséens - voyait des collabos à chaque coin de rue... J'ai vécu dans cette terreur fantôme et aujourd'hui, vous vous comportez comme un tyran de mascarade SS... et je le dis devant le peuple béni de France... Oui je le dis devant ce peuple que vous méprisez, déchirez... Ce pauvre peuple si patient que vous avez confiné, humilié et qu'aujourd'hui,
Homme à l'image irréductible car c'est le Visage de Dieu Qui y rayonne
Et pour l'éternité.
Moi, fille du Verus Israël qu'est l’Église du Christ, fille de France et de la liberté, je vous le dis : le peuple ne se couchera pas ! Aux terrasses, dans les gares, ou ailleurs, Il ne présentera pas sa pièce d'identité ou de "santé conforme" pour satisfaire vos délires de pureté sanitaire ! On ne laissera pas mourir les non vaccinés aux portes des hôpitaux, interdits aux non testés, comme jadis "interdit aux juifs", aux homosexuels, aux lépreux, aux intouchables, aux pestiférés... aux prêtres réfractaires. Vous ne séparerez plus les familles ; vous ne ferez pas injecter les enfants ! Vous ne censurerez plus la vérité ! C'est la bête qui se couchera ! Vous êtes allé trop loin, monsieur Macron.
Moi,
Véronique Jeanne Lévy,
je vous l'affirme, la dictature ne passera pas. Et ce sont ceux que vous traitez de fascistes, qui justement, ne le sont pas.
Je voulais dire à tous les "messeigneurs journalistes" carpettes et collabo, de ne plus servir la propagande de l'internationale libérale... de ne plus se laver les mains du sang des cellules souches des innocents car Dieu vomit la tiédeur et les compromissions.
"ENTENDEZ VOUS CELUI QUI VIENT ?"
Compte FB bloqué depuis.
29/06/2021
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29 juin 2021
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Conférence en ligne : "Le roman des damnés : ces nazis au service des vainqueurs" avec Éric Branca
Vidéo, 35 min 18
Dialogue entre Philippe Goulliaud, journaliste, et Éric Branca, journaliste et écrivain, autour de son dernier ouvrage "Le roman des damnés : ces nazis au service des vainqueurs après 1945" (éditions Perrin).
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06/04/2021
Ça ne vous aura certainement pas échappé, les avis sur la gestion gouvernementale de la pandémie sont partagés. Certains penchent pour un remake d'Un jour sans fin. D'autres dénoncent une « dictature sanitaire ». Les rigolards ont l'impression de vivre en direct un sketch des Monty Python en version longue, les déprimés d'être les infortunés protagonistes d'un roman inédit de Franz Kafka. Les parano imaginent un complot judéo-pharmaceutique destiné à nous transformer en esclaves sexuels pour les extra-terrestres, tandis que les libéraux s'insurgent contre la paralysie étatique et les absurdités administratives. Comme il se doit, la vérité est ailleurs. En fait, nous sommes plongés depuis un an dans un spot publicitaire géant.
C'est Le Figaro qui nous l'apprend. Le 24 mars, on pouvait y lire un article expliquant que, depuis le printemps 2020 - donc, depuis le début de la « guerre contre le Covid » -, l'agence de marketing BVA est chargée par l’Élysée d'élaborer la communication officielle concernant la pandémie. L'agence BVA est spécialisée dans les « sciences » comportementales, et notamment dans la technique du nudge (coup de pouce), qui consiste à amener le consommateur à acheter un truc dont il n'a ni envie ni besoin, au moyen de « signaux » incitatifs : flèches fluo en tête de gondole dans les supermarchés, « Plus que deux places disponibles » dans un site de réservations, etc. Le but avoué étant de faire accepter aux Français un certain nombre de mesures contraignantes - confinement, couvre-feu, attestations, port du masque -, en leur donnant l'illusion que leur libre arbitre est préservé.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, des trouvailles aussi fulgurantes que « Dedans avec les miens, dehors en citoyens » ne sont donc pas les conséquences malheureuses d'un effet secondaire non encore répertorié du vaccin AstraZeneca sur le premier ministre, mais bien le fruit d'une stratégie dûment échafaudée par les pubards de la « Nudge unit » gouvernementale, dont les honoraires doivent frôler le prix d'un lit de réanimation par tête et par mois. De même, les images de Jean Castex avec une seringue dans le bras et d'Olivier Véran le téton à l'air et le biceps offert n'avaient pas pour but de vous faire rigoler, mais de vous « faire rêver », comme l'explique au Figaro le boss de BVA. Et de vous amener à courir au plus proche centre de vaccination réclamer votre dose en haletant d'impatience. Heureusement que ça n'a pas marché, car il n'y a pas pour le moment, comme chacun le sait, ni centre de vaccination ni dose. De toutes façons, vous ne faites pas partie de la « population éligible ».
On ne va pas jouer les étonnés. Que les « premiers de cordée » de la Macronie, dont l'univers mental se situe quelque part entre l'école de commerce - pardon, la business school - et la Silicon Valley, préfèrent faire du marketing plutôt que de la politique n'a rien d'étonnant. Il n'empêche que quand certains dénoncent une infantilisation des citoyens, ils sont en-dessous de la réalité. Pour les team managers qui nous gouvernent depuis quatre ans, nous ne sommes pas des enfants, encore moins des adultes responsables, mais de simples consommateurs que l'on espère manipuler avec des techniques de gourous comportementalistes, afin qu'ils achètent ce qu'on veut leur vendre. Que lesdites techniques soient infaillibles ou complètement foireuses importe peu. Le résultat est identique dans les deux cas : la politique est vidée de tout sens, et les dirigeants ne sont plus vus que comme des paquets de lessive interchangeables. Au final, on ne fait plus la différence entre la lessive LREM et la lessive RN. On a sans doute les responsables politiques qu'on mérite. Mais les responsables politiques ont aussi les électeurs qu'ils fabriquent.
15/02/2021
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2021/02/07/livermectine-au-soleil/
La Santé, L’administration française et le rameur.
Deux entreprises, dont une française, décident de faire une course d’aviron dans le but de montrer leur savoir-faire !
dans le domaine de la « galvanisation » des troupes. Les deux équipes s’entraînent dur.
Lors de la première épreuve, les étrangers : 1 barreur et 9 rameurs, gagnent avec plus d’un kilomètre d’avance.
Les Français sont très affectés. Le management français se réunit pour chercher la cause de l’échec.
Une équipe d’audits constituée de seniors managers est désignée.
Après enquête, ils constatent que l’équipe française, qui est constituée de dix personnes, n’a qu’un rameur, alors que l’équipe étrangère comporte un barreur et neuf rameurs.
La direction française décide de faire appel au service de consultants internes.
Leur avis, entouré de précautions oratoires, semble préconiser l’augmentation du nombre de rameurs.
Après réflexion, la direction décide de procéder à une réorganisation.
Elle décide de mettre en place un manuel qualité, des procédures d’application, des documents de suivi…
Une nouvelle stratégie est mise en place, basée sur une forte synergie. Elle doit améliorer le rendement et la productivité grâce à des modifications structurelles. On parle même de zéro défaut dans tous les repas brainstorming.
La nouvelle équipe constituée comprend maintenant:
1 directeur général d’aviron
1 directeur adjoint d’aviron
1 manager d’aviron
1 ingénieur qualité d’aviron
1 consultant de gestion d’aviron
1 contrôleur de gestion d’aviron
1 chargé de communication d’aviron
1 coordinateur d’aviron
1 barreur
1 rameur
La course a lieu et les Français ont deux kilomètres de retard!
Humiliée, la direction prend des décisions rapides et courageuses:
– Elle licencie le rameur n’ayant pas atteint ses objectifs, vend le bateau et annule tout investissement.
– Et avec l’argent économisé, elle récompense les managers et superviseurs en leur donnant une prime, augmente les salaires des directeurs et s’octroie une indemnité exceptionnelle de fin de mission.
C’est une blague n’est ce pas ! Lisez ce qui suit :
Ubuesque ! (c’est pour ça que ça fonctionne si bien)
Cette épidémie a fait découvrir que nous avions en France :
– 1) Le Ministre de la Santé
– 2) Le directeur-général de la Santé
– 3) La direction de Santé Publique France
– 4) Le Directeur de la Haute Autorité de Santé
– 5) 26 Directeurs des Agences Régionales de Santé
– 6) Le Directeur de l’Agence Nationale Sanitaire
– 7) la Direction de l’Alliance Nationale pour les Sciences de la Vie et de la Santé : Épidémiologie-France
– 8) Le Centre National de Recherche Scientifique en Virologie Moléculaire
– 9) L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et de la Santé.
– 10) Un nombre d’infectiologues parisiens incroyablement et anormalement élevé, probablement lié au fait que les virus et bactéries descendent de l’avion à CDG et ouvrent leur siège social près de la place de l’étoile.
Mais comme tout cela ne suffit toujours pas ! Et suite à cette Épidémie, nos chers politiques, monstres d’efficacité, de pragmatisme, toujours soucieux d’économiser les finances publiques, vont créer :
– 11) le Haut-Commissariat de Lutte contre les Épidémies
– 12) Le Haut Conseil de Veille Sanitaire
– 13) L’Agence Nationale de Sécurité de Logistique Médicale .
– 5 000 fonctionnaires en plus (et les petits copains à placer) et où ça ? : à Paris, évidemment !
La prochaine fois, on aura peut-être des masques mais il va manquer les gants ! Cool…
La médecine française croule en effet sous « l’administratif centralisé »… géré par des technocrates dits « experts,
mais totalement « incompétents !
Alors, SVP, faites vite votre déclaration d’impôts !… il va falloir payer grassement tout ce petit monde ! On compte sur vous.
08/01/2021
Ne vous déplaise la France n'est pas encore tout à fait la Chine.
A l’attention de Facebook qui s’érige en censeur des professeurs et des microbiologistes qui ne supportent pas l’orientation morbide de nos autorités (à juste titre).
Donc comme face au polit bureau de Facebook il faut se justifier comme un criminel pendant que le gouvernement et le médias peuvent tout raconter sans la moindre justification scientifique à l’image de leurs virevoltes d’incapables permanents (eux).
Rien ne leur fait honte. On dirait des francmacrotes. (Hommage à Charlie Hebdo et à la liberté d’expression) Alors que tout être normalement constitué irait se cacher pour ne plus jamais sortir... C'est tellement facile de condamner sur des propos, pour pousser tout le monde à se taire.
On voit aussi que les Professeurs Montagnier, Fourtillan ou Alexandra Henrion-Caude qui disent que le virus est sans doute un virus de laboratoire en vue de faire un vaccin (tout comme la grippe espagnole) ne sont pas attaqués par le conseil pétainiste de l'ordre. Pourquoi ? Parce qu'ils avancent des faits indiscutables...
Les analyses par plusieurs laboratoires de recherche dont celui du Professeur Montagnier ont bien démontré, conformément à la première étude Indienne rétractée sous la pression, (une fois encore) que des séquences ARN (des protéines) du VIH ont été additionnées artificiellement à un coronavirus de la chauve-souris. Séquences positionnées de manière symétrique, laissant penser à une intervention humaine, et non naturelle. La nature ayant horreur de ce qui est bancal, aux États-Unis, là où le virus perd de sa virulence, ce sont justement les séquences ARN du VIH qui s'effacent progressivement !
Il faut bien comprendre que fabriquer des virus hybrides est l’activité courante des fabricants de vaccins depuis l'avènement de CRISPER CAS 9... Le Covid-19 serait dont une tentative de vaccin contre le VIH qui a mal tourné, ou pire encore... Le brevet Sanofi-Pasteur pour la détection du Covid-19 date du 13 Oct 2015. Leur premier brevet Sars Cov 1 date de 2003 : 158 insertions réalisées par Pasteur sur le virus du Sars Cov (soit le Sars+Malaria+157 fragments d'ADN et protéines).
Le brevet Sars Cov 2 date de 2011. Aucune évolution : Il s'agit d'un dépôt du Brevet Sars Cov 1 sur le territoire américain.
Comment nos autorités peuvent-elles laisser à ceux qui ont créé le problème le soin de nous en sortir ? Et si, elles le permettent. En leur donnant nos milliards et en les faisant passer pour les sauveurs du monde. Ou comment ajouter du crime au crime… On se souvient que des chercheurs ont dit exactement la même chose concernant la grippe espagnole, qui était en fait américaine, puisqu'elle a démarré lors d'une campagne de vaccination dans les camps militaires américains. La secte vaccinale a encore frappé. https://www.youtube.com/watch?v=qSWCLHIOiMo&fbclid
Ne perdons pas de vue que le but de cette mise en scène macabre, c'est la vaccination obligatoire pour tout le monde avec un passeport infalsifiable. Pour ça il faut corner contre vents et marées qu'il n'existe pas de traitement ou d'autre moyen de prévention à ce virus. Or, il suffit de regarder le film "Mal-traités" pour savoir qu'il en existe plus d'une dizaine avec une efficacité qui frise les 100 %, et que l'on nous ment depuis le début. Bientôt un an que les premières études sur le Covid-19 sont publiées, et même des décennies que l'on sait que ces traitements ou moyens de préventions ont une efficacité maximale sur ce type de virus :
- ZINC : le zinc (qui fait partie du protocole Raoult) est aussi très efficace pour rétablir le système immunitaire et dans diverses pathologies comme la rougeole et les infections respiratoires selon l’OMS entre autres. http://www.who.int/.../bbc/zinc_pneumonia_children/fr/
- ARTEMISIA ANUA (Prix Nobel de la santé 2015 pour la chercheuse Chinoise qui a montré ses propriétés) COVID 19 & SRAS : elle est utilisée avec succès à Madagascar. http://www.ethnopharmacologia.org/.../note-sur-artemisia.../
L’Artémisia est meilleure que tous les traitements pour prévenir et soigner le paludisme, la bilharziose, la tuberculose et l’ulcère de Buruli.
Pourquoi cherche-t’on encore des médicaments et des vaccins ?
https://maison-artemisia.org/Maison-Artemisia-Brochure.pdf https://blog.kokopelli-semences.fr/.../pour-prevenir-et.../
Et encore : « Prenez par exemple le cas de l’Artemisia annua, qu’on utilisait contre le paludisme, eh bien on s’est rendu compte qu’elle était efficace contre le cancer et elle été rapidement interdite en France et remplacée par l’Artemisia vulgaris, qui n’a aucun effet. »
https://www.reponsesbio.com/la-connaissance-des.../
Contre le paludisme (la malaria), les Africains doivent cultiver de l’Artemisia afra ou A. annua et la consommer en entier (totum) en tisane (5 grammes par litre d’eau. Puisqu'il y a une dizaine de principes actifs dans la plante (pas seulement l’artémisinine). Aucune résistance n’est ainsi à déplorer après 2000 ans d’utilisation en Chine. https://www.youtube.com/watch?v=W6TgP5RlsDQ&fbclid
- VITAMINE D3 : Pour la grippe, mais aussi pour le Covid-19, bien entendu :
https://www.thelancet.com/.../PIIS2213-8587(20)30183-2
https://orthomolecular.activehosted.com/index.php
La Méta-analyse (Vitamin D supplementation to prevent acute respiratory tract infections: systematic review and meta-analysis of individual participant data), qui regroupe les données de 25 études comprenant plus de 10 000 participants, a révélé que la supplémentation en vitamine D a réduit le risque d'infection aiguë des voies respiratoires (rhume et grippe) de 10 % dans l'ensemble, et il y a lieu de croire que ce chiffre sous-estime grandement le degré de protection.
L'effet protecteur de la vitamine du soleil était encore plus marqué chez ceux qui souffraient d'une carence. Pour les déficients, qui représentent environ 40 % des Américains, le risque d'infection a été réduit de moitié grâce à la supplémentation en vitamine D.
Cela s'appuie sur les résultats d'une étude japonaise de 2010 qui a révélé que la supplémentation en vitamine D était aussi efficace que le vaccin pour la prévention du rhume et de la grippe.
« Conclusions : La supplémentation en vitamine D était sans danger et protégeait contre les infections aiguës des voies respiratoires. Les patients qui présentaient une carence très marquée en vitamine D et ceux qui ne recevaient pas de bolus doses en ont tiré le plus d'avantages. »
https://www.bmj.com/content/356/bmj.i6583
http://www.anh-usa.org/vitamin-d-vs-flu-shots/
Alors que les vaccinés de la grippe sont plus sensibles (x136 %) aux coronavirus et à divers autres virus respiratoires. « Les chiffres de l’UE montrent une corrélation entre le vaccin antigrippal et les décès dus aux coronavirus »
https://www.dreuz.info/.../pave-dans-la-mare-les-pays.../
https://www.sciencedirect.com/.../pii/S0264410X19313647
https://www.disabledveterans.org/.../flu-vaccine.../
Le vaccin contre la grippe augmente aussi les problèmes respiratoires. Ils sont tout simplement multipliés par 440 % !!! :
« Risque accru d'infections respiratoires non grippales associées à la réception d'un vaccin antigrippal « Cowling BJ, et al Clin Infect Dis. 2012. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/22423139/
Résumé : Nous avons randomisé 115 enfants pour un vaccin antigrippal trivalent inactivé (VTI) ou un placebo. Au cours des 9 mois suivants, les receveurs de VTI présentaient un risque accru d'infections non grippales virologiquement confirmées (risque relatif : 4,40 ; intervalle de confiance à 95 % : 1,31-14,8). Étant protégés contre la grippe, les receveurs de VTI peuvent ne pas avoir une immunité temporaire non spécifique qui les protège contre d'autres virus respiratoires. “Assessment of temporally-related acute respiratory illness following influenza vaccination” :
https://doi.org/10.1016/j.vaccine.2018.02.105
Et même à l’âge adulte : la probabilité d'avoir d'autres virus respiratoires dans la population vaccinée a augmenté de 23 % (IC 95 % : 0,86, 1,76) (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599
Et parallèlement : Un essai clinique dirigé par Mitsuyoshi Urashima et mené par la Division d'épidémiologie moléculaire du Département de pédiatrie de la Jikei University School of Medicine Minato-ku à Tokyo a révélé que la vitamine D était extrêmement efficace pour stopper les infections grippales chez les enfants.
L'essai paraît dans le numéro de mars 2010 de l'American Journal of Clinical Nutrition (Am J Clin Nutr (10 mars 2010). doi:10.3945/ajcn.2009.29094). 1 200 UI de vitamine D3 par jour (une dose faible comparée au 20 000 UI de D3 produits par une journée d’été ensoleillée) engendre une réduction absolue de près de 8 %. Soit 8 fois plus efficace que les vaccins pour prévenir les infections grippales chez les enfants dont le vaccin prévient seulement 1 % des infections grippales.
Les apports en vitamine D3 sont inversement corrélés à la fréquence des infections respiratoires hautes. Un apport de 1 200 UI/j (30 µg/jour) a conduit à une réduction de 42 % de l’incidence de la grippe chez des écoliers japonais.
https://www.nat ural news. com/029641_vaccines_junk_science.html
- VITAMINE C [Coronavirus] Évidemment : Réduction drastique de la mortalité même à des doses ridiculement faibles (200 mg tous les 6 h), 120 g/jour en injection permettent de faire revenir les comateux à la vie, et en prévention bien entendu :
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04344184.
https://www.informedchoicewa.org/…/vitamin-c-studies-appr…/…
http://orthomolecular.org/resources/omns/v16n15-fra.shtml…
https://orthomolecular.activehosted.com/index.php…
https://www.youtube.com/watch?v=bP5BfBCoRUw&fbclid=
https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04264533/ https://riordanclinic.org/events-archive/covid-19/
(une vingtaine d’études très positives)
À 5 grammes (à peu près une cuillère à soupe d’acide ascorbique E300) au début d’infection, disparition quasi immédiate des symptômes. Même avec un tamponnage de l’acidité au bicarbonate de sodium pour éviter de se brûler la gorge (contreproductif)… Malheureusement les gouvernements et les autorités de santé préfèrent prendre les gens pour des imbéciles et détruire l'économie plutôt que d'avoir à dire que ce virus se prévient et se soigne le plus simplement du monde avec de la vitamine C
[Maladies hivernales et Infections respiratoires]
- T. W. Anderson, G. Suranyi, et G. H. Beaton, « The effect on winter illness of large doses of vitamin C », Canadian Medical Association Journal 111, no 1 (1974): 31.
- C. Hunt et al., « The clinical effects of vitamin C supplementation in elderly hospitalised patients with acute respiratory infections », International journal for vitamin and nutrition research 64, no 3 (1994): 212–219.
- Johnny Ludvigsson, Lars Olof Hansson, et Gunnar Tibbling, « Vitamin C as a preventive medicine against common colds in children », Scandinavian journal of infectious diseases 9, no 2 (1977): 91–98.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/7814237/
https://vimeo.com/user24247721/review/387923451/57eea26825
[Grippe, SRAS, Pneumonie virale]
- Cathcart RF. (1981) Vitamin C, titrating to bowel tolerance, anascorbemia, and acute induced scurvy. Med Hypotheses. 7:1359-76.
http://www.doctoryourself.com/titration.html
- Cathcart RF. (1993) The third face of vitamin C. J Orthomolecular Med, 7:197-200.
Free access at http://www.doctoryourself.com/cathcart_thirdface.html
Additional Dr. Cathcart papers are posted at http://www.doctoryourself.com/biblio_cathcart.html
Les doses recommandées par les autorités de santé sont scandaleusement basses, quand on sait que nous avons perdu avec les autres primates notre faculté à synthétiser la vitamine C. Il faut savoir qu’un chat malade (qui mange des rats d’égout crus !) peut en synthétiser 20 g par jour, une chèvre 100 g par jour. Même les végétaux s’en servent mais moins depuis l’avènement des pesticides…
On sait entre autres depuis l'affaire CORVELVA ou l'affaire du tétanos au Kenya, qu'ils mettent déjà ce qu'ils veulent dans les vaccins et qu'ils n'en sont pas inquiétés le moins du monde. Entre autres, cellules fœtales cancéreuses et stérilisants. https://www.aimsib.org/.../vaccinations-obligatoires.../
En marche vers le contrôle total des populations et la dépopulation de la planète. On peut d’ailleurs voir Bill Gates le dire et le redire régulièrement et tranquillement, face caméra : objectif de réduction de la population mondiale par la vaccination :
https://www.youtube.com/watch?v=KUsSPKzvFo4 https://www.dailymotion.com/video/xgy4l1?fbclid
Et encore : https://www.youtube.com/watch?v=poVtG9i2ddI&fbclidGates
Et sa clique cherche depuis longtemps à introduire des nanoparticules dans les vaccins en vue de contrôler les populations. Déjà des tests similaires mais avec un collier sont en cours en Inde !
Programme Kushi Baby : https://www.youtube.com/watch?v=AmxMgDLkx2M&fbclid - https://www.lemonde.fr/.../le-kenya-et-le-malawi-zones
Nanoparticules directement en lien avec le brevet Microsoft WO2020060606 - Système de cryptomonnaie utilisant des données d’activité corporelle.
Les révélations des temps derniers sont à nos portes. (Apocalypse de Jean de Patmos, au chapitre 13, verset 18).
https://patentscope.wipo.int/search/fr/detail.jsf
Il ne reste plus beaucoup de monde, sinon la Dame de Medjugorge pour continuer de dire que les enfants sont une bénédiction.
https://vaccineimpact.com/.../mass-sterilization-of.../
https://vaxxter.com/finding-in-gardasil-9-linked-to.../
https://www.lefigaro.fr/.../covid-19-le-conseil-de-l
Ps à l'attention de FB, si vous voyez mon directeur de thèse, passez-moi un coup de fil, il est parti avec la caisse.
Tous les grands fabricants de vaccins ont été reconnus coupables de fraude et l'industrie pharmaceutique est le plus grand escroc des USA en vertu de la Loi sur les fausses déclarations (False Claims Act). Les quatre sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les 72 doses de vaccin pour les enfants américains (mais aussi pour les enfants français) sont des criminels reconnus coupables qui ont collectivement payé plus de 35 milliards de dollars au cours de la dernière décennie en amendes civiles et pénales pour avoir soudoyé, extorqué et menti aux médecins et avoir fraudé les autorités réglementaires pour promouvoir d'autres produits pharmaceutiques.
https://vactruth.com/2012/07/09/7-examples-pharma-fraud/
Les quatre sociétés qui fabriquent pratiquement tous les vaccins recommandés sont toutes des criminelles reconnues coupables. Ensemble, elles ont payé plus de 35 milliards de dollars depuis 2009 pour avoir fraudé les organismes de réglementation, menti et corrompu des fonctionnaires et des médecins, falsifié la science et laissé une traînée de blessures et de décès dus à des produits qu'ils savaient dangereux et qu'elles ont vendus sous couvert de sécurité et d'efficacité. https://healthimpactnews.com/.../robert-f-kennedy-jr.../
20/12/2020
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05/12/2020
Chère amie, cher ami,
Avez-vous suivi ce qui s’est passé au Danemark ces derniers jours ?
Alors que le gouvernement danois prévoyait de passer une loi liberticide, les citoyens ont manifesté pacifiquement jusqu’à ce qu’il cède.
Ce projet de loi, appelé “loi épidémique", avait pour but de freiner la propagation du coronavirus.
Le texte avait été rendu public pour que les partis politiques d’opposition ainsi que la population puissent en prendre connaissance.
Lorsque les Danois ont su ce que ce texte contenait, ils sont descendus dans la rue avec des casseroles, des poêles et des ustensiles de cuisine pour faire un ramdam impossible.
Ils se sont assis devant le parlement danois où ils ont veillé.
Cela a duré 9 jours.
Et ils ont gagné.
C’est un message d’espérance qu’ils ont envoyé aux autres peuples d’Europe et du monde.
Il montre la vitalité démocratique au Danemark, mais aussi la folie qui s’est emparé de nos dirigeants de par le monde [1][2].
En mars dernier, au moment où l’épidémie en Europe atteignait son pic, le parlement danois a voté une “loi d’urgence”. Celle-ci était temporaire.
Au nom de ce premier texte, les autorités danoises ont pu :
Mais cette loi est arrivée à échéance.
Les autorités danoises ont donc songé à remplacer le texte par un nouveau pour faire face à la fin de l’épidémie et surtout prévoir d’éventuelles nouvelles épidémies.
Ce texte permanent aurait rendu facile et normale les restrictions de libertés en cas d’urgence sanitaire.
Le nouveau texte, appelé “loi épidémique”, proposait quatre grandes mesures décriées par les Danois :
1/ Les personnes infectées pouvaient être soumises de force à un traitement médical, puis hospitalisées et mises à l’isolement ;
2/ le gouvernement pouvait décider qu’un groupe ciblé de citoyens pouvaient être vacciné de force ;
3/ Les personnes qui auraient refusé l’application de ces mesures pouvaient être arrêtées et détenues physiquement ;
4/ Les autorités danoises pouvaient demander aux employeurs de donner des informations sur le mouvement de leurs salariés ; créant dès lors une culture de la dénonciation et de la défiance.
Ces mesures pouvaient être prises au nom du principe de précaution.
Elles pouvaient être mises en application à l’occasion de n’importe quelle crise sanitaire jugée suffisamment grave par le Ministre de la Santé.
Ce dernier avait, du reste, la possibilité de décider seul du déclenchement de ce cadre juridique “épidémique”. Le texte prévoyait l’existence d’une commission consultative dont le Ministre n’était cependant, ni obligé de suivre les recommandations, ni même de solliciter.
Bref, la loi épidémique faisait basculer le Danemark dans un état autoritaire.
Le peuple danois a dit non.
Ce n’est que partie remise, évidemment.
Les politiciens qui avaient en tête d’imposer de telles mesures sont toujours là. Et ils sont au pouvoir.
Il y aura un autre texte. Et sans doute, la nouvelle formule proposée sera moins extrême.
Il n’empêche, partout en Europe et en Occident, notre quotidien est devenu une négociation permanente pour défendre nos libertés.
La force du Danemark dans cette histoire aura été le dialogue avec les citoyens.
En effet, le texte proposé a été rendu public et tout le monde a pu en débattre.
Par ailleurs, les manifestations n’ont pas été réprimées dans le sang, comme cela avait été le cas en France pour les gilets jaunes et personne n’a parlé de tirer à balles réelles sur la population.
Depuis la France, le Danemark apparaît comme un pays civilisé…
Je note également que la présidente de l’association médicale danoise, Camilla Rathcke, a ouvertement critiqué le projet de loi [1].
De même, Anders Beich, le représentant du Collège Danois des médecins généralistes, a estimé que les décisions de restriction de liberté devaient toujours être discutées avec le parlement [1].
De leur côté, différentes associations des droits de l’Homme ont dénoncé l’utilisation inappropriée du principe de précaution.
Pour ces associations, la réduction des droits humains ne doit être tolérée que lorsque les données scientifiques accessibles sont solides et font consensus.
Or, ce n’était pas le cas pour ce texte. Et ce n’était pas non plus le cas pour la décision de tuer des centaines de milliers de visons au cas où ces derniers pourraient constituer une réserve future de virus.
Partout en Occident, l’année 2020 aura été celle des réductions de libertés.
La seule exception aura été la Suède qui a beaucoup recommandé et peu obligé.
Il est temps que nos gouvernants sortent de l’esprit de coercition dans lequel ils se trouvent actuellement englués.
Il est temps que nous reprenions notre santé et notre destin en main.
Il serait bon que chaque famille, chaque citoyen développe un esprit de prévention.
Que chacun ait chez soi un inhalateur, des tisanes de thym et de romarin, de l’huile essentielle de ravintsara, de la vitamine D, de l’échinacée et du citron.
Il serait utile que l'Artemisia annua, si efficace à Madagascar, soit en vente libre ou régulée en Europe. Pour l’instant, elle est interdite [3]!
Il est temps que l’on apprenne à vivre avec les virus.
Charge aux citoyens d’être responsables et aux gouvernants de mieux organiser les services publics.
Tous les peuples en sont capables. Mais il faut en être convaincu pour que cela fonctionne !
En attendant, bravo et merci aux Danois, ils montrent la voie à tous les autres !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
Sources :
[1] https://www.thelocal.dk/20201113/explained-what-is-denmarks-proposed-epidemic-law-and-why-is-it-being-criticised
[2] https://www.youtube.com/watch?v=ZXeGm7u0gMY
[3] https://www.aa.com.tr/fr/afrique/madagascar-covid-19-lancement-des-g%C3%A9lules-cvo-plus-%C3%A0-base-d-artemisia-/1996216
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27/11/2020
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16/11/2020
HOLD-UP : L’insupportable vent de révolte
À sauver chaque homme on est peut-être en train de préparer la mort de l’espèce humaine. Chacun de ces progrès (médicaux) et au bout, l’organe artificiel génétique qui ne sort pas de nulle part c’est la suite de l’organe artificiel électronique et la langue de la génétique est la même que la langue de l’informatique, on parle de code et l’aboutissement de cette logique est qu’au lieu de réparer les hommes on va les produire sains. Un peu comme les objets.
À partir du moment où l’homme devient une production de l’homme il devient comme tous les objets. Il est façonné par l’homme. Il me semble qu’un homme produit par l’homme n’est plus un homme, il est une machine. C’est là où le glissement est fascinant : progrès par progrès pour sauver chaque homme on prépare les conditions d’un homme qui est produit par l’homme et qui n’est plus un homme.
L’arnaque du Grand Reset : https://www.youtube.com/watch?v=FWzqDy8OxeQ
©2020 L'Investisseur sans costume
15/11/2020
Chers lectrice, cher lecteur,
La France est reconfinée.
Ainsi en a décidé le Président de la République.
Par « nécessité » liée à l’épidémie de Covid-19, nous a-t-il dit…
Mais est-ce si sûr ?
…Car les événements qui se sont enchaînés ces dernières semaines ressemblent plus à un PLAN destiné à EN FINIR AVEC NOTRE LIBERTÉ thérapeutique…
Fini le choix de se faire vacciner ou non !
Finie la liberté d’utiliser les plantes, l’homéopathie, la sophrologie ou la nutrithérapie parce que vous pensez que c’est bon pour vous.
Ce n’est plus VOUS qui allez décider !!!
Votre santé va se jouer…ailleurs !
Vous pensez peut-être que j’exagère ?
Vous-même avez peut-être voté pour le président Macron, et vous ne pensez pas qu’il oserait jouer ainsi avec la santé des Français…
Pourtant…
C’est bien son gouvernement qui s’en est pris de façon inédite aux médecins eux-mêmes, en leur interdisant de prescrire un remède – l’hydroxychloroquine - qu’ils utilisaient sans problème depuis des décennies.
Et je vais vous montrer qu’ils vont aller encore plus loin.
Alors même si vous ne lisez pas l’intégralité de ce message, laissez-moi vous poser une seule question :
Ne trouvez-vous pas extrêmement inquiétant ce qu’a décidé le président Macron pour votre santé depuis son accession au pouvoir ?
Oui, pourquoi prendre des décisions aussi … désastreuses pour la santé des Français ???
La réponse existe. Et elle fait froid dans le dos.
Je vais vous la révéler dans une seconde.
Il est urgent d’ouvrir les yeux dès maintenant, car le pire est à venir.
Dans les cartons du Président Macron et de son gouvernement, vous avez :
La vérité, c’est qu’un petit groupe de personnes a noyauté le circuit de la décision, et il impose ses choix à tous.
Avec des objectifs qui n’ont rien à voir avec notre santé.
Cela a commencé dès la cérémonie de prise de pouvoir d’Emmanuel Macron, à l’Élysée, en mai 2017.
Comme c’est la tradition, il recevait dans les salons dorés de l’Élysée des proches, des personnalités, ceux qui comptent comme on dit, sans doute par opposition aux autres, ceux qui ne comptent pas…
A un moment, le jeune président « remarque un visage connu, et fend la foule pour venir serrer la main à un homme »[1]…
Cet homme, c’est le président du labo pharmaceutique français Sanofi.
Le grand public ne le connaît pas, mais Emmanuel Macron doit énormément à cet homme de l’ombre[2]…Il est l’un des premiers à avoir crû au potentiel d’Emmanuel Macron, alors qu’il n’était qu’un jeune diplômé de l’ENA, haut fonctionnaire ambitieux parmi d’autres.
C’est grâce à ce puissant ami qu’Emmanuel Macron est rentré dans le saint des saints de la finance mondiale, la banque Rothschild.[3]
Emmanuel Macron s’y est illustré pour les services qu’il rend à un autre géant de Big Pharma, l’américain Pfizer, qui fabrique entre autres le médicament anticholestérol le plus vendu au monde, le Lipitor.
Sanofi, Pfizer…les liens sont noués, ils ne se déferont pas.
Au contraire, ils se renforcent.
Au cours de sa campagne électorale, le candidat Macron choisit comme conseiller santé le cardiologue Jean-Jacques Mourad, « un pur et dur » de chez Big Pharma.
Et comme par hasard, lors d’un meeting à Nevers, voilà Emmanuel Macron qui se met soudain à plaider pour le remboursement intégral des médicaments contre l’hypertension artérielle sévère…une spécialité du laboratoire français Servier.
Pourquoi ? On ne tarde pas à le découvrir :
On apprend en effet que le Pr Mourad est rémunéré par Servier, qui lui a également remboursé plus de 80 000 euros de frais de restaurant et de transport[4] !!
Pris la main dans le sac, Emmanuel Macron reconnaît que les activités parallèles de son conseiller peuvent donner « l’apparence du conflit d’intérêt »…
L’apparence…Tu parles !
Macron doit se séparer de son conseiller, mais ce n’est que partie remise…Lorsqu’il est élu, le jeune président n’oublie pas à qui il doit renvoyer l’ascenseur.
En nommant comme ministre la Santé Agnès Buzyn, une médecin qui a été rémunérée par les laboratoires Sanofi ou Novartis[5] pendant plus de dix ans, il envoie un message très clair aux multinationales de Big Pharma :
« Vous serez les premiers servis ».
Et ils ne vont pas être déçus.
En juillet 2018, il faut scruter les brèves de la presse économique pour apprendre que les dirigeants des plus gros labos du monde ont été reçus discrètement à l’Élysée.[6]
Le lendemain de cette rencontre, on apprend que le gouvernement envisage une hausse des prix des médicaments et surtout, la réduction des délais pour leurs « mises sur le marché »[7].
En clair, cela signifie que les autorités acceptent de réduire la procédure de contrôle et de vérification de l’innocuité (absence de danger) des médicaments !!
Augmenter le profit de Big Pharma, coûte que coûte…Malgré les scandales sanitaires, malgré les tragédies de la Dépakine, du Médiator, du Vioxx, etc.
Évidemment, le président Macron et ses proches veulent nous faire croire que c’est « pour notre bien ».
Mais le mur du mensonge ne trompe personne.
Car dans le même temps, c’est une déferlante anti médecine naturelle qui s’abat sur la France !
Les masques tombent.
Désormais, il est clair que tout est organisé EN FAVEUR des multinationales du médicament, de l’agroalimentaire et de la chimie.
Celles à qui l’actuel président doit sa carrière !
Examinons un instant la crise de la Covid sous cet angle.
Je ne vais pas insister sur les mensonges à répétition des autorités sanitaires (il suffit de se souvenir qu’elles ont réussi à rendre obligatoire des masques qui la veille encore ne servaient soi-disant « à rien »)…
…Mais je veux revenir sur un point essentiel : la seule action des autorités a été de fermer, de confiner et de conseiller « d’attendre »...
…Attendre…un hypothétique vaccin !
Alors qu’elles ne disent RIEN des autres solutions qui existent mais qui supposent au contraire d’agir pour fortifier son immunité.
Je vais y revenir dans une seconde, mais d’abord juste deux mots sur le vaccin :
JAMAIS on n’a vu une volonté de développer et de mettre sur le marché un vaccin aussi rapidement.
Je rappelle qu’il faut 8 à 10 ans, normalement, pour mettre sur le marché un nouveau vaccin alors que concernant le coronavirus on compte en mois !
Et jamais auparavant on n’a réussi à mettre au point un vaccin efficace contre un coronavirus, malgré plusieurs tentatives.
Comme le résume le Dr Mike Ryan, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) :
« Nous avons appris beaucoup de choses sur la vaccination de masse, et s’il y a bien une chose plus dangereuse qu’un mauvais virus, c’est un mauvais vaccin ».
Or, pendant des mois, les plus grands experts, infectiologues ou virologues se sont penchés sur ce virus…
… sans jamais être capable de prédire ce qui allait se passer.
…et alors que la prudence devrait nous guider, la décision de vacciner des millions de gens aussi rapidement paraît insensée.
Mais surtout attendre les bras croisés un vaccin, c’est rigoureusement l’inverse de ce qu’il faut faire.
Est-ce que vous vous rendez compte par exemple que l’Académie de Médecine elle-même a reconnu l’intérêt de la vitamine D contre le Covid-19 car elle contribuerait à « atténuer la tempête inflammatoire et ses conséquences ».
Tout récemment, une étude française en a apporté une nouvelle preuve.
Dans les maisons de retraite, les résidents infectés qui avaient reçu une grosse dose de vitamine D (80 000 UI) dans le mois précédent ont été deux fois moins nombreux à mourir du coronavirus, par rapport à ceux qui n’avaient pas reçu de vitamine D !
Et bien croyez-vous qu’on en parle dans les grands médias ? Non. Pas un mot !
Résultat : 80 % des Français ont ENCORE une insuffisance en vitamine D[10] !!!
Alors n’attendez pas ! Prenez 3 000 UI par jour pendant les 3 prochains mois minimum (pour le ZymaD en pharmacie, par exemple, cela veut dire 10 gouttes par jour).
Prenez aussi de la vitamine C ! Elle favorise la fabrication de lymphocytes T (qui interviennent contre un grand nombre d'agents pathogènes). 500mg de vitamine C naturelle le matin et le midi après le repas.
Pensez aussi aux trésors de la ruche, et notamment à la propolis (cure préventive de 1 ou 2 mois, à raison de 800 mg par jour).
D’autres études ont montré qu’avec la supplémentation en zinc, les symptômes sont réduits en cas d‘infection (prendre 15 mg/jour)[11] ;
Il y a ben sûr les plantes, avec l’échinacée évidement : regardez ce qu’en dit l’Agence Européenne du Médicament :
« Son efficacité est confirmée par les études cliniques pour l’utilisation et le traitement des infections aigües du système respiratoire supérieur »[12][13].
Vous avez aussi l’astragale,[14] l’andrographis ou encore la griffe de chat, une plante d’Amérique du Sud qui renforce le système immunitaire en stimulant les macrophages et combat les infections (4 à 6 gélules par jour, 5 jours sur 7).
Il y a encore l’huile d’eucalyptus[15], le plantain, le bouillon blanc l’erysimum, le grindélia, etc.
Et ce ne sont là que quelques pistes naturelles pour le renforcement immunitaire.
Mais sur tout ça RIEN…pas un mot…Une seule consigne :
Attendre un vaccin…ET c’est tout !
Alors je ne sais pas si vous serez d’accord avec moi.
Mais de mon côté, je crois que cette situation n’est plus supportable.
Alors je veux vous faire une proposition.
Et advienne que pourra !
Mais avant d’aller plus loin, je dois prendre un instant pour me présenter.
Je m’appelle Gabriel Combris, et je suis journaliste d’investigation depuis près de 20 ans.
Comme beaucoup, j’ai commencé aux « infos générales », faits-divers et reportages.
J’ai été bouleversé par les scandales sanitaires comme le Distilbène, le Médiator, les implants mammaires PIP, etc. J’ai rencontré des personnes dont la vie avait basculé.
Des familles plongées dans un chagrin et une colère immenses, victimes d’organisations qui leur ont menti, qui leur ont enlevé un proche ou mutilé leur vie.
J’ai compris que dans le monde de la santé, certains criminels se cachent sous l’apparence de la vertu. J’ai appris à décortiquer les « fake news », j’ai découvert que ce qui était raconté par les médias officiels, dépendants de la publicité des grands laboratoires, n’était régulièrement qu’un tissu de mensonges.
Alors j’ai quitté les « infos générales » et je me suis spécialisé dans la santé naturelle.
Depuis que j’enquête sur les coulisses du monde de la santé, j’ai compris que notre système de soin officiel était devenu… FOU.
Le patient n’y est qu’un numéro, qui doit se contenter de faire ce qu’on lui dit, d’avaler les pilules qu’on lui a prescrit et de ne jamais discuter ce qui est bon pour lui ou pas.
Au fur et à mesure de mes recherches, j’ai découvert une médecine mécanique, indifférente aux hommes qu’elle prétend soigner. Une médecine affairée, affairiste, qui répare les malades comme un garagiste répare une voiture.
Et j’en suis venu à me poser ces questions :
Cette médecine est-elle capable de nous soigner ?
Est-ce seulement son objectif ?
Car les faits parlent d’eux-mêmes : !
Vous en voulez encore ?
On compte plus de 130 000 hospitalisations par an liées à des effets indésirables des médicaments…et près de 30 000 morts « attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux » d’après un rapport officiel du ministère de la Santé [18].
30 000 morts !!! C’est huit fois plus que le nombre de décès sur la route[19].
Oui, vous avez bien lu : la médecine tue HUIT FOIS PLUS que les accidents de la route!!
Et il y a pire : malgré ces évidences, les chiens de garde du médicament business refusent de reconnaître leur échec.
Alors ils mentent.
Au péril de nos vies.
Ils ont menti sur le Distilbène, sur le Médiator, le Vioxx, l’Isoméride, la Dépakine, sur les effets secondaires soi disant « mineurs » des statines (anticholestérol) ou des antidépresseurs.
Et ils continuent aujourd’hui encore : alors qu’ils prétendent combattre les « fake news » (les fausses informations), ce sont en réalité EUX qui conçoivent et propagent ces « fake news » avec l’aide de médias complaisants :
Le plus révoltant est qu’on agit ainsi alors qu’ON SAIT qu’il existe une autre voie, parfaitement scientifique elle aussi.
Une médecine naturelle qui offre un autre regard sur le malade, le soin, la guérison.
Et si je vous écris aujourd’hui, c’est pour vous dire que RIEN N’EST PERDU !!!
Nous sommes au seuil d’une révolution de santé qui peut absolument tout changer !
Dans notre façon de nous soigner…et dans notre espoir de GUÉRIR.
J’ai conscience que ce je vais vous dire maintenant est tellement en rupture avec l’information officielle de santé qu’il est presque impossible d’y croire.
Et pourtant…
Contrairement à ce qu’on dit partout, ce sont les médecines naturelles qui sont les VRAIES médecines d’élite.
Ce que démontrent les toutes dernières études scientifiques, c’est que dans une multitude de pathologies, l’approche naturelle doit être considérée comme la première des médecines :
C’est à cette même conclusion qu’aboutit le Dr. Andrew Weill, un « monstre sacré » de la santé, pour qui la médecine allopathique n’est nécessaire « que dans 10 à 20 % des problèmes de santé ».
Et il ajoute :
« Pour les 80 à 90 % restants, les méthodes naturelles sont plus efficaces, car elles agissent de concert avec les mécanismes de guérison du corps au lieu de les affaiblir[26]».
Mais qui le dit aux malades ?
Et qui parmi eux est vraiment informé de l’extraordinaire révolution de santé qui est, en ce moment même, en train d’émerger, et qui peut littéralement changer le destin de millions de personnes ?
C’est en me posant ces questions que j’ai décidé d’agir.
A ma mesure.
Avec des « armes » non agressives : l’information bienveillante, la volonté de comprendre et de transmettre.
J’ai frappé aux portes des meilleurs labos de recherche en santé naturelle, j’ai interrogé les scientifiques les plus en pointe sur les thérapies du futur, j’ai exigé d’eux des réponses claires aux questions que se posent des milliers de malades :
Et pourquoi ?
Ce qu’ils m’ont révélé est proprement SENSATIONNEL.
Et c’est pourquoi j’ai décidé de rassembler les informations les plus précieuses qui m’ont été confiées et de lancer un projet absolument unique en son genre, le projet Révolution Santé.
Car TOUT doit être revu, TOUT doit être révolutionné, dans la façon dont nous nous soignons aujourd’hui.
Et chacun d’entre nous est concerné.
J’ai fait ce travail avec passion, sans compter mon temps, ni mon énergie, animé par le seul espoir que peut-être une information que je publierai fera la différence, ne serait-ce que pour une seule personne.
Ce sera peut-être vous.
Maintenant, vous vous posez peut-être une question.
Pourquoi ce nom rageur de « Révolution Santé », qui rappelle la barricade et le poing levé ?
C’est d’abord parce que nous nous apprêtons à livrer une bataille féroce contre les mensonges et la cupidité de Big Pharma.
Tant pis si cela dérange, mais Révolution Santé est en mesure de révéler que les vraies stratégies efficaces pour guérir ne sont pas celles qui sont actuellement proposées (je devrais dire « imposées ») aux malades.
Ce sont, vous allez voir, des stratégies 100 % naturelles. Les seules à vous éviter les mauvais choix qui PEUVENT LITTÉRALEMENT SACCAGER LA VIE.
Je vous l’ai dit plus haut dans cette lettre, mais il FAUT VRAIMENT EN ÊTRE CONSCIENT :
L’intérêt du système de santé n’est PAS le même intérêt que celui du patient.
Je sais que cela paraît invraisemblable, alors voici les preuves irréfutables de ce que j’avance.
Une étude récente de la Fédération Hospitalière de France a révélé que 9 médecins sur 10 avouent pousser aux interventions chirurgicales alors que ce n’est PAS nécessaire[27].
Dit autrement, cela signifie que 90 % des médecins reconnaissent qu’ils encouragent des opérations inutiles[28] !!!
La raison ?
L’argent.
« Plus vous faites d'actes, plus vous êtes rémunéré, confirme le docteur Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France. Réguler les pratiques, c'est aussi toucher à la rémunération des uns et des autres »…
II y a de quoi tomber de sa chaise, je sais. Mais c’est pourtant la réalité et tout le monde doit être au courant.
Ce que vous allez lire maintenant est proprement sidérant, je préfère vous prévenir :
Ces lignes sont tirées d’un rapport de la banque Goldman Sachs, l’une des plus puissantes au monde[29] :
« Les remèdes qui guérissent immédiatement offrent un profil de rentrées financières récurrentes très différent des thérapies chroniques. »
« Ces remèdes représenteraient un intérêt formidable pour les patients et la société, mais pourraient être un obstacle pour ceux qui cherchent un « cash flow » financier durable ».
Je vous traduis en clair le sens de ces propos.
Cela signifie que la GUÉRISON des malades n’est ABSOLUMENT PAS l’objectif des fabricants de médicaments.
Au contraire, c’est un « OBSTACLE » !!!
Oui, vous avez bien lu !
Big Pharma voit la guérison comme une catastrophe pour ses ventes.
L’analyste de la banque Goldman Sachs prend l’exemple d’un médicament contre l’hépatite C dont le taux de réussite dépasse 90 %.
Un succès ?
PAS DU TOUT !!!
« La guérison de patients fait également diminuer le nombre de porteurs capables de transmettre le virus à de nouveaux patients, et ainsi, le vivier d’incidence décline lui aussi… »
En clair, le virus s’éteint et c’est un véritable drame pour le fabricant !
Vous avez compris ce que ça veut dire :
Ce qu’il cherche à faire, c’est vous TENIR EN LAISSE avec des prescriptions à vie de médicaments qui « réduisent » ou « soulagent » la douleur, l’arthrose, le diabète, l’hypertension etc, mais ne vous guériront jamais.
Et bien sûr il n’est pas question de reconnaître la puissance des traitements naturels (et souvent gratuits) qui eux, guérissent les maladies les plus graves POUR DE BON.
C’est parce que NOUS REFUSONS DE TOLÉRER cette situation que nous avons lancé le projet Révolution Santé.
Pour que personne ne passe à côté de la vraie solution de santé qui peut conduire à la guérison et littéralement changer sa vie.
Regardez par exemple l’incroyable découverte qu’a fait un chercheur sur la terrible maladie d’Alzheimer.
D’après la médecine officielle, lorsqu’un patient est diagnostiqué avec la maladie d’Alzheimer, il n’y a plus « rien à faire » C’est IRRÉVERSIBLE.
Pourtant, je voudrais vous parler de ce qui est arrivé à un groupe de patients qui ont accepté de suivre un nouveau protocole révolutionnaire, et de rejoindre un groupe témoin ultra-innovant.
Ces patients, qui ont été traités AU DÉBUT de leur maladie ont réussi, pour 90 % d’entre eux, ce qui paraissait impossible :
Faire régresser la maladie.
Retrouver leurs pleines capacités mentales.
Se souvenir des noms entendus, des visages qu’ils ont vus, des livres qu’ils ont lus, refaire des projets en famille.
Vous rendez-vous compte ? 90 % des malades…SAUVÉS !!!!
Comment ? Grâce à une thérapie NATURELLE !!!! Une thérapie qui comporte :
Bien sûr, il s’agit d’un chemin exigeant, qui réclame une implication très importante du malade et de son entourage. Mais c’est le seul qui permette, en quelques mois seulement, de retrouver le mémoire et les capacités cognitives d’avant la maladie.
Mais cela suppose aussi de NE PAS ÉCOUTER les défaitistes de la médecine conventionnelle.
Eux qui préfèreront toujours maintenir les malades dans l’impasse plutôt que de reconnaître qu’ils se sont trompés.
Prenons par exemple le cas de l’arthrose.
Vous allez voir que là aussi, on nous ment en TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE.
Si vous souffrez d’arthrose sévère du genou, par exemple, il y a de grandes chances que votre médecin vous conseille la chirurgie : méniscectomie (enlever la partie du ménisque abimée) ou débridement (régulariser des lésions du cartilage).
C’est comme ça. C’est « la procédure ».
Seulement quatre scientifiques danois ont voulu évaluer « l’utilité réelle » de ces opérations[30].
Et là…coup de théâtre MONUMENTAL
Les chercheurs ont constaté qu’après un soulagement de six mois, la douleur revenait à l’identique après l’opération.
D’après les patients, la chirurgie n’avait pas plus d’effet que le paracétamol sur la douleur !!!! Et elle n’améliorait pas du tout la mobilité du genou.
Vous imaginez bien que ces informations sont fondamentales, et qu’elles devraient être communiquées en toute transparence aux malades.
Et avant de charcuter les patients, leur a t-on dit que l’étude ADAPT (Arthrisis Diet, and Activity Promotion Trial) a montré qu’une mauvaise alimentation entraînait un risque 5 fois plus important d’arthrose du genou ?
Faites un sondage autour de vous. QUI est au courant ?
QUI sait que c’est par là qu’il faut commencer pour en finir avec l’arthrose : adopter une stratégie micro-nutritionnelle de pointe, avec des compléments pour nourrir le cartilage, d’autres pour limiter l’inflammation ou produire du collagène (prendre 5 à 15 g de L-glycine par jour), etc.
Quelques heureux élus, qui ont dans leur entourage des personnes bien informés, ou qui sont eux-mêmes habitués à chercher et à analyser les dernières études en provenance des labos de santé naturelle.
Mais les autres ? Pour eux, c’est le désastre annoncé. Ils seront amputés, estropiés, rendus invalides…pour rien.
Contre l’arthrose, mais aussi de très nombreuses autres pathologies, Révolution Santé vous présente les meilleurs protocoles naturels issus de la recherche pour que vous preniez, en toute connaissance de cause, les meilleures décisions pour vous.
Car c’est bien VOTRE VIE qui peut être bouleversée parce qu’on a simplement, bêtement, suivi une « procédure ».
Pas celle de votre médecin.
L’exemple le plus sidérant de ce fossé entre le patient et son médecin est sans doute le cas du cancer de la prostate.
Précisons d’abord que la Haute Autorité de Santé ne conseille PAS le dépistage systématique du cancer de la prostate.
Malgré cela, en France, 71 % des hommes de 50 à 69 ans, et 90 % des patients entre 65 et 79 ans, ont accepté de faire des tests entre 2012 et 2015.
Sur le conseil de leur médecin…
Le résultat, d’après le Dr Desportes, auteur du livre « Le scandale du dépistage du cancer de la prostate », est que ces examens débouchent souvent sur des traitements lourds aux conséquences graves…alors que c’est TOTALEMENT inutile.
Lisez bien ce qu’il écrit. C’est TERRIFIANT :
« À la suite du traitement, 300 000 hommes sont devenus impuissants pour rien. Parmi eux, 150 000 sont devenus incontinents. »
« Vous imaginez toutes ces vies brisées. Dans le livre, je cite le témoignage de Jacques, qui vit avec une sonde et qui n’a plus de vie sexuelle. Quand on fait une biopsie, on trouve souvent des cellules cancéreuses. Plus on vieillit, plus on en a. Mais le problème c’est que, dans la majorité des cas, ces cellules ne se seraient pas développées ».
Vous avez bien lu : les cellules cancéreuses ne se seraient PAS développées. On sait en effet aujourd’hui que de nombreux cancers sont non-progressifs[31].
C’est le cas notamment pour le cancer du sein.
Une étude publiée en juillet 2018, dans le The England Journal of Medicine[32] a montré que 7 femmes sur 10 atteintes d’un cancer du sein pourraient se contenter d’une simple
« hormonothérapie » et éviter totalement la chimio !
C’est à peine croyable tant cela va à l’encontre de ce que l’on croit savoir[33].
Et pourtant : dans leur étude, les chercheurs ont recruté plus de 10 000 femmes atteintes d’un cancer du sein à un stade assez précoce, sensible aux œstrogènes.
Puis, ils se sont intéressés aux 6 700 patientes (70%) qui avaient un risque de récidive « intermédiaire ».
Un risque « intermédiaire » signifie que la probabilité de récidive n’est ni très inquiétante, ni très rassurante. Dans ce genre de cas, les médecins ont tendance à prescrire une chimiothérapie, « par prudence ».
Les chercheurs ont alors séparé ces femmes en deux groupes : un groupe a reçu une chimiothérapie en complément d’une hormonothérapie, tandis que l’autre groupe a seulement suivi une hormonothérapie.
10 ans plus tard, le taux de survie était rigoureusement le même dans les deux groupes !
En d’autres termes, la chimiothérapie, avec ses conséquences pénibles (épuisement, perte des cheveux, dépression, etc.) sur la vie quotidienne, n’a strictement servi à rien.
Heureusement, il existe un moyen SUR de NE PAS sacrifier sa vie.
Avec Révolution Santé, vous êtes informé des années en avance des nouvelles percées scientifiques et vous pouvez agir à temps, avant de mettre le doigt dans l’engrenage fou de la médecine officielle.
C’est comme si vous saviez qu’un accident allait se produire, et que vous aviez encore le temps d’attacher votre ceinture de sécurité.
Je pense aux personnes frappées de dépression, de stress ou d’anxiété.
Avant de se faire écraser sous le rouleau compresseur des antidépresseurs ou des anxiolytiques, elles doivent savoir qu’il existe de très nombreuses techniques naturelles efficaces :
Je pense aussi aux personnes qui souffrent d’ostéoporose et qu’on prétend soigner à grand renfort de biphosphonates – des médicaments dont des études de le fondation Cochrane ont montré un potentiel de réduction des fractures de la hanche de…1 à 2 % !
Là encore, une stratégie alimentaire adaptée se montre beaucoup plus efficace pour renforcer la qualité osseuse : réduction des produits acidifiants et sucrés, consommation accrue d’aliments contenant des minéraux basifiants tels que le calcium, le magnésium, le zinc et le cuivre.
Ce combat pour qu’enfin soit reconnue la puissance, et très souvent la supériorité de la médecine naturelle, Révolution Santé le mène sans détour, apportant des preuves scientifiques inédites, des résultats de nouvelles recherches décapantes et encourageantes pour des millions de malades.
Mais nous vous proposons d’aller beaucoup plus loin.
Révolution Santé vous fait découvrir les meilleures informations inédites sur ces médecines essentielles. Des informations triées, vérifiées, recoupées, toujours validées scientifiquement.
Celles que vous ne lirez ABSOLUMENT NULLE PART AILLEURS.
Regardez plutôt les découvertes fantastiques que réalisent en ce moment même des équipes de recherche de haute volée. Je pense notamment :
En lisant Révolution Santé, vous découvrez quelles sont les thérapies qui viennent à bout de maladies que le système a décrétées « incurables ».
Et dont il reconnaîtra, dans dix ans, qu’elles ne l’étaient pas…
Arthrose, ménopause, cholestérol, troubles gastriques, maladie de Crohn, stress, angoisse, hypertension, etc. avec Révolution Santé, vous êtes constamment aux avant-postes des thérapies qui permettent vraiment de guérir.
Et même si la voie vers la guérison paraît audacieuse, vous serez toujours sûr d’avoir fait le meilleur choix possible pour votre santé.
Sans vous embarrasser de l’inutile.
Dans l’océan d’informations qu’internet propose aujourd’hui sur la santé naturelle, la principale urgence est en effet celle de faire le BON TRI.
Celui qui sépare le bon grain de l’ivraie, l’indispensable du superflu.
En lisant Révolution Santé, vous avez l’assurance de ne lire que LE MEILLEUR de la santé naturelle validé par la science.
Voici par exemple quelques-unes des pistes thérapeutiques nouvelles que nous avons révélées :
Il y a la sarriette et le thym, ou encore le damiana des forêts amazoniennes (prendre 1 gélule par soir avant de se coucher), le mucuna, etc.
Et il y aussi le meilleur des aphrodisiaques, auquel on ne pense jamais…
Les informations que nous publions sont strictement vérifiées et validées par un réseau d’experts indépendants, les pionniers de la santé naturelle.
Révolution Santé, c’est l’union de la médecine traditionnelle et de la recherche scientifique la plus en pointe. Et vous serez au premier rang pour y assister !
L’homme de la tradition, c’est le docteur Gérard Leborgne. Un médecin avec 40 ans d’expérience de médecine « plurielle » qui vous apprend à cultiver votre joie de vivre, votre bonne humeur, votre forme physique et votre bon moral.
Le Dr Leborgne vous ouvre les portes du monde fascinant des plantes qui guérissent, des huiles essentielles aux pouvoirs envoûtants. Il vous fait découvrir les bienfaits de subtiles cures revitalisantes, la respiration thérapeutique, l’acupuncture, les oligo-éléments etc.
Sur la nutrition, et la micro nutrition, Julien Venesson, journaliste et formulateur scientifique avec 10 ans d’expérience dans l’élaboration de compléments alimentaires, vous informe des derniers résultats de la recherche en nutrition et micronutrition. Vous êtes guidés vers les meilleurs compléments alimentaires disponibles sur le marché, ceux qui ont un vrai impact sur votre santé.
Sur l’arthrose, le Dr. Christian Dernelle vous aide à identifier les bonnes pratiques et les mauvaises habitudes du quotidien (posture, nutrition, etc.) qui vous crucifient sur le long terme. Son approche simple et pragmatique obtient des résultats sensationnels sur les douleurs, le sommeil, l’arthrose, etc.
Et ce n’est pas tout !
Sur l’hypertension, vous rencontrez le Dr. Vincent Reliquet fondateur avec le célèbre Dr. Michel de Lorgeril de l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante), vous découvrez la face cachée du cholestérol, de l’utilisation des statines, de la vaccination.
Sur la médecine de pointe anti-âge : vous découvrez les protocoles du Dr. Jean-Charles Gimbert, qui vous font prendre un pas d’avance décisif dans la lutte anti-âge.
Médecin expert des meilleures stratégies contre le vieillissement, le Dr. Gimbert vous dit aussi tout sur le récent scandale du Levothyrox et les impacts du changement de formule pour les malades.
Et vous allez faire tous les mois la rencontre de beaucoup d’autres de ces thérapeutes d’exception !
C’est une médecine qui ne sépare pas le corps et l’esprit.
Une médecine qui sait le pouvoir immense, positif ou négatif, des émotions (doute, incertitude, angoisse, stress, etc. qui diminuent l’efficacité du système immunitaire[51] et impactent tous les systèmes : glycémie, digestion, etc.)
C’est une médecine qui n’érige pas de frontières arbitraires entre les disciplines, mais qui utilise toutes les ressources à sa disposition pour donner au malade les meilleures chances de guérir :
Elle développe une lecture nouvelle et ouverte des anciennes traditions, comme des méthodes naturelles pratiquées ailleurs sur notre planète : la médecine de nos moines, l’Ayurveda, l’acupuncture, la pharmacopée chinoise, le savoir ancestral amazonien, le chamanisme, les plantes et la puissance spirituelle africaines.
Révolution Santé est le point de rencontre de cette médecine intégrale.
Vous y découvrez de très nombreux remèdes naturels dont vous pouvez tester l’efficacité sur vous :
Avec Révolution Santé, vous allez vous situer en avance sur tout le monde à un nouveau carrefour.
Celui d’où partiront les routes thérapeutiques les plus prometteuses de demain.
Car personne ne doit plus accepter de se soigner comme avant.
Je vous ai parlé des menaces sérieuses qu’une industrie de santé sans scrupule fait peser sur notre bien-être.
Mais il y aussi des bonnes nouvelles.
D’abord, parce que l’existence d’un projet comme Révolution Santé montre qu’il y a une fissure dans leur mur du mensonge.
Certes elle est encore petite, mais partout dans le monde, malgré les menaces et les interdits, des « ouvriers » discrets travaillent tous les jours pour fissurer un peu plus :
patients révoltés, médecins courageux, collectifs de malades, etc. qui inventent au quotidien une autre médecine, plus efficace, plus économique et surtout plus humaine.
Ensemble, nous pouvons réussir à abattre leur mur !
Et puis il y a autre chose …
Aujourd’hui avec internet, nous pouvons accélérer comme jamais la diffusion d’informations de première importance pour notre santé.
Nous pouvons contourner le mensonge, ignorer les menaces. Nous pouvons nous regrouper, faire corps, militer efficacement pour une médecine plus naturelle et plus respectueuse de l’Homme.
Et alors, tout (re)devient possible !
Mais il faut rappeler quelque chose qu’on oublie parfois dans l’information de santé :
Oui, connaître les nutriments à avaler, les compléments indispensables, les plantes vraiment efficaces pour se soigner, les dernières découvertes sur la L-carnitine qui rend le cerveau plus vif ou les bourgeons d’aubépine pour réguler votre tension, ça compte !
Oui, l’exploration des territoires nouveaux comme celui des cellules isolées du corps[55] ou de la plasticité neuronale, c’est un voyage fascinant vers ce que sera sans doute la médecine de demain !
Mais en rejoignant Révolution Santé, une autre évidence va aussi s’imposer à vous :
L’important, peut-être le plus important, est de garder les deux pieds dans la VIE.
La santé, c’est aussi rire, lire, aimer, c’est chercher dans le beau, le bien, le juste et le grand, la précieuse étincelle qui fait que l’on est toujours allumé, bien vivant !
Alors n’hésitez pas une seconde et ajoutez votre nom à la liste :
Attention, Révolution Santé n’est PAS une énième « revue » de santé naturelle.
C’est la sélection du meilleur de ce que la médecine naturelle peut faire pour vous.
Chaque ligne que vous allez y lire vous sera utile.
Ce n’est pourtant pas de la vantardise de notre part de l’affirmer. Cela tient simplement à notre méthode de travail.
Révolution Santé est rédigé par les meilleurs experts et offre la synthèse des plus grandes revues de recherches, des meilleures publications consacrées aux découvertes de la phytothérapie, de la médecine énergétique, des soins alternatifs, etc.
Avec Révolution Santé, vous avez accès à TOUTES les informations vraiment indispensables.
Vous êtes sûr de ne rien rater d’important pour votre santé, et vous n’avez plus besoin de faire le sacrifice du choix.
Vous avez l’huître qui contient la perle.
C’est comme si vous résidiez toute l’année dans le 5 étoiles de la santé naturelle, avec la palette la plus complète des prestations à votre disposition :
Balnéothérapie, aromathérapie, énergétique, micro-nutrition, soin quantique, neurosciences, vous avez accès à TOUTES les thérapies de soin les plus en pointe.
Et le mieux, c’est que le prix à payer pour séjourner dans ce palace est tout simplement incroyable.
A mes yeux, un projet qui a une telle importance que Révolutions Santé doit être accessible à chaque personne qui le souhaite.
C’est pourquoi j’ai décidé de frapper un très, très grand coup !
L'abonnement au tarif normal n’est que de 39 euros par an (12 numéros) pour la version électronique.
Mais EN PLUS…
Vous bénéficiez aujourd'hui de notre tarif spécial à 19 euros (plus de 50 % de réduction).
19 euros seulement pour le 5 étoiles de la santé naturelle !!!
Comment est-ce possible ? Devant un prix pareil, on se dit qu’il y a un truc, un piège bien caché, une astuce de commercial « malin ».
Non, rassurez-vous. Il n’y a rien de tout cela.
Mais pour que vous puissiez vous engager sur le long terme, vous devez absolument savoir si notre travail vous est utile et répond à vos attentes maintenant.
Voilà pourquoi nous avons décidé de vous proposer le tarif le plus bas possible.
Si vous trouvez avec Révolution Santé une seule stratégie pour en finir avec l’arthrose… améliorer votre mémoire… retrouver votre poids de bien-être…
Si vous trouvez une seule piste de soin qui pourra améliorer le bien-être au quotidien d’un proche, d’un parent, d’un ami.
Si vous n'y trouvez qu'une seule idée pour vous sentir en meilleure forme, avoir un bon sommeil ou en finir avec la douleur chronique.
Alors vous aurez fait le meilleur investissement qu’il est possible de faire pour votre santé.
La version électronique est la solution la plus accessible que nous puissions vous offrir, mais vous pouvez aussi recevoir chaque mois Révolution Santé chez vous en format papier.
C’est cette option que choisissent généralement les personnes qui préfèrent toujours lire sur le papier plutôt qu’à l’écran, et qui aiment aussi archiver les numéros reçus pour s’y replonger dès qu’elles en ont besoin.
Si vous le souhaitez, nous vous envoyons donc vos numéros de Révolution Santé en format papier, bien reliés, agréables à lire et à conserver.
Il faut simplement ajouter une participation supplémentaire de 15 euros par an (pour 12 numéros), qui correspond au prix du papier, du timbre, de l’impression et de l’enveloppe dans laquelle vous recevez votre revue. L'abonnement papier coûte donc 19 euros (offre spéciale en format électronique), plus 15 euros, soit en tout 34 euros par an pour la France métropolitaine.
En vous abonnant aujourd’hui, vous recevrez chaque mois, dans votre boîte aux lettres, votre numéro de Révolution Santé, rempli d’informations qui feront la différence pour votre santé.
J’ajoute une chose, essentielle.
Il est absolument HORS DE QUESTION que nous recevions le moindre centime de votre part si vous n’êtes pas entièrement satisfait.
C’est pourquoi nous vous remboursons intégralement votre abonnement dans les 3 mois sur simple demande, par email ou par téléphone.
Vous n’aurez pas à vous justifier et vous pourrez garder tous les numéros que vous aurez reçus. Vous n’aurez alors strictement rien payé.
Je sais qu’il s’agit là d’une pratique qui paraîtrait insensée à un éditeur classique.
Mais c’est ainsi que nous espérons atteindre notre objectif : éveiller les consciences, rassembler autour d’une nouvelle médecine intégrative, efficace et sans danger, pour ouvrir ENFIN des perspectives de guérison à des millions de personnes aujourd’hui sans espoir.
Enfin, si vous vous abonnez depuis l'Europe, sachez que vous bénéficiez aussi d'une double garantie supplémentaire grâce à la nouvelle norme européenne de paiement SEPA.
Nous faisons partie des organisations engagées en faveur de ce nouveau moyen de paiement SEPA : il est plus économique et encore plus sécurisé que la carte bancaire.
Avec le SEPA, vous avez même la possibilité d’être remboursé, sans frais, par votre banque, jusqu’à 8 semaines après le paiement (c’est bon à savoir, même si de notre côté, nous vous garantissons ce remboursement pendant 12 semaines).
En vous abonnant aujourd’hui, vous recevrez bien plus que des « conseils de santé ». Vous aurez accès à de véritables concentrés de sagesse, issus d’années de pratique des plus grands thérapeutes francophones.
Bien sûr, je ne peux pas vous promettre la guérison. Ni que vous vivrez en parfaite santé jusqu’à 100 ans.
Mais je peux vous garantir que vous ne trouverez nulle part ailleurs des secrets de santé aussi précieux pour vivre mieux et plus longtemps. Et que dans la période que nous traversons, Révolution Santé vous aidera au quotidien à faire les bons choix pour vivre mieux et en bonne santé
01/11/2020
Chère lectrice, cher lecteur,
C’est la panique TOTALE.
Le Président de la République parle d’EFFONDREMENT (qu’il voudrait éviter “à tout prix”)[1].
Le journal Libération titre sur la “deuxième FIN DU MONDE.”
Notre dernier ESPOIR, ce sont des mesures d’urgence pour renforcer les services de réanimation, pour faire face à l’afflux de malades.
Votre intervention est indispensable car les Autorités ne bougent pas.
A part confiner, imposer des masques, interdire les rassemblements, elles ne font pratiquement RIEN de concret.
Elles attendent le vaccin !!!
Au moins de juin, elles s’étaient engagées à créer des milliers de lits en réanimation supplémentaire.
Résultat : zéro lits en réanimation de plus qu’au cours de la première vague !!
C’est impensable. Catastrophique. Surtout qu’ils ont le pouvoir de le faire avec les pouvoirs spéciaux conférés par l’état d’urgence.
Car les solutions existent.
Elles ont été écrites NOIR SUR BLANC par le Professeur Philippe Juvin, chef du service des urgences de l’hôpital Georges-Pompidou, et publiées dans la grande presse.
Ces solutions sont réalistes. évidentes. Faciles. Rapides.
Qu’attendent les Autorités ?
ELLES ATTENDENT QUE LE PEUPLE BOUGE.
Elles attendent que vous bougiez.
Le Pr Juvin propose de :
1) former en 3 semaines un vaste corps d’auxiliaires de santé pour laver, brancarder, nourrir les patients, leur tenir compagnie.
EST-CE IMPOSSIBLE EN FRANCE EN 2020 ? Bien sûr que non !!
Il propose aussi de :
2) transformer, en quelques semaines de formation, pour quelques tâches limitées, des aides-soignantes en infirmières. Elles pourront ainsi aider les médecins et les internes. “Ce sont des renforts rapidement dispos, explique-t-il.
EST-CE IMPOSSIBLE EN FRANCE EN 2020 ? Bien sûr que non !!
Il propose encore de :
3) d’identifier tous les médecins qui ont eu un jour une expérience d’urgentiste ou de réanimateur (c’est-à-dire quasiment tous les médecins en activité !) de les mettre à niveau sur quelques points essentiels en 3 semaines, et de les mettre à disposition des réanimateurs et urgentistes, sous leur responsabilité.
EST-CE IMPOSSIBLE EN FRANCE EN 2020 ? Bien sûr que non, encore une fois !!
Mais tant que le peuple ne bougera pas, rien ne se passera.
Signez et faites circuler la pétition ci-jointe !!
“Le gouvernement dit que le personnel n’existe pas. Créons-le !” dit le Pr Juvin. “Faisons preuve d’agilité. Créons le par mobilisation générale” !!!
C’EST EXACTEMENT CELA QU’IL FAUT.
LA MOBILISATION GÉNÉRALE.
C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition ci-jointe, appelant à la mobilisation générale.
“En cas de mobilisation générale, on donne un fusil à l’instituteur et à l’artisan”, dit Philippe Juvin.
C’est une évidence !!
On ne peut pas à la fois déclarer l’état d’urgence, bloquer tout le pays pendant des semaines, des mois, annuler les fêtes, ruiner des secteurs entiers du pays, et s’interdire de prendre les mesures simples pour résoudre les problèmes !!
Au nom de quel règlement administratif, au nom de quelle norme bureaucratique, sommes-nous en train d’empêcher les aides-soignantes de participer à l’effort de guerre ??
C’est le voyage en absurdie.
Toutes les personnes de bonne volonté actuellement confinées chez elles à ne rien faire devraient au moins avoir le droit de proposer leurs services !!!
Ce n’est toujours pas le cas, alors que le pays va à la catastrophe, et que les services hospitaliers saturent et que les cadavres s’entassent.
Si nous voulons sortir rapidement du confinement, il faut agir pour se préparer.
L’Organisation Mondiale de la Santé le dit elle-même : “Le confinement n’est qu’une mesure de dernier recours, pour laisser aux Autorités le temps de s’organiser.” [2]
Rien ne bouge pour l’instant dans les hôpitaux. La haute administration ne met pas en place les mesures du Pr Juvin.
Mais nous, le peuple, nous pouvons forcer nos gouvernants à sortir de cet immobilisme désastreux
Rassemblons des centaines de milliers de signatures pour exprimer NOTRE VOLONTÉ.
Nous sommes en démocratie.
Le pouvoir appartient au peuple.
Signez de toute urgence la pétition ci-jointe au Président Emmanuel Macron et au ministre de la Santé Olivier Véran.
Vous pouvez ainsi participer à sauver notre pays, et apporter des soins à des milliers de personnes donc sauver des vies.
C’est très important.
Votre voix sera décisive pour donner du poids à cet appel. A faire suivre le plus largement possible autour de vous.
Si nous ne bougeons pas, nous avons la certitude que le confinement sera prolongé, les fêtes de Noël supprimées, et de nombreuses hospitalisations urgentes bloquées !!!
Merci de votre solidarité !
Jean-Marc Dupuis
Sources :
[1] Reconfinement : Macron veut éviter l’effondrement de l’économie, à tout prix
[2] L'OMS met en garde
26/10/2020
Avertissement :
Ce texte quelque peu maladroit contient par ailleurs un certain nombre d'inexactitudes plus ou moins anecdotiques.
Il reste que les problèmes évoqués sont incontestables, entre autres :
elles ne font que s'ajouter au "mix" et permettre ainsi un accroissement de la consommation.
(en général, notamment aux États-Unis, on les coupe en trois et on les enterre dans d'immenses "cimetières")
(à l’horizon 2025, 30 millions de tonnes de béton armé vont être coulées dans le sol français
pour y implanter les 20 000 éoliennes programmées par Nicolas Hulot)
Tout ceci est largement documenté, notamment sur l'internet, informez-vous !
Pour les infrasons émis par les éoliennes, je n'ai trouvé aucune étude vraiment convaincante, que ce soit à charge ou à décharge.
En fait, on ne connaît pratiquement rien de leurs effets en fonction de leur fréquence, de leur intensité et de la durée d'exposition,
aussi bien pour l'homme que pour les autres êtres vivants.
Dans ce domaine les "essais randomisés" en double aveugle ne sont pas vraiment à l'ordre du jour...
mais les populations proches des éoliennes sont bel et bien exposées, même à plusieurs km,
car les infrasons sont très peu amortis lors de leur propagation dans l'air.
Je me rappelle aussi qu'il y a quelques décennies, les services de recherche des armées, en France et dans d'autres pays,
avaient construit des "sifflets" géants pour étudier l'utilisation des infrasons comme armes à longue portée (plusieurs km).
Il a été prouvé à cette occasion que les infrasons émis à 7 Hz était particulièrement nocifs et susceptibles de tuer les êtres humains
en provoquant d'intenses secousses lésant les organes, un fait à rapprocher du syndrome du bébé secoué.
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26/04/2020
Nous sommes au début du 21e siècle. La mondialisation bat son plein. En vrac, mondialisation rime de plus en plus avec agglomérations tentaculaires, surexploitation et dilapidation des ressources naturelles, extinction des espèces, accumulation des richesses pour quelques uns, paupérisation galopante pour les autres, privatisation des biens publics, pollution généralisée de l'eau, de l'air, des terres, spéculation, compromission des dirigeants, abstention des électeurs, fusion des glaciers, émigration massive, régression sociale, persécution des journalistes d'investigation et des lanceurs d'alerte, etc., etc.
Ici ou là, des voix s'élèvent, mais on ne les écoute pas.
Le fric, l'égoïsme, l'indifférence, l'abrutissement par la télévision et la publicité...
Quelles que soient vos opinions sur Bill Gates,
regardez cette conférence. Elle date de 2014...
⇒ 18 mai 2019 : on manque de lits dans les services mais le plus vieil hôpital de la capitale va être partiellement cédé au promoteur Novaxia pour un montant de 144 millions d'euros.
⇒ Décembre 2019 : une banderole d’hospitaliers manifestants disait : L’État compte les sous, on va compter les morts. Nous y sommes.
2020 arrive
⇒ 21 janvier : Le risque d’introduction du virus en France est faible, mais il ne peut pas être exclu, dit la ministre. De ce constat naîtra un
« en même temps » médical qui deviendra un leitmotiv. D’un côté, on accepte l’idée qu’il y ait un risque, mais de l’autre on rassure.
Notre système de santé est bien préparé, affirme encore Agnès Buzyn.
⇒ 23 janvier : Agnès Buzyn fait état de 600 cas de contaminations confirmés en Chine et de 17 décès.
⇒ 27 janvier : Jérôme Salomon [directeur général de la Santé depuis le 8 janvier 2018] en annonce 2 886 et 81 décès. Deux jours plus tard, ce chiffre monte à 6 000 cas et 132 décès. En France, alors que trois Chinois ayant séjourné à Wuhan sont pour la première fois hospitalisés, le discours reste le même. Tous les cas repérés hors de Chine ont un lien avec la Chine, explique Jérôme Salomon le 27 janvier. Ce ne sont pas des cas qui se développent hors du foyer chinois.
⇒ 27 janvier : Nous bénéficions en France d’un test rapide qui va être disponible de plus en plus largement sur le territoire dans les prochains jours, explique Jérôme Salomon. On recommande le port du masque pour les personnes malades. Et on recommande des équipements de protection pour les soignants lorsqu’il y a des gestes à risque. Mais il n’est jamais fait mention d’une possible pénurie.
⇒ 28 janvier : Jérôme Salomon signale un cas en Allemagne. Le 30 janvier, on en recense aux États-Unis, au Japon, au Vietnam et à Taïwan. Le 4 février, apparaissent ce que l’on appelle des cas tertiaires, en Allemagne et à Singapour. On ne le mesure pas encore, mais la chaîne de contamination commence à devenir incontrôlable, et elle le deviendra partout dans le monde. L’optimisme reste cependant de mise. La ministre dispose d’une étude de l’Inserm qui modélise une possible diffusion du virus en Europe. En France, le risque d’une arrivée du Covid 19 est évalué entre 5 et 13 pour cent.
⇒ 29 janvier : le directeur général de la Santé précise que les tests sont disponibles dans trois hôpitaux (Bichat, l’Institut Pasteur et les Hospices civils de Lyon). Le lendemain, Marseille est ajoutée à la liste. Le 4 février, ils sont disponibles à Bordeaux et Cayenne. Le 21 février, ce sont 34 sites qui sont opérationnels, avec toujours le même discours rassurant. Le 23 février, Olivier Véran, qui vient de succéder à Agnès Buzyn, annonce : Dans les hôpitaux de Paris, nous allons pouvoir être largement en mesure de répondre aux demandes, quelles qu’elles soient, de réalisation de tests.
⇒ 30 janvier : l’OMS déclare l’urgence de santé mondiale.
⇒ 2 février : on comptabilisera 14 600 personnes infectées et 362 décès mais on se veut toujours rassurant. Les cas enregistrés, précise-t-on, ont toujours un lien avec la Chine.
⇒ 7 février : le Dr. Li Wenliang est décédé du coronavirus. Médecin à l'hôpital central de Wuhan, il fut l'un des premiers à avoir alerté, fin décembre, sur les dangers du nouveau coronavirus. Il avait été arrêté le 1er janvier pour « propagation de fausses rumeurs » ; il est considéré aujourd'hui, en Chine, comme un héros.
⇒ 16 février : Agnès Buzyn, démissionnaire de son poste de ministre de la santé, remplace Benjamin Griveaux comme tête de liste pour les élections municipales à Paris. On murmure qu'Emmanuel Macron, convaincu qu'elle serait incapable de gérer la crise qui s'annonce, aurait sauté sur l'occasion pour s'en débarrasser. Elle n'aura pas laissé beaucoup de bons souvenirs, sauf chez les marchands de vaccins, et pas plus le personnel des hôpitaux publics que les malades de la thyroïde ne la regretteront.
⇒ 21 février, Jérôme Salomon précise : Le directeur général de l’OMS a demandé aux pays de se préparer à un risque épidémique. Et il ajoute, La fenêtre d’opportunité pour endiguer l’épidémie en Asie se réduit de jour en jour. La question des stocks de masques disponibles n’est cependant toujours pas abordée.
⇒ 23 février : Olivier Véran assure que la France est prête à affronter l'épidémie de coronavirus. Entretenant cette fiction de préparation, le gouvernement a promis pendant trois semaines, aux professionnels (médecins, hospitaliers, pharmaciens, soignants des EHPAD, pompiers, policiers...), des équipements de protection basiques, à commencer par les masques, qui ne sont jamais arrivés, ou au compte-gouttes.
Nous allons faire le nécessaire pour que (les professionnels de santé) puissent disposer de masques adaptés à chaque situation, dans un marché qui s’est tendu au plan international. Le ministre annonce : Nous allons travailler avec les entreprises productrices de masques FFP2 sur le sol français, et nous passons une commande de masques en quantité. À cet instant, on peut donc en déduire qu’une commande vient, ou va être passée.
⇒ semaine du 24 février : près de 2000 fidèles évangélistes s'étaient réunis au sein de l'église "la Porte Ouverte" de Mulhouse, dans le Haut-Rhin. Quelques jours plus tard, plusieurs dizaines de cas étaient décomptés et à l'heure actuelle, des dizaines de victimes sont à recenser dans la ville alsacienne.
⇒ 25 février : Éric Caumes, le chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de la Salpêtrière disait encore que, lorsque le virus arriverait chez nous, peut-être on se rendra compte que la maladie n’est pas si grave que ça.
⇒ 26 février : Olivier Véran tente de rassurer quant à la propagation du coronavirus Covid-19 en France, assurant que l'on sait expliquer [les contaminations] par un voyage, ou par un contact avec une personne qui a été elle-même contaminée.
⇒ 26 février : Un premier Français, un homme de 60 ans, est décédé après avoir contracté le coronavirus, a annoncé ce 26 février le ministère de la Santé. Pourtant, il n'a pas voyagé dans une « zone à risque », où circule activement le virus.
⇒ 26 février : le match de Ligue des champions entre l'Olympique lyonnais et la Juventus de Turin est maintenu alors que l'épidémie fait rage en Italie, 3 000 supporters italiens sont attendus. Il nous semble qu'une mesure visant à interdire aux supporters visiteurs d'assister à ce match de football pourrait permettre de limiter considérablement les risques de propagation, écrivent les députés du Rhône Thomas Rudigoz, Jean-Louis Touraine et Danièle Cazarian dans une lettre adressée mardi au ministre et diffusée mercredi sur Twitter.
⇒ 28 février : Olivier Véran annonce 20 nouveaux cas d’infections en une journée, portant le total à 38 en France.
⇒ 2 mars : Véran incite à envoyer les enfants à l’école.
⇒ 2 mars : Avis du Conseil scientifique COVID-19 : parmi les Mesures de protection à l’échelle individuelle : Renforcement des mesures barrières pour se protéger soi-même et protéger les autres, en s’assurant de la disponibilité des moyens type gels hydro-alcooliques et masques chirurgicaux pour les populations.
⇒ 3 mars : 191 cas avérés de coronavirus en France. Pour l'instant, ce dont on est sûr, c'est que les personnes infectées par le SARS-CoV2 décédées sont plutôt âgées de plus de 60 ans, ont des antécédents cardiaques ou respiratoires, ou sont immunodéprimées, explique Élise Klement-Frutos [médecin spécialiste des maladies infectieuses et tropiales]. Elle continue : La mortalité du CoViD-19 est bien plus faible, de l'ordre d'1 à 2 %, selon les dernières statistiques.
⇒ 5 mars : Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics, apparaît auprès des douanes dans un aéroport. Il ne faut pas céder à la panique. Ni affolement, ni légèreté: la vie continue», twitte-t-il avec une vidéo le montrant avec les Douanes françaises contrôlant des bagages de vols en provenance notamment de Singapour et d’Hanoï. Le gouvernement est pleinement mobilisé face au coronavirus, insiste-t-il, bien que les douaniers seraient bien en peine de trouver le coronavirus en fouillant des valises à la main.
⇒ 5 mars : Anne Hidalgo a reproché à Agnès Buzyn d'avoir démissionné du gouvernement et quitté son poste de ministre de la Santé en pleine crise du coronavirus. Télétravail et sécurisation des dispositifs vitaux de la ville... malheureusement vous n'êtes plus au ministère pour surveiller tout ça, a raillé la maire de Paris avant d'interroger la candidate LREM sur son départ. Réponse immédiate d'Agnès Buzyn : Parce que je veux être maire. L'échange ne s'arrête pas là puisque la maire de Paris lui rétorque que deux jours avant son annonce de candidature, Agnès Buzyn avait fait part de sa volonté de rester au gouvernement.
⇒ 6 mars : Macron : Il ne faut pas, sauf pour les populations fragiles, modifier les habitudes de sortie.
⇒ 6 mars : depuis quelques jours, la France est devenue un nouveau foyer aigu de contamination, avec plus de 200 cas et quatre morts.
⇒ 6 mars : selon un classement publié par l’École de santé publique de l'Université américaine Johns Hopkins (JHU), le pays de Pasteur arrive seulement 11e quant à sa capacité à faire face à une pandémie, tandis que les États-Unis caracolent en tête.
⇒ 7 mars : Macron incite les Français à aller au théâtre.
⇒ 8 mars : Macron affirme que l’hôpital est préparé.
⇒ 8 mars. Un journaliste : Est-ce que c’est dangereux d’aller travailler dans des entreprises de plus de mille salariés ? Réponse de Madame la ministre Pénicaud : Non (LCI)
⇒ 8 mars. Bruno Le Maire : J’invite tous les salariés des entreprises qui sont encore ouvertes à se rendre sur leur lieu de travail. (BFMTV)
⇒ 9 mars: depuis le passage en phase 2 de l'épidémie de coronavirus, des supermarchés voient leurs rayons vidés par des consommateurs en quête de réserves.
⇒ 9 mars : Macron se balade sur les Champs-Élysées.
⇒ 11 mars. Sibeth Ndiaye critique le confinement italien. L'Italie a pris des mesures qui n'ont pas permis d'enrayer l'épidémie.
Michela Marzano, philosophe, professeure des universités à Paris et ancienne députée italienne, a également réagi de façon véhémente sur Twitter : D’où vous permettez-vous ? Comment osez-vous ? Savez-vous que l’OMS recommande à la France de prendre des mesures comme en Italie ? , s’emporte-t-elle. (L'Obs)
⇒ 11 mars : Macron : Nous ne renoncerons à rien, surtout pas à rire, à chanter, à penser, à aimer, surtout pas aux terrasses, aux salles de concert, au fêtes de soir d’été, surtout pas à la liberté.
⇒ 12 mars : on ferme les écoles.
⇒ 12 mars 2020 : discours d'Emmanuel Macron.
1492 : Christophe Colomb découvre l'Amérique - 2020 : Macron découvre le service public (Fabien ROUSSEL, Twitter).
⇒ 13 mars. Dans une allocution télévisée en direct de l’Élysée ce jeudi 12 mars, Emmanuel Macron a ordonné la fermeture à partir de lundi, et jusqu'à nouvel ordre, des crèches, des établissements scolaires et universités. Les annonces ont pris de court toute la communauté éducative qui tente de s'organiser dans une journée de flou absolu.
⇒ 13 mars : la décision de suspension des visites en Ehpad, prise mercredi 11 mars par le gouvernement, crispe un secteur qui craint les conséquences affectives et psychologiques pour les personnes âgées d’une telle mesure appliquée sans aménagements.
⇒ 14 mars : le premier ministre annoncer un début de confinement général.
⇒ 14 mars : après l'interdiction des rassemblements de plus de 100 personnes ce vendredi 13 mars, nouvelle étape drastique pour tenter d'enrayer l'épidémie de Covid-19, la France se met progressivement à l'arrêt.
⇒ 15 mars. Véran : Portez un masque uniquement sur recommandation médicale. Sauvez des vies, restez chez vous. (Twitter)
⇒ 15 mars : contre toute logique, le premier tour des élections municipales est maintenu, le nombre considérable des abstentions interroge sur la validité des résultats.
⇒ 16 mars : Agnès Buzyn n’est arrivée qu’en troisième position à Paris et sans attendre les directives de La République en marche (LRM) ou l’annonce du report du second tour, a annoncé ce lundi qu’en raison de la situation sanitaire et dans les hôpitaux, elle se retirait du jeu. C’est ma part de liberté, de citoyenne et de médecin. L’avait-elle donc perdu, ce libre arbitre, durant son aventure électorale ? Ses propos le laissent deviner. Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting. J’ai vécu cette campagne de manière dissociée. Le mot dit tout. A-t-on jamais gagné une élection en affichant pareille dualité ? (Le Monde)
⇒ 16 mars : l'OMS appelle à effectuer « un test pour chaque cas suspect » de coronavirus. Il y a désormais plus de cas et de décès dans le reste du monde qu'en Chine , a ajouté Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l'OMS lors d'une conférence de presse à Genève.
⇒17 mars. Sibeth Ndiaye : Les Français ne pourront pas acheter de masque dans les pharmacies, car ce n’est pas nécessaire si l’on n’est pas malade (BFMTV)
⇒ 17 mars : le ministre de l’ Intérieur assure ce jeudi que les policiers « ne sont pas en risque » face au Covid-19 et qu’« ils ne peuvent se prévaloir » du « droit de retrait ».
⇒ 17 mars. Agnès Buzyn affirme avoir prévenu Philippe et Macron dès janvier de l'ampleur de la crise : Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Édouard Philippe que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein.
⇒ 18 mars : d'après les auteurs de cette étude, publiée par le New England Journal of Medicine (NEJM) et financée par le gouvernement américain, le coronavirus aurait un niveau de viabilité à l'air libre comparable à celui du SRAS.
⇒ 19 mars : le professeur Didier Raoult a dévoilé lundi 16 mars les premiers résultats positifs de ses essais cliniques : sur 24 patients atteints du coronavirus, les trois quarts n'étaient plus porteurs du virus après six jours. (Plaquénil plus Azithromycine)
⇒ 20 mars. Nicolas Dupont-Aignan : Sibeth Ndiaye ose affirmer que les masques ne servent à rien parce que les Français ne sauraient pas s'en servir. Déclaration scandaleuse alors que l'OMS et de plus en plus de spécialistes de santé recommandent l'utilisation massive des masques et des tests ! Ne pas oublier qu'elle a dit elle-même, précédemment, qu'elle était prête à mentir pour défendre ce gouvernement.
⇒ 20 mars : Olivier Véran a finalement reconnu devant l'Assemblée nationale que la France n'était pas préparée, et le 21 mars, en conférence de presse, que les stocks de masques étaient peu fournis. La France était prête et en même temps elle ne l'était pas. Ah, si les envolées compassionnelles et le lyrisme louangeur, promulguant l'héroïsme de nos soignants, avaient pu se traduire en masques, tests, blouses, gel et gants : mais après tout qu'y peut le gouvernement ? Vous savez bien que les français sont irresponsables.
⇒ 20 mars : depuis le week-end dernier, des milliers de Parisiens ont quitté leur ville. Leur destination : la province - notamment le Sud - où beaucoup possèdent des résidences secondaires.
⇒ 20 mars : les caissières des grandes surfaces, véritables héroïnes, sont maintenues en première ligne de risque sanitaire, sans protection ou presque, ni prime.
⇒ 20 mars : des médecins, s'appuyant sur les déclarations faites par Agnès Buzyn au Monde, dans lesquelles elle affirmait avoir alerté dès janvier le Premier ministre sur la gravité de l'épidémie de coronavirus, portent plainte contre elle et contre Édouard Philippe.
⇒ 21 mars. Le ministre affirme : C’est parce que nous avons dès le début considéré que la disponibilité en masques allait être une difficulté, qu’il a été décidé, dès le mois de janvier, de recourir à l’importation de masques, avant même l’apparition de premiers cas sur notre territoire national. Si l’on en croit ses propos, une commande aurait donc été passée dès janvier. Mais laquelle, et quand précisément ? La réponse à cette question centrale n'a pas été donnée par la direction générale de la Santé, qui a été sollicitée à plusieurs reprises. Impossible donc de savoir si on a vraiment pris des décisions dès janvier, ou si le ministre a tenu ces propos a posteriori pour contrer la polémique montante sur l’inertie de l’État.
⇒ 23 mars : Marisol Touraine ancienne ministre de la santé : Entre 2012 et 2017, les stocks de masques chirurgicaux ont régulièrement augmenté, et nous les avons reconstitués après les attentats : il y avait 730 millions de masques chirurgicaux en 2012, et 754 millions en 2016 et 2017. [...] En 2013, il y a un avis du SGDN [Secrétariat général de la Défense nationale] qui dit que chaque collectivité, entreprise ou établissement est responsable de ses stocks, car l’État ne peut pas tout stocker. C’est ce qu’ont fait la mairie de Paris, ou le ministère de la Santé pour les urgences. Ce n’est pas un changement de doctrine, c’est une décentralisation.
⇒23 mars. Il n'y a pas de test, sauf problème respiratoire majeur" : le manque d'outil de diagnostic face au coronavirus...
⇒ 23 mars : On nous demande de partir à la guerre à mains nues : face au coronavirus, les foyers d'accueil médicalisés sont démunis.
⇒ 23 mars : jogging interdit, moins de marchés, plus de petits bobos : le Conseil d’État somme le gouvernement de durcir le confinement sous 48 heures.
⇒ 24 mars : la corrélation avancée par une équipe de chercheurs italiens entre pollution de l'air et transmission du Covid-19 est accueillie avec un certain scepticisme par plusieurs spécialistes français.
⇒ 24 mars : le Professeur Didier Raoult, patron iconoclaste de l'IHU Méditerranée Infection, a claqué ce mardi 24 mars la porte du collège d’experts conseillant l’exécutif dans la gestion de la crise sanitaire créée par l’épidémie de Covid-19. En 2006, en plein épisode de grippe aviaire, le professeur Raoult, comme d'autres virologues, alertait sur le mauvais état de préparation de la France face à un risque d'épidémies d'infections respiratoires. Le spécialiste est au cœur d'une polémique sur l'usage de la chloroquine contre le Covid-19.
⇒ 24 mars : Il faut produire dès maintenant et très massivement de la chloroquine, demande Philippe Juvin, lundi 23 mars sur France Inter. Le chef du service des urgences à l'hôpital Georges-Pompidou à Paris estime que la France doit faire des stocks de cette molécule qui, d'après le Pr Didier Raoult à Marseille, est un traitement efficace pour soigner les personnes atteintes du coronavirus.
⇒ 25 mars : tests de dépistages ariégeois (Biomérieux) pas valides en France mais aux USA.
⇒ 25 mars : la loi « urgence coronavirus » est votée (allonger la semaine de travail à 60 heures).
⇒ 25 mars : les auxiliaires de vie et les infirmières libérales continuent à assurer leurs missions au domicile de nombreux patients âgés et handicapés ; confrontées à un manque criant de protections, elles craignent de devenir elles-mêmes des vecteurs du coronavirus.
⇒ 25 mars : l'école de la débrouille face à un État qui n'a rien préparé.
⇒ 25 mars : le Conseil scientifique Covid-19, formé d’experts conseillant depuis le 10 mars Emmanuel Macron et Édouard Philippe sur la gestion de l’épidémie de coronavirus, recommande de prolonger le confinement établi en France à « au moins six semaines à compter de sa mise en place ».
⇒ 25 mars : incapacité de la France à tester massivement les Français.
⇒ 25 mars : 55 % des Français jugent que le gouvernement n’a pas pris la mesure de la gravité de la situation, 69 % estiment qu’il n’est pas clair et 79 % considèrent qu’il ne sait pas où il va.
⇒ 25 mars : tragédie à huis clos dans les Ehpad, selon l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France, 148 Ehpad franciliens ont des cas d’infection. C’est dans cette région et dans le Grand Est que les maisons de retraite sont les plus touchées.
⇒ 25 mars : Jean-Michel Blanquer ne prévoit pas de retour en classe avant le 4 mai.
⇒ 25 mars : Macron promet un plan massif d'investissement et de revalorisation pour l'hôpital.
⇒ 25 mars : faute de masques et de gants, les chauffeurs s’opposent à leurs employeurs désireux de continuer à travailler.
⇒ 25 mars : le coronavirus a causé 1 331 décès enregistrés à l'hôpital depuis le début de l'épidémie et 2 827 patients étaient ce mercredi soir en réanimation, a annoncé le directeur général de Santé Jérôme Salomon.
⇒ 25 mars : les capacités normales des États membres de l'Union européenne ne peuvent répondre qu'à 10 % de la demande en équipements de protection et autres appareils médicaux tels que les respirateurs artificiels, qui a explosé en raison de la pandémie de coronavirus, selon un document interne de la Commission que Reuters a pu consulter mercredi (lorsque depuis janvier un fabricant français a fait une offre au gouvernement qui n’a pas répondu !)
⇒ 25 mars : 10 000 policiers et gendarmes confinés, sous-équipés contre le virus, les forces de l’ordre se réorganisent pour assurer leurs missions. Les sept principales organisations syndicales de la police ont lancé un ultimatum à leur ministre : Si les moyens de protection font défaut dans les services, les policiers ne feront que les missions réellement urgentes et ne procéderont plus au contrôle du confinement.
⇒ 25 mars, Emmanuel Macron renforce l’engagement de l’armée dans la lutte contre le Covid-19, avec le lancement d’une opération baptisée « Résilience ». Celle-ci sera entièrement consacrée à l’aide et au soutien aux populations, ainsi qu’à l’appui aux services publics.
⇒ 26 mars. Marie-Anne Montchamp [ancienne secrétaire d'État auprès de la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale sous Nicolas Sarkozy] : il faut soutenir les auxiliaires de vie qui assistent les personnes âgées cloîtrées chez elles face au coronavirus.
⇒ 26 mars : premier décès d'un gendarme des suites du Covid-19.
⇒ 26 mars : Orly sera temporairement fermé à compter du 31 mars.
⇒ 26 mars : le chef du service de réanimation médicale et des maladies infectieuses de l’hôpital Bichat, à Paris, s’inquiète du manque de protection physique et mental du personnel hospitalier face au coronavirus.
⇒ 26 mars : au moins 40 000 «nouveaux cas de Covid-19» ont été diagnostiqués par les médecins généralistes la semaine dernière, selon les estimations de Santé Publique France, alors que le nombre de malades testés positifs est de seulement 25 000 depuis le début de l'épidémie.
⇒ 26 mars : en Espagne, plus de 4 000 morts et 56 000 cas de coronavirus.
⇒ 26 mars : le G20réuni en sommet d'urgence sur le coronavirus qui menace l'humanité entière. L'Europe paie le plus lourd tribut avec deux tiers des victimes. Le bilan s'est particulièrement alourdi mercredi en Espagne (3 434 morts), le pays a dépassé la Chine en nombre de décès (3 281), mais aussi en France et en Italie, pays le plus cruellement touché avec plus de 7 500 morts.
⇒ 26 mars : Il est probable que le Covid-19 puisse revenir selon des cycles saisonniers, a prévenu mercredi un expert américain, soulignant le besoin urgent de trouver un vaccin et des traitements efficaces.
⇒ 26 mars : 1 696 décès en France des suites du coronavirus, 3 375 patients sont désormais en réanimation, soit 548 de plus en une journée, sur un total de 13 904 patients hospitalisés.
⇒ 26 mars : aux USA, plus de 83 000 cas ont été comptabilisés.
⇒ 26 mars. Le département d'Indre-et-Loire et trois départements limitrophes viennent d'écrire au ministre de la santé. Ils sont prêts à mobiliser leur laboratoire vétérinaire pour effectuer 1 000 tests Covid-19 par jour. L’État refuse.
⇒ 26 mars : le secrétaire d’État Jean-Baptiste Lemoyne explique qu'il reste encore 70 000 Français à rapatrier. Alors que la France est confinée, les «revenants», potentiellement contaminés, sont-ils contrôlés à l'aéroport ? Leur température est-elle prise ? Reçoivent-ils des consignes particulières ?
⇒ 26 mars : le laboratoire lyonnais BioMérieux a reçu l’autorisation de commercialiser un nouveau test rapide, mais aux États-Unis, rapporte Capital. En urgence et par le biais d’une procédure dérogatoire, Washington a donné le droit au spécialiste du diagnostic in vitro de mettre en vente ce nouvel élément sur tout le territoire états-unien, et ce pour toute la durée de la crise sanitaire. Pas en France pour l’instant, il faut qu’il obtienne le marquage CE pour être vendu dans l’Union Européenne !
⇒ 27 mars : Édouard Philippe annonce le renouvellement du confinement jusqu'au 15 avril. Nous souhaitons atteindre l'objectif de 14 000 à 14 500 lits de réanimation, 250 millions de masques ont été commandés (la semaine dernière) à la Chine et sont actuellement en cours de fabrication. Nous sommes ainsi passés de 5 000 (tests PCR) la semaine dernière à 12 000 sur une journée comme aujourd'hui, et à 20 000,
25 000, puis 30 000 d'ici une grosse semaine». Enfin, nous en serons à 50 000 par jour d'ici la fin du mois d'avril, grâce à l'implantation de plusieurs machines sur l'ensemble du territoire [...] la France a déjà passé commande pour 5 millions de tests rapides, qui arriveront prochainement [...] Ces tests rapides viendront s'ajouter aux tests PCR, ce qui permettra une capacité de dépistage amplifiée pendant la période de déconfinement. Ainsi, 30 000 tests supplémentaires seront réalisés chaque jour en avril, puis 60 000 tests supplémentaires chaque jour au mois de mai, et plus de 100 000 tests supplémentaires chaque jour au mois de juin. Le ministre de la Santé a rappelé que l'exécutif appuie toutes ses décisions sur les recommandations des sociétés savantes.
⇒ 27 mars : après avoir maladroitement proposé que les enseignants qui ne font rien aillent travailler comme saisonniers pour aider les agriculteurs à cueillir des fraises Tagada pour le brunch présidentiel, la porte-parole du gouvernement a eu une nouvelle idée. Ceux qui n’ont plus d’activité en raison de la crise du coronavirus sont invités à rejoindre la grande armée de l’agriculture française, a déclaré le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, ce mardi sur BFMTV. Et si les enfants allaient aider à traire les poules ? Pour ne pas manquer de lait de poule le soir de Noël ? Ils ont la bonne taille, ça sera plus facile pour eux a proposé Sibeth Ndiaye dans une courte vidéo sur le réseau social Snapchat. Selon la porte-parole, les enfants s’ennuient en période de confinement et seraient plus utiles dans les champs ou les poulaillers.
⇒ 27 mars : pont aérien vers la Chine pour acheminer masques et respirateurs.
⇒ 27 mars. Marine Le Pen : Qu’est-ce que l’unité nationale ? Participer aux mensonges du gouvernement ? Couvrir ses incompétences comme la mise en danger de gens luttant en première ligne contre le virus ? Si c’est cela, je n’en suis pas.
⇒ 28 mars : première évacuation par hélicoptère militaire de Metz vers l'Allemagne.
⇒ 29 mars : première évacuation de patients français par un avion militaire allemand. Véran demande aux Ehpad un isolement individuel des pensionnaires ; évacuation de 36 patients du Grand Est engagée à Nancy et Mulhouse.
⇒ 29 mars. Entreprise Honeywell de Plaintel près de Saint Brieuc : l'usine spécialisée dans la fabrication de masques a fermé en 2018. Aujourd'hui l'ancien directeur regrette que son entreprise n'ait pas été plus soutenue par les pouvoirs publics au moment du dépôt de bilan.
⇒ 29 mars. François Bayrou : De cet énorme bouleversement doit sortir un monde nouveau.
⇒ 29 mars : la France a-t-elle trop attendu pour se confiner ? En voyant la maladie se répandre de l’autre côté des Alpes, aurions-nous dû nous barricader plus tôt ? Aucun scientifique interrogé par Le Figaro n’a voulu se prononcer sur cette question.
⇒ 30 mars : Marc Lefèvre [vétérinaire de profession, président du Conseil départemental de la Manche] demande que L'État réquisitionne nos laboratoires départementaux pour les tests. Sur 70 laboratoires en France, plus de 45 peuvent être mobilisés pour réaliser au moins 13 000 tests par jour. Il est incompréhensible qu'ils ne soient pas sollicités d’office en cette période exceptionnelle. L'État doit réquisitionner nos laboratoires départementaux pour les tests. Nous avons engagé de nombreuses démarches auprès des autorités compétentes mais elles sont restées sans suites.
⇒ 30 mars. LA QUESTION DU JOUR : êtes-vous d'accord avec Édouard Philippe quand il dit qu'il n'y a pas eu de retard sur la prise de décision du confinement en France ? 162 997 votants, oui 31.23% - non 68.77%.
⇒ 30 mars : les États-Unis autorisent la chloroquine à l'hôpital.
⇒ 30 mars : la France compte 40 723 cas de COVID-19 et 2 606 décès. L'Allemagne compte 62 435 cas confirmés mais seulement 541 décès.
⇒ 30/03 Jérôme Salomon fait savoir qu'à l'échelon national, le nombre observé de décès sur la semaine 12 [du 16 au 22 mars] devient significativement supérieur à celui attendu, avec un excès de mortalité de 9 %.
⇒ 31 mars : la compagnie pharmaceutique Johnson & Johnson a annoncé lundi 30 mars avoir sélectionné un vaccin-candidat pour le nouveau coronavirus, qui doit être testé sur des humains d'ici septembre et pourrait être prêt à une utilisation d'urgence d'ici le début de l'année prochaine.
⇒ 31 mars : le président de la Fédération de l'hospitalisation privée demande un dépistage systématique de tous les soignants. On va monter à 4 000 lits de réanimation, mais attention ce ne sont pas des lits de réanimation tels qu'on a l'habitude de les voir. Ce sont des lits de soins intensifs que l'on va "upgrader".
⇒ 31 mars, discours d’Emmanuel Macron : Le jour d'après ne ressemblera pas au jour d'avant. Nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne. (...) Souveraineté et solidarité. C'est cette France unie à laquelle je crois, conclut-il. Les déstockages se sont faits mais pour faire face à la crise, plusieurs décisions ont été prises : importer et vite, plus d'un milliard de masques ont été commandés (...) mais il nous faut aussi produire davantage en France sur notre sol, assure Emmanuel Macron. Produire plus sur le sol national pour réduire notre dépendance. Emmanuel Macron constate qu’on «a abandonné trop de choses au marché et qu’il est temps de reprendre le contrôle.
⇒ 1er avril : dixit Philippe Juvin, chef de service des urgences à l’hôpital Georges-Pompidou : Les conseillers des princes, l’armée pléthorique de hauts fonctionnaires sont d’un niveau hétérogène. Parfois ils ne sont pas très éclairants pour le politique. Ils sont conservateurs, sans aucune culture du doute. À cela s’ajoute la non prise en compte par un certain nombre d’administrations qui mettent du temps à mettre en œuvre les politiques décidées par le gouvernement. Or nous sommes dans un cas d’urgence. Ces chefs et petits chefs, qui lancent ordres et contre-ordres devront répondre de leur actions après cette crise. Les personnalités qui conseillent les chefs d’État doivent être renouvelées. Cette crise n’arrive pas par hasard. Les gens que nous payons à faire des prévisions ont failli. Nous sommes face à des gens qui n’ont pas été à la hauteur de la mission qui leur avait été donnée. Les alertes n’ont pas été remontées. L’analyse sera à faire après la crise mais on peut d’ores et déjà affirmer que certains verrous administratifs doivent être reconsidérés. Les strates administratives sont trop nombreuses. Elles se bousculent, se compliquent les unes les autres.
⇒ 1er avril : 46% des Français jugent positivement l'action du chef de l'État, soit une hausse de 13 points en un mois. Un niveau qu'il n'avait plus atteint depuis février 2018. Serait-ce un poisson d'avril ?
⇒ 1er avril : Olivier Véran pense que les soignants n'attrapent pas le virus au contact des malades (vidéo du 27 mars 2020).
⇒ 1er avril : Emmanuel Macron appelle à un sursaut de souveraineté, la maîtrise de notre destin doit prévaloir pour tous les domaines touchant à l’intérêt national: la santé, le militaire, l’énergie, l’eau, l’alimentation bien sûr, mais aussi les technologies sensibles d’avenir comme l’espace, l’informatique quantique ou les données numériques.
⇒ 1er avril : nos établissements sont totalement vides, déplore la Fédération de l'hospitalisation privée. Sur la région Île-de-France, nous avons plus de 250 établissements privés. Nous sommes une force d'appoint. Mais nous ne sommes pas sollicités, s'emporte Lamine Gharbi, président de la Fédération de l'hospitalisation privée.
À se demander si l’État , la « Cerfanie » le fait exprès dans tous les domaines en refusant que les tests soient fait par des labos vétérinaires, refusant les aides des industriels etc...
En « guerre » il faudrait savoir se passer de formulaires Cerfa, des autorisations de la hiérarchie pour éviter des morts !
⇒ 1er avril : auditionné mercredi 1er avril par la mission d’information sur le coronavirus à l’Assemblée nationale, le premier ministre a jugé « probable » que la sortie du confinement ne se fasse pas « en une fois, partout et pour tout le monde ». Il espère proposer des éléments d’une stratégie « dans les jours, la semaine qui viennent ».
⇒ 2 avril : Pour la première fois, Édouard Philippe évoque la phase de déconfinement.
⇒ 2 avril : « En cash, sur le tarmac » : Muselier affirme que des masques pour la France ont été rachetés par les Américains en Chine.
⇒ 2 avril : les entraînements collectifs interdits pour les sportifs.
-⇒ 2 avril : couvre-feu instauré en Guadeloupe et en Martinique.
-⇒ 2 avril : la vague grossit en France, plus de 6 000 personnes en réanimation, les transferts de malades s'accélèrent.
⇒ 2 avril : la COP26 de Glasgow reportée.
-⇒ 2 avril : plus de 4 000 décès enregistrés à l'hôpital en France, +509 en 24 heures.
⇒ 2 avril : 100 malades supplémentaires transférés hors d’Île-de-France d'ici jeudi midi, 36 malades évacués par TGV de Paris vers la Bretagne.
⇒ 2 avril : le bilan du coronavirus s'alourdit dans plusieurs Ehpad.
⇒ 2 avril : plus de 3,6 millions de salariés au chômage partiel, annonce Muriel Pénicaud.
⇒ 2 avril : les patients en réanimation ont besoin de certains produits, comme des dérivés de morphine, tout au long de leur séjour à l'hôpital. Et les stocks manquent déjà. « Nous avons peut-être des réserves pour quelques semaines tout au plus », s'inquiète le Professeur Rémi Salomon [ne pas confondre avec Jérôme Salomon].
⇒ 3 avril : 884 personnes sont décédées en maison de retraite, selon les chiffres officiels, et au moins 14 638 cas « confirmés ou possibles » de la maladie y ont été recensés, a annoncé jeudi le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon.
La pandémie de Covid-19 a fait plus de 50 000 morts dans le monde et plus d’un million de cas ont été recensés.
⇒ 3 avril : une attestation de déplacement numérique sera disponible à partir du lundi 6 avril, en complément du dispositif papier déjà en place pour justifier les sorties en dépit des mesures de confinement, a indiqué le ministre de l’intérieur Christophe Castaner. Concrètement, le formulaire sera téléchargeable sous format PDF, depuis un smartphone, afin de le présenter aux forces de l’ordre grâce à un code QR.
⇒ 3 avril : le préfet de Paris, Didier Lallement, estime que ceux qui sont aujourd’hui en réanimation sont les mêmes que ceux qui n’ont pas respecté les règles du confinement au début. Devant le tollé suscité par cette déclaration, il a dû présenter ses excuses.
⇒ 3 avril : Jean-Michel Blanquer a annoncé que toutes les épreuves du baccalauréat seront validées en contrôle continu et que les collégiens auront cours jusqu’au 4 juillet.
⇒ 3 avril : le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de 6 266 personnes entre le 16 mars et le 1er avril, a indiqué le ministère de la justice. Cette baisse inédite est liée à la fois à une diminution de l’activité judiciaire et à des libérations anticipées, afin de limiter la propagation du Covid-19 en prison.
⇒ 3 avril : aux États-Unis, vendredi, le directeur de l'Institut des maladies infectieuses, Anthony Fauci, membre du groupe de travail de la Maison Blanche sur le coronavirus qui dit passer une heure par jour avec le président Trump, a évoqué sur Fox News des informations indiquant que le virus peut en réalité se transmettre quand les gens ne font que parler, plutôt que seulement lorsqu'ils éternuent ou toussent.
⇒ 4 avril : Karine Lacombe, ce professeur qui a envahi en mars les plateaux TV et a même été en conférence de presse avec divers hauts responsables de l’État, à reçu près de 38 000 € pour ABBVIE qui produit le KALETRA (antiviral qui coute entre 110 et 215 € les 60 comprimés), en concurrence avec le PLAQUENIL (qui coûte 4€ les 30 comprimés) et près de 25 000€ pour GIDEAD qui produit le REMDEVISIR (pas encore commercialisé) en concurrence aussi avec le PLAQUENIL ; la question est : y a-t-il conflit d’intérêt ? Surtout l’on prend position contre un traitement concurrent à ceux des entreprises qui la rémunèrent ? Tout est vérifiable sur le site https://www.transparence.sante.gouv.fr
⇒ 4 avril : samedi 4 avril 2020,
COONAVIRUS : UNE AIDE-SOIGNANTE SANCTIONNÉE A L’HÔPITAL D’HAUTMONT DANS LE NORD ! Pour en savoir plus et pour signer la pétition unitaire de soutien c'est ici : http://chng.it/rRQQhbK8Zc
SUD santé sociaux 59 est scandalisé par la mise à pied à effet immédiat d’une aide soignante, militante SUD, intervenue ce samedi 4 avril à 6 h 30, à sa prise de poste. Il lui a été reproché publiquement, devant ses collègues, d’être intervenue dans le cadre de son mandat pour d’une part exiger des masques et d'autre part des test de dépistage pour les soignants.
Les soignants de l’Hôpital local d’HAUMONT, comme tous ceux de ce pays, exercent actuellement dans le dénuement matériel et malgré cela ils prennent en charge patients et personnes âgées face à la pandémie. De façon scandaleuse, leur expression sur le contenu de leur travail, le droit légitime à réclamer une protection minimum, (qui concerne aussi bien les soignants que les patients face au coronavirus) et les libertés syndicales sont bafoués. SUD santé sociaux exige la réintégration immédiate de Laetitia PUISSANT, l’abandon de toute sanction et la mise à disposition des moyens matériels face au coronavirus, parmi lesquels masques et les tests sont au premier rang.
⇒ 5 avril : à Nancy, l'ARS compte toujours supprimer près de 600 postes après la crise, les élus et l'hôpital interpellent le gouvernement. (France Info)
⇒ 6 avril : alors que l’Académie de médecine préconise le port d’une protection pour l’ensemble de la population, le gouvernement revoit sa stratégie de lutte contre le coronavirus.
⇒ 6 avril : les experts-médecins des conseils scientifiques chargés d'éclairer Emmanuel Macron pendant la crise du coronavirus ont touché 450 000 euros des firmes pharmaceutiques ces cinq dernières années. Faut-il s'inquiéter pour leur indépendance ?
-⇒ 8 avril : Christophe Lannelongue, directeur de l'Agence régionale de santé (ARS). Ce dernier a estimé vendredi 3 avril, qu'il n'y avait pas de raison de remettre en cause les fermetures de lits et les suppressions de postes prévues pour les cinq prochaines années à Nancy.
⇒ 9 avril : Christophe Lannelongue, directeur de l'Agence régionale de santé (ARS) à été démis de ses fonctions.
⇒ 9 avril : à Marseille, Macron s'affiche aux côtés du Pr Raoult.
⇒ 9 avril : Castaner s'en prend aux maires qui rendent les masques obligatoires.
⇒ 10 avril : les Français jugent avoir été trompés par le gouvernement sur les masques. Selon notre sondage Odoxa, ils se prononcent majoritairement pour que le port du masque soit rendu obligatoire dans toutes les communes.
⇒ 10 avril : confinement, plus d’un demi-million d’amendes dressées.
⇒ 10 avril : Covid-Quest, un outil numérique pour communiquer ses symptômes à un professionnel de santé. La Société de pneumologie de langue française lance un outil numérique pour aider à obtenir un avis médical sur des symptômes évoquant le Covid-19.
-⇒ 10 avril : le premier adjoint socialiste à la mairie de Paris a dressé un triste bilan de la situation dans les Ehpad. Il explique que les patients ne sont souvent pas pris en charge et meurent dans leur établissement.
⇒ 10 avril : traçage numérique: le plan pour maîtriser l’épidémie, les politiques divisés face au « tracking ».
⇒ 10 avril : cas confirmés en France : 86 334 ; décès confirmés : 12 210 ; patients guéris : 23 200 (ministère de la Santé)
⇒ 10 avril : pour la première fois depuis le début de l'épidémie, le nombre de patients en réanimation en France est en légère baisse, avec 82 hospitalisations de moins en 24 heures.
⇒ 10 avril : le professeur Didier Raoult a présenté à Emmanuel Macron sa nouvelle étude sur l'efficacité de la chloroquine, portant cette fois sur plus de 1 000 patients, contre 24 pour la première.
⇒ 10 avril : les pays de l'Union européenne se mettent d'accord sur une réponse commune à 500 milliards d'euros face à l'épidémie, annonce Bruno Le Maire.
⇒ 13 avril : Voici les points principaux à retenir de l'allocution du président de la République :
• Confinement. Le confinement est prolongé jusqu'au lundi 11 mai.
• Enseignement. À partir de cette date, les crèches, écoles, collèges et lycées rouvriront progressivement leurs portes. La reprise des cours dans l'enseignement supérieur ne se fera en revanche pas avant l'été.
• Loisirs. Les restaurants, cafés, hôtels resteront fermés le 11 mai, et aucun festival n'aura lieu avant mi-juillet.
• Exceptions à la sortie du confinement. Les personnes âgées et vulnérables devront rester confinées après le 11 mai ;
• Port du masque. Chaque Français sera doté d'un masque grand public à cette date. Son port pourra devenir systématique.
• Tests. Emmanuel Macron assure qu'à cette date, il sera possible de tester toute personne ayant un symptôme.
⇒ 13 avril : le 3 mars, il a publié la commande de gaz lacrymogènes pour plus de 3,6 millions d’euros, au profit de la police nationale et de la gendarmerie nationale, précisément des Aérosols CS à diffusion dispersive petite capacité (40 à 50 ml) », des « Aérosols CS à diffusion dispersive moyenne capacité (300 ml) » et des « Aérosols CS à difffusion dispersive grande capacité (500ml).
En revanche, ce n’est que le 28 mars que le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé que le gouvernement avait commandé 5 millions de tests rapides du coronavirus. Source : Reporterre
⇒ 14/04-Cas confirmés dans le monde : 1 925 811 ; décès confirmés : 119 818 ; patients guéris : 2 964 726 (Université Johns-Hopkins, JHU).
Cas confirmés en France : 98 076 ; décès confirmés : 14 967 ; patients guéris : 27 718 (ministère de la Santé).
Le déconfinement le 11 mai n’est pas une certitude mais un objectif, précise Christophe Castaner après les annonces d'Emmanuel Macron.
Le retour à l'école ne "sera pas obligatoire le 11 mai", fait quant à lui savoir Jean-Michel Blanquer .
Le gouvernement prévoit un recul du PIB français de 8 % en 2020 .
⇒ 15 avril. Coronavirus - Professeur Perronne: Des malades auraient pu être sauvés s’ils avaient pris de la chloroquine. J'hallucine et je ne comprends pas le manque de décision politique !
⇒ 16 avril : 18 millions de Français devront rester confinés après le 11 mai en raison de l’épidémie de Covid-19, affirme le Conseil scientifique. Primes pour les soignants (de 500 à 1 500 €) et aides aux familles modestes, le gouvernement a par ailleurs détaillé son plan d’urgence. La pandémie de Covid-19 a fait près de 129 000 morts dans le monde, dont 17 167 en France
⇒ 17 avril. Marianne : Les hôpitaux ont subi près de 12 milliards d'euros de coupes budgétaires dans la dernière décennie, planifiées par les différents gouvernements d'année en année. Des moyens qui font aujourd'hui défaut pour faire face à l'épidémie de coronavirus.
L'Ondam [Objectif national des dépenses d'assurance maladie] a été créé pour contenir les dépenses de santé, rappelle Rachel Bocher, psychiatre et présidente de l'Intersyndicat national des praticiens hospitaliers (INPH). Il correspond à un raisonnement budgétaire primaire, plutôt qu'à une logique de soin.
L'Ondam est subdivisé en sous-objectifs par secteurs, dont un pour les hôpitaux. L'Ondam augmente chaque année, d'une Loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) à l'autre, mais moins que l'évolution « naturelle » des dépenses des hôpitaux, Cette progression est liée à la hausse de la population et de la part des personnes de plus de 65 ans, ainsi qu'à l'explosion des maladies chroniques depuis 30 ans, détaille Rachel Bocher.
Les objectifs d'économies fixés par l'Ondam ont été systématiquement respectés depuis 2019. Et même dépassés : les versements de l'Assurance maladie aux hôpitaux ont été plusieurs fois inférieurs de plusieurs centaines de millions d'euros au plafond fixé en LFSS, comme le note le rapport sénatorial de 2019. Soit 3 milliards d'euros d'économies supplémentaires sur la dernière décennie, qui sont venues s'ajouter aux 8,7 milliards prévus. Au total, les hôpitaux ont donc subi 11,7 milliards d'euros de coupes budgétaires en 10 ans.
Les établissements se sont adaptés en sabrant leurs dépenses. Cela s'est traduit par une réduction du personnel et du nombre de lits. Environ 40% des lits de réanimation ont par exemple disparu en trente ans, estime Rachel Bocher. De quoi handicaper les soignants face à la crise sanitaire actuelle.
On paie au prix fort les économies faites pendant toutes ces années, pointe la présidente de l'INPH. La nécessité du confinement est liée au manque de lits de réanimation. Et rien n'était prêt au niveau du matériel : on manque du surblouses, de masques, de tests…
Les coupes se sont aussi traduites par une dégradation (...) de la situation financière des hôpitaux publics, avec une hausse de leur déficit budgétaire, indique le rapport sénatorial sur l'Ondam. La vague de l'épidémie de coronavirus a finalement poussé le gouvernement à desserrer l'étau : d'abord prévu à 2,1 % pour 2020, l'Ondam a été relevé à 6,5 %, comme l'a annoncé Olivier Véran le 14 avril sur RTL. Un répit éphémère ?
⇒ 20 avril : un peu plus de 5 400 personnes étaient en service de réanimation dimanche soir. Soit 89 de moins que la veille. C'est la onzième journée consécutive de baisse. Lors de son point presse quotidien, Jérôme Salomon a aussi annoncé que le nombre de décès en France depuis le début de l'épidémie s'élevait à 19 718
⇒ 21 avril. Cas confirmés dans le monde : 2 501 156 ; décès confirmés : 171 810 ; patients guéris : 659 732 (Université Johns-Hopkins, JHU).
Cas confirmés en France : 117 324 ; décès confirmés : 20 796 ; patients guéris : 39 181 (ministère de la Santé).
Vingt machines capables de réaliser 2 400 tests par jour vont être installées dans des hôpitaux français.
En Allemagne, Berlin et plusieurs États imposent le port du masque dans les transports à partir du 27 avril .
Dans le monde, 826 millions d'élèves, soit un sur deux, n'ont pas d'ordinateur chez eux pour l'enseignement à distance, souligne l’UNESCO.
⇒ 24 avril. Cas confirmés dans le monde : 2 709 483 ; décès confirmés : 190 961 ; patients guéris : 738 490 (JHU).
Cas confirmés en France : 120 804 ; décès confirmés : 21 856 ; patients guéris : 42 024 (ministère de la Santé).
Des masques grand public seront distribués aux Français dès le 4 mai, déclare la secrétaire d'État à l'économie.
Emmanuel Macron s'entretient ce vendredi matin avec les professionnels de la restauration et de l'hôtellerie, qui n'ont aucun horizon de reprise officielle.
Les États-Unis comptent désormais près de 50 000 morts du COVID-19, après avoir enregistré plus de 3 100 morts sur 24 heures, selon JHU.
25/04/2020
Chers amis,
Ici Thierry Champion, journaliste d’investigation et lanceur d’alerte.
Encore un grand merci d’avoir signé notre grande pétition nationale contre la « folie des grandeurs » de certains élus, qui dépensent l’argent public n’importe comment (ronds-points affreux et inutiles, médiathèques de luxe, etc.).
Ce gaspillage est financé par les impôts… donc par vous et moi.
Et c’est d’autant plus grave que les autorités vous mentent depuis 30 ans sur votre pouvoir d’achat.
Si vous écoutez l’INSEE et nos gouvernants, le pouvoir d’achat des Français aurait fortement augmenté depuis 40 ans.
Voici ce qu’ils vous disent : « arrêtez de râler et regardez les chiffres : vous êtes plus riche qu’avant, vous n’avez vraiment pas de raisons de vous plaindre ».
Ah bon, vraiment ?
Mais alors pourquoi les Français ont-ils l’impression du contraire ?
Pourquoi la révolte des gilets jaunes, si les Français sont beaucoup plus riches qu’avant ?
Pourquoi une hausse des impôts sur l’essence est-elle une catastrophe pour les familles modestes ?
Pourquoi les petites retraites sont durement frappées par une augmentation de la CSG ?
Pourquoi un tel décalage entre les chiffres officiels et le ressenti des Français ?
L’INSEE vous dit que les Français consomment trois fois plus qu’en 1960. [1]
Le Conseil d’analyse économique vous dit que le pouvoir d’achat des Français a « doublé de 1968 à 2000 » [2].
Mais c’est faux, archi-faux.
La vérité est que les Français ne sont pas vraiment plus riches qu’en 1975.
Je vais vous expliquer pourquoi, et je vous promets que vous ne serez pas « déçu du voyage ».
Car il y a deux ÉNORMES PROBLÈMES avec les chiffres officiels :
Pour calculer votre pouvoir d’achat, année après année, l’INSEE regarde si les prix augmentent ou diminuent.
Pour cela, ils choisissent un échantillon de biens et services représentatifs (alimentation, voiture, ordinateurs, etc.).
Problème : dans tout ça, ils sous-estiment gravement le prix de votre logement.
Eh oui : dans son indice des prix, l’INSEE ne tient pas compte :
Je cite l’INSEE, au cas où vous ne me croiriez pas :
« Les prix des biens immobiliers et des travaux relatifs à leur gros entretien ne figurent donc pas dans l’indice des prix à la consommation » [3]
Et c’est tout simplement absurde !
Quand vous achetez votre résidence principale, ce n’est pas un investissement.
Car vous n’en retirez aucun revenu (contrairement à un investissement en Bourse, par exemple).
Même le Conseil d’analyse économique l’a reconnu : « l’achat de la résidence principale s’apparente à une dépense de consommation d’un bien ‘très durable’ », et non à un investissement !
Et en plus, vous avez généralement une lourde charge à rembourser : les intérêts de votre emprunt !
Et pourtant, cela ne figure pas dans le calcul du pouvoir d’achat des Français !
Et les loyers, me direz-vous ?
Les loyers sont bel et bien pris en compte dans « l’indice de prix », heureusement.
MAIS ils sont ridiculement sous-estimés !
Tenez-vous bien : l’INSEE estime que les loyers représentent 6 % de vos dépenses !!!
Alors que les loyers pèsent pour 20 à 30 % du budget des locataires !
Je cite l’INSEE, car je crains là aussi que vous ne me croyez pas :
« La part des loyers dans l’indice des prix est de 6 %. Il s’agit d’un taux moyen, calculé pour l’ensemble des ménages, qu’ils soient locataires ou propriétaires ».
Donc, si vous écoutez l’INSEE, sur 16 euros de dépenses, les Français consacrent 1 euro à leur logement.
C’est absurde, et cela explique pourquoi nos gouvernants pensent que vous êtes beaucoup plus « riche » qu’avant !
Et il y a une seconde raison, peut-être encore plus sidérante :
Il y a un autre problème massif dans leur mode de calcul.
Pour calculer le prix de votre voiture ou de votre ordinateur, année après année, l’INSEE ne se contente pas de regarder le « prix de vente ».
Non, ils manipulent les prix de vente, de façon insensée.
S’ils estiment que la qualité de votre ordinateur a été multipliée par 10…
…eh bien ils diviseront le prix de votre ordinateur par 10 dans leur calcul…
…même si vous le payer au même prix qu’avant !
C’est ce qu’ils appellent « l’effet qualité ».
Prenons l’exemple de la voiture.
Selon les chiffres officiels, une voiture coûterait le même prix aujourd’hui que dans les années 1990.
C’est totalement faux, évidemment.
Mais ils justifient cette « manip’ » en disant que votre voiture d’aujourd’hui est de meilleure qualité que celle d’il y a 30 ans.
Comme « vous en avez plus pour votre argent »… ils pensent que vous êtes plus riche.
Ce serait vrai si les voitures des années 1990 étaient encore disponible à la vente…
…mais ce n’est pas du tout le cas !
Le prix de toutes les voitures du marché (même les moins chères) ont énormément augmenté depuis 30 ans !
Vous avez donc besoin de plus d’argent qu’avant pour acheter une voiture… même si vous ne vouliez aucune « option supplémentaire » !
Pour les ordinateurs, la manipulation est encore plus caricaturale.
Certes, le prix des ordinateurs a largement baissé depuis 30 ans
Mais si vous en croyez les autorités, le prix de votre ordinateur a été divisé par 20 depuis 1996 !
Si l’ordinateur coûtait 6 500 francs à l’époque…. cela voudrait dire qu’il ne coûte que 50 euros aujourd’hui !
Comme le dit bien l’économiste Philippe Herlin, « On remercie l’INSEE de nous communiquer l’adresse des magasins qui proposent des PC neufs à ce prix » !
Vous le voyez, les économistes n’ont pas les pieds sur terre.
J’aurais pu aussi vous parler des autres problèmes liés à leur mode de calcul :
Il faudrait aussi parler de l’augmentation énorme du coût de la santé.
Les Français ne s’en rendent pas forcément compte, car cela passe par leurs « cotisations », mais l’augmentation des prix de santé est gigantesque sur 40 ans.
Prenez le tout récent médicament Zolgensma, contre une maladie génétique rare.
Il a été autorisé en France depuis 2019, et coûte la bagatelle de 2 millions d’euros pour une seule prise. [4]
Évidemment, pour les enfants qui souffrent de cette maladie rare, l’existence de ce médicament est une très bonne nouvelle.
Et je suis plus qu’heureux qu’il soit financé par la « solidarité nationale », car ni les enfants, ni les parents ne sont responsables en quoi que ce soit de cette maladie.
Mais ces millions d’euros, c’est bien vous qui allez les financer… et c’est une dépense que vous n’aviez pas avant.
Voilà une raison de plus pour laquelle les Français se sentent « plus pauvres »… alors que les gouvernants leur répètent qu’ils sont « plus riches » !
Dans ma prochaine lettre, je vous expliquerai ce qu’il en est RÉELLEMENT.
Je vous donnerai les vrais chiffres de votre pouvoir d’achat depuis 1975.
Préparez-vous à être surpris… et peut-être même un peu énervé.
Mais cela en vaut la peine : il est temps d’ouvrir les yeux !
Restez connecté,
Thierry Champion
Fondateur de l’Observatoire International du Pouvoir d’Achat (OIPA)
Sources
[1] « Cinquante ans de consommation des ménages », INSEE, 2009
[2] Mesurer le pouvoir d’achat, rapport de Philippe Moati et Robert Rochefort, Conseil d’analyse économique, 2008.
[3] Pour comprendre l’indice des prix, édition 1998, INSEE
[4] https://www.bfmtv.com/sante/le-zolgensma-medicament-en-une-prise-a-21-millions-de-dollars-autorise-aux-etats-unis-1700214.html